| InvitéInvité |  Sujet: Zach' Duncan . The Violin Passion's { Finished  Dim 21 Nov - 3:16 | |
| { Identité du Personnage.
Nom : Duncan
Prénom : Zachary Isobel
Surnom: Zach'
Âge : Seventeen
Date de Naissance : 5 Mai
Groupe sanguin : B-
Origine : Sang-Mêlé
Nationalité : Américaine
Couleur préférée : Le Bleu Turquoise
Saison préférée : L'automne
Plat préféré: Cuisine asiatique
{ Swelty, Ecole de Sorcellerie.
Année : 6eme année
Maison : Nissena
Baguette magique : Bois d'érable, 26.4 cm, contenant une Plume de Phoenix.
Matières préférées : Histoire de la Magie & Métamorphose.
Matières détestées: La Divination & Potions Magiques.
Relations : Il s'est développé un réseau d'amis solide et de nombreuses connaissances avec le temps.
Animal de Compagnie : Un chat blanc, qui ne sort que rarement des dortoirs. Il est encore jeune, il a 3ans à peine. Le petit se nomme Lucian.
{ Le Personnage.
Qualités : Calme . Affectueux . Honnête . Gentil . Généreux
Défauts : Lâche . Renfermé . Lunatique . Sans opinion
Caractère : Zachary n'est pas un garçon particulièrement compliqué niveau caractère ! Enfant, il était une vrai pile électrique. Souriant, riant aux éclats, il était d'une grande curiosité. Il avait le contact facile avec n'importe qui. Et en même temps, il savait être calme et muet, au point de ne pas parler pendant une journée entière. C'est un peu ce côté qu'il a gardé en grandissant. Zach' est le genre de jeune homme qui n'a pas sans cesse un sourire dressé sur le visage, mais plutôt un air neutre. Il est discret. Sa petite personne est le cadet de ses soucis ! Autant il est très à l'écoute des autres, autant il ne parle jamais de lui. Et pourtant, il ne faut pas forcer la main au garçon pour le faire parler: on ne dirait pas comme ça, mais il est simple d'avoir une conversation avec lui. Zach' est le genre de personne qui dit beaucoup en peu de mots. Mais il n'est pas énormément doué pour réconforter les autres. Alors souvent, il fait passer son message en prenant la personne entre ses bras, pour lui faire partager sa chaleur.
Habitué à être seul, il ne recherche pas sans cesse de la compagnie. La solitude ne lui fait pas peur. Seulement, depuis qu'il a découvert qu'il avait un jumeau, il ne peut s'empêcher de se sentir mal dès qu'il est loin de Isobel. Il se pose énormément de questions sur la nature de ses sentiments, refusant de dire s'il tient plus à Leo ou à Isobel. Il ne peut pas les comparer ; l'amour qu'il porte à son jumeau lui semble faire partie de son être à part entière. Il est sa moitié. Mais lui qui a la tête dans les nuages parfois, se suffit de la présence de son violon pour être heureux. Et pourtant, le peu de gens qu'il considère comme ses amis sont très très importants pour lui. Etrangement, les évènements de son passé, avec l'absence de sa mère et l'attitude de son père envers lui, ne l'ont jamais marqué. Rien dans sa personne ne semble avoir été traumatisé par cette époque. Comme si le temps qu'il avait vécu seul avec son frère avait suffit à tout effacer. Lui, dont on abusait sexuellement petit, n'a aucun complexe à se mettre nu devant quelqu'un, ayant eu sa première fois à 14ans. D'ailleurs en parlant de zéro complexes.. Zach' n'est pas sans gênes mais... Il se fiche pas mal du regard des autres. Pour lui, tout est faisable puisqu'il n'y a souvent aucune ambiguïté. C'est d'ailleurs pour ça qu'il fait souvent criser Isobel, qu'il ne peut s'empêcher d'embrasser de temps en temps, par pur geste d'amour. Il n'aime pas la critique facile ou les conclusions attives.
En fait, Zachary est vraiment un garçon qui vit avec simplicité. Il ne se prend que très rarement la tête avec les autres, évitant les conflits. Il ne s'est que très rarement battu. Il prend les choses comme elles viennent et fait avec. Il est très peu méfiant envers les autres, on pourrait même dire naïf parfois. Mais il sait avoir la tête sur les épaules, quand il veut. En fait, son plus gros problème reste dans les relations amoureuses. Zach' est incapable de s'investir dans une relation ! Certes, il va être bien avec la personne mais, il y aura toujours cette distance qui le sépare de l'autre. Et lorsque ça devient trop sérieux, il s'éloigne, sans réellement s'en rendre compte. Le mal aise s'accroît et il finit toujours par se faire larguer. Car oui, il est conscient du problème, mais est incapable d'agir. Dans ces moments là, c'est comme s'il perdait tout ses moyens. Le principal reproche qu'on aie pu lui faire est qu'il ne cherche pas à évoluer. Seulement, quand il est avec Isobel, son regard devient presque amoureux. Quelques personnes lui ont déjà fait la remarque ; mais il a toujours démentis en prétextant que les autres ne pouvaient pas comprendre le lien de jumeaux qui les unissaient. En fait, ces dires ne le dérangent pas. Mais il sait que Isobel n'aime pas ça, alors il essaye de faire des efforts pour ne pas énerver son frère ou l'attrister.
Physique : Du haut de ses 1m78, Zach' a développé une maigre corpulence. Est-ce dû à l'époque où il ne mangeait jamais ? Il ne pourrait vous le dire, puisqu'aujourd'hui il se nourrit comme un ogre. Son corps est fin -pas autant que celui d'une fille, mais presque- et ce qui est impressionnant sont ses longues jambes. Sa peau est assez clair et tend vers le blanc laiteux. Il a de petits yeux couleur noisette, en parfait accord avec ses cheveux châtains tirant sur le roux, tombant juste au-dessus de ses épaules. Son petite nez est légèrement rond au bout et ses traits font parfois penser à ceux d'un enfant voir même d'une fille. Il n'aime pas particulièrement d'ailleurs qu'on lui fasse remarquer ses traits androgynes, mais il s'y est fait. Il n'est pas particulièrement musclé, sauf un peu des bras peut-être, mais surtout ce sont ses doigts qui le caractérisent: légèrement cornés par-ci par-là, ils sont la preuve de son travail acharné et passionné de musicien.
Calme, discret, il n'est pas courant de le voir sourire. Mais lorsqu'il en a envie, lorsqu'il est heureux et veut partager ce sentiment, il n'hésite pas à illuminer son visage, d'habitude si neutre. Il lui arrive même de rire de temps en temps ! Ses gestes sont terriblement contrôlés, voir lents parfois. Il n'est pas impulsif, sauf lorsqu'il joue du violon. Mais là, il rentre dans un semi-état de transe que personne ne pourrait caractériser. Même sa mode vestimentaire est simple: il est le plus souvent habillé d'un jeans, de chaussures en toile grises et de sa chemise préférée à col mao turquoise. Il n'a pas les oreilles percées, ni de tatouage. Ne porte jamais de chaine autour du cou, de bracelets ou bagues. Il ne met pas de maquillage comme certain ; ses lèvres sont naturellement teintées de rose. Le sport n'est pas son fort, il n'a pas une endurance à tout épreuve. Par contre, il possède un équilibre parfait et de bons réflexes.
Se mettant très peu en avant, il prend très rarement soin de son physique. Un coup rapide de peigne suffit, des habits qui lui plaisent. Des fois, il attache ses cheveux en bataille avec un élastique. Il ne chercher jamais à plaire, à séduire les autres. De par sa nature, il est plus facilement celui qui est attrapé que celui qui chasse. Ses relations, filles et garçons mélangés, furent toujours guidées par les autres.
{ Son Histoire.
Je suis né le 5 Mai 1993 à Chicago, d'une mère sorcière et d'un père moldu. Il se trouve qu'à ma naissance, j'avais un frère de 14ans mon aîné, le fils du premier mariage de mon père. Il vivait avec sa mère, mais je me souviens de lui quand j'étais petit car pris d'affection pour moi, il venait souvent me voir. Mais nous verrons ça plus tard.
Tout d'abord, ma mère quitta la maison lorsque j'avais 2ans. Je me souviens très peu d'elle, son visage à cette époque ressemblait plus à une image déformée plutôt qu'à un souvenir distinct. J'ignorais qu'elle était sorcière. J'ai donc déménagé avec mon père, dans un petit appartement. Mon père qui, n'ayant pas supporté de perdre sa seconde femme, sombra dans l'alcoolisme et la débauche. Petit, je ne m'en rendais pas vraiment compte. C'est au fur et à mesure du temps que je compris la situation dans laquelle je vivais. Mon père, passant ses journées à boire, ne me faisait jamais à manger, ne me parlait que très rarement. Le frigo était de plus en plus vide -il avait perdu son boulot- et mon quotidien était de passer mes journées seul dans ma chambre, à mourir de faim. Je fouillais de temps en temps dans la cuisine pour trouver quelque chose à grignoter, mais j'étais d'une maigreur maladive. Mes seuls moments heureux était lorsque Leo, mon demi-frère, venait m'enlever de cet enfer pour m'offrir une journée de jeu où il m'invitait toujours à manger dans un petit restaurant asiatique. Puis à mes 6ans, ma relation avec mon père changea quelque peu. Au maximum de sa démence, l'homme avait prit habitude d'abuser de mon corps certains jours. Jeune et naïf, je ne me rendais pas trop compte. Certes, je n'aimais pas cette façon qu'il avait de me toucher, mais enfant calme, je n'avais jamais opposé la moindre résistance. Je rentrais à chaque fois dans un état semi-inconscient, le temps de laisser passer ce mauvais quart d'heure. Mais tout bascula le jour où Leo, venu me chercher pour sortir, entra dans l'appartement et surprit dans la cuisine mon corps d'enfant à moitié nu, notre père me dévorant du regard, ses mains sur mon sexe. Mon frère, qui n'avait jamais aimé notre père, entra dans une colère noire qui m'était étrangère venant de lui. La scène se déroula rapidement: Leo fonça sur notre père, le frappa assez fort pour que le sang ruisselle de son visage, et m'emporta dans ses bras en quittant l'appartement en courant. J'avais alors 7ans, mais cette journée restera sûrement à jamais graver dans ma mémoire.
A partir de ce jour, ma vie changea radicalement. Leo, qui avait 21ans à cette époque, m'emmena vivre chez lui, dans ce petit appartement d'étudiant qu'il avait depuis deux ans, en plein centre de Chicago. Il s'occupa de moi comme personne ne l'avait jamais fait avant. Proches depuis toujours, notre lien fraternel n'en fut que plus renforcé. Etudiant à l'université, il avait un petit boulot pour subvenir à ses besoins. Dès mon arrivée, il prit la décision de faire des heures supplémentaires pour m'offrir une vrai vie. Il m'inscrivit dans l'école du quartier, là où mon père ne m'avait jamais emmené dans mon ancienne banlieue. Il revenait chaque midi pour m'emmener manger dans ce même petit restaurant asiatique deux rues plus loin: ces repas étaient de vrais festins, pour moi qui mangeait enfin à ma faim. Notre appartement se trouvait juste au-dessus d'un bar, nommé le Sinistra. Chaque soir, j'allais y attendre Leo qui finissait tard son travail. Nous nous étions liés d'amitié avec le Barman, qui me réservait toujours une place au comptoir, où je faisais mes devoirs de gosse avec un verre de soda. Le Sinistra était un bar où se jouait de temps en temps des concerts sur la petite scène au fond. C'est un soir, par hasard, que j'entendais pour la première fois du Jazz Manouche. Ce style musical a été la révélation de ma vie de petit garçon. Fasciné par ces instruments, ce saxophone assourdissant, et ce violon endiablé, cette contre-basse déchainée, je n'en restais pas moins muet en fixant le violoniste avec admiration. Ce bruit m'empêchant de travailler, me transportait dans un état de joie total. Jamais mon coeur ne m'avait paru battre aussi vite. Et c'est du haut de mes 8ans, que je décidais à partir de ce jour de commencer à jouer du violon. Bien sur, après avoir fait part de cette nouvelle à Leo, je savais très bien qu'il était impossible pour moi d'aquérir l'instrument, beaucoup trop cher pour nos frais. Seulement, alors que nous passions Noël au Sinistra avec le Barman, il m'offrit comme cadeau un vieux violon qu'il avait dans ses placards depuis des lustres, mais qui faisait encore un très bon son. Je vous laisse deviner l'état dans lequel j'étais ce soir ça. A partir de cette époque, je passais mes soirées à jouer du violon, jouant au professeur et à l'élève, exaspérant quelque fois mon frère avec tout ce bruit. Mais une nouvelle fois, ma vie bascula complètement.
Cela faisait déjà 6mois que j'avais eu 9ans, et alors que je pensais à une mélodie que j'étais incapable de jouer sur mon instrument, mon archet commença à léviter tout seul et à produire une mélodie en frottant les cordes du violon. Je restais abasourdit dans ma chambre, à fixant l'instrument, pendant plusieurs minutes. Croyant être devenu fou, j'en parlais sur le ton de la plaisanterie au dîner à Leo. Mais au lieu de se mettre à rire, mon frère s'étouffa et releva son regard vers moi avec un air grave. « Zachary... » Et c'est alors qu'il aborda un sujet dont nous n'avions jamais parlé: ma mère. Leo m'avoua que, même s'il n'avait jamais vécu avec elle, notre père lui avait appris qu'elle était une sorcière. Je fus choqué de cette nouvelle pendant quelques jours. Jusqu'à ce qu'après plusieurs coup de téléphone de la part de Leo, je me retrouve face à face à ma mère, au Sinistra. Moi qui avait presque oublié le visage de cette femme, ne put m'empêcher de la fixer d'un air grave. Et c'est après une longue conversation que je compris. Elle venait du monde de la magie, et j'avais apparemment hérité de son sang. Au début, je n'en croyais pas un mot, je me demandais vraiment si c'était une blague. Je ne revis jamais ma mère qui avait recommencé sa vie de son côté et qui n'avait pas cherché depuis ce jour à apprendre à me connaître. J'avais presque oublié cette histoire, mes pouvoirs ne se manifestant plus, jusqu'à ce que je reçois cette fameuse lettre. Pour mes études supérieures, j'étais convié à venir apprendre la sorcellerie dans une école pour sorcier, se trouvant à New York. D'un air grave, j'avais tendu la lettre -qui m'avait été apporté par un vieux hibou auquel j'avais donné des miettes de pain comme remerciement- à Leo, ne voulant pas spécialement quitter notre petite vie à deux. Souriant, mon frère m'avait rassuré en m'ébouriffant les cheveux et en déclarant que ce serai une bonne expérience à vivre pour moi. Qu'ainsi, c'est moi qui lui apprendrait quelque chose, lui qui ne connaissait rien à ce monde.
J'entrais donc en 1ère année à Malwen. Dès mon arrivée, j'avais eu le souffle coupé par cette école si... étrange ? J'étais un véritable moldu débarquant dans le monde de la magie, mon violon à la main. Puis, un évènement extraordinaire me tomba dessus. Les premières semaines après le jour de la répartition, j'étais quelque fois accosté par des personnes de Cohary dans les couloirs ; ils disaient à chaque fois qu'ils m'avaient pris pour quelqu'un d'autre. Mais au bout d'un moment, je finis par me poser des questions. Puis, il arriva: Isobel. Qu'elle ne fut pas ma surprise, quand je me retrouva face à ce garçon, légèrement plus grand que moi, mais surtout, étant ma copie conforme. J'ai cru avoir une hallucination ; puis quand il se mit à parler, sa voix m'hypnotisa comme une mélodie que j'avais toujours connu. J'appris alors que j'avais un jumeaux, dont on m'avait séparé et qui avait grandit loin de moi. Les premiers temps, encore choqué, j'avais du mal à réagir. J'envoyais une lettre à Leo pour le tenir au courant. Mais petit à petit, cette présence toujours près de moi était devenue une habitude. Et lorsque je me retrouvais seul, garder le moral était vraiment devenu une épreuve. C'est pourquoi, après avoir été habitué à retrouver la nuit Isobel dans mon lit, je fus surpris de me réveiller seul une fois. Blessé, je filais traverser le château en pleine nuit pour atterrir dans le dortoir de mon frère où je me glissais sous ses draps en me collant à lui. Isobel était devenu ma moitié.
Inutile de vous dire, que moi, qui n'avait jamais été un grand bosseur, raté ma première année. J'avais eu besoin de temps pour m'habituer à cette nouvelle vie. Et je fus très triste d'apprendre que Isobel, lui, n'avait pas échoué. Je n'étais pas à la hauteur pour me tenir près de lui. Mais c'est étonné que j'appris l'année suivante que mon frère avait lui-même redoublé sa 2eme année. Crédule, je n'ai jamais compris le stratagème ; mais cela me rassura. Mais depuis, les années se sont succédées sans soucis. J'ai toujours bossé le minimum pour avoir mes examens, au plus grand désespoir de mes professeurs. Chaque vacances, je rentrais à Chicago voir mon frère, loin de Isobel a mon plus grand désespoir. A 12ans, je fumais ma première cigarette, ce qui avait rendu furieux Leo, bien qu'il ne puisse me faire la morale, lui gros fumeur qu'il était depuis ses 14ans. C'est aussi à cette époque que mon frère rencontra Mia, sa copine jusqu'à aujourd'hui. A 26ans, il était temps qu'il s'occupe de lui plutôt que de moi. Elle vivait à l'appartement l'année, puisque je n'étais plus là. Durant les vacances, nous nous partagions le lieu avec amitié. Ne pouvant plus dormir dans le lit de mon frère, j'avais adopté le canapé sans problèmes -j'aimais bien Mia. L'été, je travaillais au Sinistra en tant que serveur pour commencer à me faire des sous pour m'offrir un nouveau violon. J'étais devenu un très bon musicien. Et oui, comme vous pouvez le remarquer, ma vie ressemble à celle d'un moldu. Il n'y a qu'à Malwen où je me sers de la magie. Puis, il y eu cette guerre civile au sein du monde des sorciers. Je dû rentrer à Chicago sans plus tarder ; cette guerre touchait aussi le monde moldu, mais plus sur un plan social. Les combats étaient assimilés à des guerres de gang, pour cacher le monde sorcier. Malwen fut détruit et on reconstruit une autre école à la place: Swelty. Très extérieur au monde sorcier, je revenais à l'école sans trop de soucis. Durant cette période, mon frère et Mia m'avaient annoncé qu'ils souhaitaient déménager. J'ai alors pris la décision, qu'après avoir finit mes études, je reprendrais l'appartement au-dessus du Sinistra. Ce lieu est sacré pour moi. Il retrace mon enfance de moldu et la découverte de mes pouvoirs de sorcier. Oui, on peut dire que c'est un lieu magique ! Mais pour le moment, je rentrais en sixième année, et j'avais encore du travail devant moi avant de penser à l'avenir. Heureusement, mon Isobel était près de moi, me permettant de ne pas lâcher prise. Plus que jamais, nos liens étaient très étroits. Et à présent, je refusais de concevoir mon existence sans la sienne. Il était mon oxygène, ma raison de vivre.
{ Le Joueur
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Dernière édition par Zachary Duncan le Jeu 9 Déc - 11:34, édité 2 fois |
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