Matthew Lewis |  Sujet: Matthew Lewis } Finished ♥  Sam 30 Oct - 12:34 | |
| Identité du Personnage
Nom : Lewis
Prénom : Matthew
Surnom : Matt/Matty
Âge : 17 ans
Lieu d'habitation : Il habitait dans une petite maison Anglaise en retrait de Londres avec ses grands-parents qu'il aime tout particulièrement. Matthew vit chez eux depuis la mort de ses parents. C'est-à-dire depuis l'âge de cinq ans.
Date de naissance : 15 Mai 1993
Origines : Anglaises
Pureté du sang : Sang-mêlés.
Orientation sexuelle : Homosexuel
Swelty, Ecole de Sorcellerie
Année : 6ème année
Maison : Nasteen
Baguette magique : Bois d'aubépine, une taille d'exactement 28,8cm. Contenant des poils de Demiguise, permettant à Matthew de se rendre invisible quand il a sa baguette à porter de main.
(La Demiguise est un singe aux grands yeux noirs mélancoliques avec une belle fourrure de laquelle on se sert pour confectionner les capes d'invisibilité. Cette créature est originaire d'Extrême Orient.)
Matières préférées/détestées : Matthew aime beaucoup les sorts et enchantements... La divination, et la botanique. Il n'est pas fan des duels maléfiques, comparé a certains. Il hait le Quidditch et la métamorphose. Le reste, il n'aime pas, mais ne déteste pas.
Animal de compagnie : Raton laveur, du nom de Splendid. Matthew l'élève depuis sa naissance.
Patronus : Pingouin. Vous avez bien entendu. Un pingouin.
Le Personnage
Qualité : Souriant, affectif, intelligent, sociale, enjoué, manuel, poli.
Défaut : Egoïste, manipulateur, hypocrite, égocentrique, arrogant, impatient, vantard, narcissique, lunatique, excentrique, perfectionniste, sadique.
Physique :
Le corps de Matthew, il est frêle. Oh oui, très frêle. Aucun muscles à l'horizon, ni de graisse d'ailleurs, car l'anglais s'avère être assez mince. Une taille de à peu près un mètre soixante-douze, pour un poids largement en dessous, des bras fins, des mains de filles bien entretenu et très peu rongé. Des jambes droites, donc aucun problème d'équilibre... Une pilosité faible, très faible. Le peu de pilosité qu'il possède se voit peu, très peu. Tellement peu. Pas du duvet, barbe, moustache et tout le truc bidule muche qui rend un garçon sois-disant "sexy". Matthew est très efféminé, il ne faut pas se le cacher. Il a donc un corps mince et peu facilement faufiler dans certains endroits. Donc les tablettes de chocolat les filles, vous oubliez... C'est loin d'être son style. Il ne ressemble pas à Hulk. Sir Lewis n'est pas aussi fort, et musclé. Et vert. Il y a tout de même des limites, et s'il doit fréquenter un garçon, il ne veut pas s'attendre a tomber sur un musclor de première. Nananananan. Les garçons comme ca son la plupart du temps des machos hors paire, et les machos, Matthew les renie. Et s'il pouvait, il les.. Tuerait. Un par un, et Dieu sait qu'il y en a beaucoup sur cette fichue planète. Matty ne cache pas ce désir de tuer tous ces garçons étant persuadé que toutes les filles tombent a leurs pieds en un claquement de doigt. Oui, car pour l'adolescent, il y a une égalité des sexes, et donc savoir qu'un homme prend une femme de haut, cela l'énerve. Et même si je ne l'ai pas mentionné, en cas extrême, il peut se montrer violent. Je dis bien extrême. Et détrompez-vous, sous ses airs frêles se cache une force étonnante. J'espère juste que vous ne vous prendrez jamais de claque de sa part, car ca fait mal. Enchainons directement sur son visage... Bon, Matthew est brun (avec quelques reflets bleuâtres), vous l'auriez remarqué, je pense. Ses cheveux ne sont pas long, ni très court, par contre ils sont doux ! Et l'anlais s'occupe beaucoup de son image. Donc, vous ne verrez jamais ses beaux cheveux gras, ou quoi que ce soit d'autre. Un peu plus bas, son front, caché légèrement par une mèche de cheveux, puis ses sourcils de la même couleur que ses cheveux. Non, ce n'est pas un mono-sourcil, loin de là. (Voilà autre chose que Matthew ne supporte pas, les mono-sourcils. ERK.) Ils sont fins, et n'hésite pas à les épilés, comme une fille. Oui. (J'ai sans doute oublié de vous dire qu'il pouvait se limer les ongles, aussi.) On descend encore un peu pour y trouver ses yeux, ses yeux si bizarre. En fait, ils sont marron. Enfin, c'est ce qu'on dit. Mais sérieusement, ou voyez-vous le marron ?! Ils sont.. Violets. Ses yeux sont hypnotisant, et expressif. Une belle arme pour convaincre les gens. Ses yeux sont rarement entourés de cernes, et jamais maquillé ! Non, ce n'est pas un émo, hein... Même s'il a déjà été tenter par l'appelle du mascara. Ah ! Les cils... des cils ni trop court, ni trop long, d'une longueur parfaite pour un garçon, et puis ses joues. Légèrement rosées, toutes jolies, qu'on a envie de pincouiller comme une grand-mère. Au passage, sa peau est assez pâle, cela vient de sa mère qui avait la peau aussi pâle que lui. Peau qui, bien entendu, n'a aucune imperfection et qui s'avère d'une douceur extrême. On se doutera que Matthew y passe des crèmes, et bien autres produit pour en venir a cet effet.. Et bien pas totalement. Juste une crème suffit, n'oublions en aucun cas qu'il s'occupe de lui comme une vraie petite fille. Au milieu de son visage se trouve bien sûr... SON NEZ. Dessiner merveilleusement bien, et proportionnelle au reste de son visage, il n'y a aucune bosses ni.. truc bizarre sur celui-ci. En descendant un peu, on y trouve sa bouche. Elles aussi extrêmement bien dessiner, rarement gercé, puis... Douce (tout est doux chez lui.) ! Et légèrement humide. Elles n'ont jamais eu un seul contact avec d'autre lèvres. Aucun premier baiser n'a été donné au "gentleman" anglais... Ses belles lèvres sont d'une couleur pêche naturel, et a tendance a ne pas supporté quand elles sont gercés. Pourtant, il les mord assez souvent, surtout quand il stresse pour un oui et pour un non... (Ca lui arrive très souvent, pour savoir s'il a réussit sa comédie, ou non. Vous comprenez, c'est stressant.) Et après le visage, voilà les gouts vestimentaires de l'adolescent. Matthew apprécie tout particulièrement le noir et le blanc, et aime s'habiller d'une façon très classe. Les chemises, cravates et tout le reste sont de la partie. Tout en étant moderne, et original. Il ne supporte pas la mode, et donc ne la suit pas. Au contraire, les phénomènes de modes lui font pitié. Il déteste aussi, les joggings et autres habits de sport qu'il ne peut pas supporté. Rien que de voir ces bouts de tissu lui donne la gerbe, pour son plus grand malheur. Matthew ne porte que du noir, blanc, et gris et quelques couleurs pastels réservés pourtant aux filles, tout en étant féminin et classe. Il serait excessivement doué pour le cosplay... Car Matthew adore les déguisements, et n'aurait jamais honte de se travestir. Car a ne pas oublier : Fille ou garçon, nous sommes tous les mêmes.
Caractère:
C'est un peu du "Bienvenue chez nous, bienvenue chez les fous" dans la tête de Matthew. Pourquoi "nous" ? Peut-être car, il n'y a pas que lui dans sa tête... Je vous rassure ! Il n'est pas schizophrène. Mais il a toujours défini qu'en lui se trouvait deux personnes, voir trois. La voix de la sagesse, qu'il n'écoute quasi-jamais, et la voix des conneries, qu'il écoute bien trop souvent. La troisième reste un mystère. Penchons-nous un peu plus sur son cas, bien particulier. Matthew n'est pas DERANGER, mais presque. On ne peut pas dire qu'il soit normal... Ni anormal ! Il est juste spécial. Très... spécial. Détaillons, détaillons camarade !
Dans un passé assez lointain, le jeune Anglais n'était pas totalement, voir, quasiment, pas le même qu'actuellement. AVANT (a souligné, encadrer, mettre en italique, rouge fluo, à faire clignoter, a surligné.) Matthew était une personne qui passait son temps à rêvasser, dessiner... Enfin, pour faire bref, il était calme. Tellement calme, qu'avec lui, on était sûr d'entendre les mouches volées si on ne lui donnait pas la parole. Très poli comme ses parents l'avaient habitué, il ne manquait jamais l'occasion de dire bonjour aux personnes âgés et tout ce qui en suit. Serviable, car il passait son temps a aidé a droite à gauche. Matthew n'y pouvait rien, aider été plus fort que lui. Son sourire était rayonnant (et non pas mal-saint comme maintenant.), son rire mélodieux (et non pas satanique...), son regard angélique (et non pas maléfique.). Un ange sur terre ! Oh oui ! Dieu existe ! Eh bien non. Comme rappelez précédemment, l'ange Matthy a changé, bien trop radicalement d'ailleurs. Bon, on barrera mon blabla eh ? Il était aussi assez naïf. Matthew prenait beaucoup de choses au premier degré. En famille, il aimait bien s'exprimer, raconter ses journées... Bavard, très bavard. Il l'est toujours d'ailleurs, mais moins. Il vous laisse en placer une... Pas comme quand il était gosse. Impossible de dire un seul mot. Matthew était, et est toujours d'ailleurs, une personne sociale avec qui on peut rire et parler facilement. Très, facilement... Mais, il faut l'avouer, que cela fait toujours plaisir de parler à une personne aussi enjoué que lui. Ca met toujours du baume au coeur. Un vrai rayon de soleil ce petit bout, non ? Eh bien, oui. Un ange sans aucun "défaut" vraiment voyant. Tout ce que des parents pouvait désirer, car en plus, Matthew se trouvait être un véritable prodige dans tout ce qui était manuel. Surtout le piano, il a très vite apprit, et a su très vite le pratiquer. Une intelligence, vraiment hors norme, et ce n'était pas sous ses airs "bêbête" qu'on allait le remarquer. Toujours a sourire, a ouvrir la bouche (il a déjà gober une mouche.) pour dire quelques choses ou rigoler, sortir des blagues pas très marrante, mais qui peuvent toujours faire rire. En le voyant, on n'avait pas excessivement l'impression d'avoir affaire à un petit génie qui pouvait aider avec ses immenses capacités, des scientifiques ou autre. Mais il faut l'avouer non ? Une bouille adorable et un grand sourire, c'est un charme infaillible ! Oh bon sang, je plonge trop dans le passé, revenons peut-être au présent...? Tout ca n'a plus vraiment d'importance, il y a eu un énorme changement un peu avant qu'il ne parte on sait où. Entre dix et onze ans, me semble-t-il.
Le présent... Dur-dur d'accepter un changement si radical. Il y a encore des similitudes, certes, mais des choses ont changés, et ce n'est pas toujours facile. Commençons par les défauts... Ils sont nombreux.
Egoïste, Matthew ne pense qu'à lui a présent. Il y a, son raton laveur et sa petite personne. C'est un peu du "chacun pour soi" avec lui... L'anglais n'aide plus personne, il n'a plus cette passion qu'il avait avant. L'adolescent garde donc tout ce qu'il y a de bien pour lui, et ne partagera rien en aucun cas, avec qui que ce soit. (A part son raton laveur, comme dit précédemment.) Donc, ne comptez pas sur lui si vous avez besoin de quelque chose, la seule chose qui vous répondra, c'est : "Débrouille-toi". Même si vous êtes entre la vie et la mort... Alors qu'il vous a fait croire juste avant, que vous étiez un être chère. Et oui, bienvenue dans le monde de la manipulation mes amis ! Matthew est un comédien hors-paire, le mensonge, la manipulation et l'hypocrisie n'ont plus de secret pour lui. Il ment comme il respire. Pour la manipulation, il faut l'avouer, il est très fort a ca. Le joli brun vous mènera en bateau, par le bout du nez, quelques soit l'expression, il vous fera croire tout et n'importe quoi, et le pire vais-je vous dire... C'est que vous allez le croire dans n'importe quelle situation. Il est donc très facile pour lui de monter les gens les uns contre les autres, d'accuser quelqu'un à sa place... Et j'en passe. Inclus dans ce "pack" défaut satanique, il y a cette fameuse hypocrisie. Vous avez beau le saoulé, il fera mine de s'y intéressé et vous écoutera a moitié. Et vous, gros naïf que vous êtes, vous allez être sûr qu'il a tout écouté de A à Z. Eventuellement, Matthew dit souvent qu'il a quelques problèmes de mémoire... Histoire que vous pensiez qu'il a juste oublier à cause de ses maux de tête, et non pas qu'il ne vous a pas écouté. Des techniques précieuses que Matty ne cesse d'utiliser. Surtout avec les filles... Il faut l'avouer, il a un faible pour manipuler la gente féminine. Voir des filles souffrir, se battre par amour, tout ca, tout ca... Non, ca ne plait pas à Matthew ! Cela le distrait juste quand il n'a pas de but précis, ou rien à faire. Hmmm... Un véritable imbécile sur patte diriez-vous. Sur ce, fouillons un peu plus dans ce P.D.S (Pack Défaut Satanique !)... L'hypocrisie est accompagnée de ce fidèle EGOCENTRISME international. Il faut l'avouer... Sir Lewis... S'aime. Il s'adore, je dirais. A ses yeux, il n'incarne pas la perfection, mais presque (que dis-je, il est la perfection.). Matthew aime s'envoyer des fleurs, très souvent, il se glisse des compliments discrètement dans des conversations... Avec subtilité, et classe, c'est presque si on ne le remarquerait pas. Enfin bref, il est génial, superbe, mignon, adorable, tout ca quoi... C'est se jeté des fleurs ! Un truc bien insupportable, comme tout le reste précédemment citer. De plus, pour l'anglais égocentrique, personne ne peut le sur-passé. C'est vrai quoi : Il est riche, mignon, charmant et blablabla. Mais il a oublié quelque chose certainement. Les sentiments, peut-être ? Matthew n'a jamais aimé personne à part sa propre personne ! Enfin si, ses grands-parents. Mais personne d'autre. Il a ensuite coupé les ponts avec tous ses amis, à part quelques-uns qu'il s'est amusé à faire souffrir. Mais au fond, c'est comme si son coeur revenait a être une pierre. Et pour tout dire, il n'a jamais aimé personne d'un amour incommensurable. Non, l'amour, c'est débile, dit-il sur un ton arrogant. Ah ben oui ! Car il est arrogant. Bien sûr, ca va avec, sinon ca n'aurait pas de sens... L'arrogance est tout un art avec lui. C'est pire, même. S'il y avait un concours d'arrogance, je suis sûr qu'il gagnerait. Matthew sait très bien rabaisser les gens, par la même occasion. Il sait très bien les mettre mal à l'aise et tous ces trucs bien embarrassant pour les autres, et amusant pour sa petite personne. Il y a bien sûr... l'impatience de monsieur Lewis. Matthew a donc été habituer depuis petit, a avoir tout ce qu'il voulait à la seconde près où il le demandait. Ses habitudes de gamin pourri gâté ne lui sont pas passés pour autant. Et attendre pour lui, c'est inhumain. De plus, il est très a cheval sur l'heure. Il ne supporte pas le non-respect (tu parles de respect toi !) des horaires. Les gens se doivent d'arriver à la bonne heure. Pas à l'avance, pas en retard. Mais lui, par contre, a le droit de se tromper d'heure, ou d'arriver une demie heure après à un rendez-vous. Car Matthew, c'est la perfection, et que la perfection a TOUT les droits... Je ne soulignerai pas plus son impatience, vous avez bien compris de quoi je voulais parler. Il est juste I.N.S.U.P.P.O.R.T.A.B.L.E. Ah mais, c'est pas finit. Il est lunatique aussi... L'adolescent passe d'un sourire magnifiquement (hypocrite ou non) et chaleureux, a un ton froid et dictateur (a préciser, il voulait diriger le monde petit, sans mauvaise intention. Mais tout de même.) C'est chiant, les gens lunatiques. C'est insupportable... Et surtout, incontrôlables pour les gens qu'ils le sont. Mais il suffit d'une parole de travers, d'un geste qui ne plait pas, pour qu'il change complètement d'humeur. A moins que vous soyez sa proie, et la, même s'il a envie de vous tuez, il fera comme si de rien était. Tout dépend, cependant, je vous mets en garde... Il risque d'être lunatique. Continuons, continuons... On en a plus pour très très longtemps. J'essaye de faire court la. Non mais oh... (S'il voit ca un jour, je peux aller me jeté d'un étage, vraiment.) Excentrique ? Mmmmh. Oui, pas tellement un défaut, pas tellement une qualité. Matthew l'est au niveau du style. Il n'a peur de rien, même pas de se travestir, un peu farfelue, il n'a vraiment peur de rien. Et enfin, le perfectionnisme qui est un défaulité. (Qualité/Défaut) Il ne supporte pas l'imperfection. Tout doit être carré. Je parle de physiquement, hein. L'anglais doit sortir parfaitement coiffer, habiller et j'en passe. Sinon, c'est la mort. Et il squatte sa salle de bain, facilement deux heures par jour. A se regarder, s'admirer et j'en passe. Il porte une attention particulière a son physique, mais n'essaye de pas en faire part a n'importe qui... Enfin, c'est ce qu'il dit. Il passe son temps a se vanter. On s'arrête là ?
Mais enfin bon, il y a des bon côtés tout de même. (AH BON ?!) Eh bien oui, il faut bien voir un peu de positif là-dedans. Car précédemment, c'est SATAN que je vous ai décrit... Et il faut avouer que cela ne donne pas envie de le connaitre. Alors, maintenant on peut parler plus profondément de ses qualités pour vous donner un peu moins l'envie de lui envoyer une claque dans la figure...
Matthew est souriant. Il l'est très souvent, et son sourire d'hypocrite, et son sourire naturel, est le même. (Raison de plus pour ne pas différencier son hypocrisie de sa sincérité.) Il aime montrer sa joie de vivre, sa joie d'être sur terre... Cette joie... D'être Matthew Lewis, l'anglais riche. Quelle question, il est plus que fière d'être ce qu'il est ! Passons, passons. Mis à part son sourire magnifique qui lui donne un charme fou, il a son affection... Matthew est très tactile, et il aime toucher les autres. Le contact le fascine, il adore ca et n'aura donc pas peur de prendre quelqu'un par la main, ou dans ses bras pour la réconforter (que ce soit sincère, ou non.) ou bien autre. Sans affection, Matthew serait capable de... De quoi au fait ? On ne sait pas, cela n'est jamais arrivé qu'il soit en "manque". Mais le jour ou cela arrive, on saura ce que cela lui fait, je pense qu'il le vivrait mal, et qu'il ressentirait une forte tristesse. Que dire d'autre ? Ah, son intelligence qu'il a gardé, bien sûr. Son intelligence hors-paire, ce petit génie qui pourrait partir à la NASA sans aucun problème. Fort en toutes les matières, c'est un cerveau très bien constitué qui loge dans la tête de Matthew. Pendant les cours, il s'ennuie, c'est comme s'il savait déjà tout... Être intelligent est tout de même une belle qualité a exploité et a ne pas laissé de côté. Pourquoi je sens que ce paragraphe sera plus court que celui qui a précédé ? Car je ne trouve pas de qualité. Ah, si. L'adolescent est toujours aussi sociale. La timidité, ce n'est même pas dans son vocabulaire. Il va vers les gens en un rien de temps, leur parle, peut faire "ami-ami", les faire rire et cie. Très doué pour la communication, donc. ARGGGH. Vraiment dur de trouver des qualités au diable, vous ne trouvez pas ? Oh ne vous inquiétez pas, il doit bien y en avoir d'autres mis à part ceux la. Mmmh.. Il est manuel ! Doué dans tout ce qui est dessin, musique, texte. De plus, il a une imagination sans fin, que ce soit pour ses plans diabolique que pour ses cours ou autres d'ailleurs... Et pour finir, Matthew reste une personne très poli, qui s'excuse, dit bonjour, au revoir. Que ce soit sincère, ou non. (Encore une fois.) Mais enfin, ce paragraphe se finira la pour notre plus grand malheur. Je n'ai rien d'autres a dire, moi !
Hobbies : Ses hobbies ? La moitié de ses hobbies sont mal-sains. Bon, pour une fois, on va oublier le mal pour ne résumé que le bien ! Il joue donc du piano, adore écrire, dessiner... Mais bon, si on s'arrête là, on a plus grand-chose a dire. Matthew apprécie donc faire souffrir les gens, manipulé, mentir, faire l'hypocrite. On va dire que, la franchise n'est pas trop son fort. S'occuper des animaux, car il adoooooooore les animaux... C'est bien les seuls êtres qu'il ne fera pas souffrir. Sans oublier, câliner son raton laveur chéri, et colorier une feuille blanche en rose ou bleu... C'est plutôt des "passe-temps-bouche-trou" ca. Ah ! S'envoyer des fleurs aussi, c'est un hobbies formidable ca, voyons... Se complimenter, c'est la plus belle chose au monde. Pour Matthew.
Gouts : Qu'aime notre égocentrique ? Et bien, lui, d'abord. Il s'aime, c'est une évidence, et si je vous le rappelle souvent, c'est que c'est quelque chose a ne pas oublier. Qu'aime-t-il d'autre ? Ah ! Le rose. Le jaune... Le bleu. Toutes ses couleurs pastels qui font briller ses petits yeux. Matthew s'attendrit devant tout ce qui est mignon, dont les animaux, peluches en tout genre, et accessoire adorable pourtant dirigé vers la gente féminine. Il adore d'ailleurs les petits porte clef en cupcakes et j'en passe. Matthew aime la pâtisserie, manger tout ce qui est sucré est aussi une passion bien étrange que j'ai oublié de citer précédemment (un défaut de plus. Yaha !). Quand le Canadien se trouve dans une pâtisserie, c'est le paradis sur terre. Tous son argent y passe... Il se trouve qu'il n'a pas non plus trop de pitié avec les billets. Bien entendu, il chérit son raton laveur, son petit animal qu'il ne quitte jamais. Que ce soit en cours, a la piscine, a la plage, dans un centre commercial ! Matthew a toujours cet animal baptisée "Splendid" quand il était enfant. Il traite cet animal comme sa propre progéniture. Il le change d'habit, lui fait prendre des bains et compagnie. Splendid a été trouvée dans une poubelle près d'un parc pour enfant, dans un état pitoyable, et... Matthew a été traumatisé. De voir un animal abandonnée lui a fendu le coeur ! Depuis, il apporte plus d'importance à cet animal, qu'à un être humain. Que dire d'autre ? Bon, Matthew aime ÉVIDEMMENT la musique, surtout le piano, et la guitare... Ainsi que le violon. Il sait très bien jouer du piano, légèrement du violon, et quelques notes de guitare. Mais enfin. Qu'aime-t-il d'autre ? Que déteste-t-il ? Quand on arrive en avance, en retard, cela a été déjà mentionner. De toute façon, vous verrez bien... Il y a une tonne de choses que Matthew n'aime pas.
Le Passé
Histoire :
Acte Ier
« Welcome to a world sadistic, my baby. »
Londres, 15 Mai 1993, Green hospital.
Londres, cette ville si côtoyer, des millions de gens y habitaient, et s'y plaisaient tout autant. Sauf les parents de Matthew, partout ou ils se tournaient, ils voyaient le mal dans cette ville. Et pour leur plus grand malheur, Matthew né ici. Dans l'hôpital ou sa tante était décédée précédemment. Pour son père, grand sorcier, cela ne présageait rien de bon. Et même si ce 15 mai se devait d'être un jour magnifique, il fut gâcher par les larmes de la jeune maman, venant d'accoucher, qui s'était jurer de ne jamais avoir d'enfant. Pourtant assez fortuné, ce couple composer d'un sorcier et d'une moldu, ne voulait pas d'enfant. Tout, sauf ca, disaient-ils assez souvent pour le plus grand malheur des parents de John, le nouveau papa. C'était bien triste de voir une mère dépassé par le fait d'avoir un enfant. Un père qui cherche déjà à foutre son gosse à l'adoption. C'est infâme. Mais, ils avaient tout deux une raison. Depuis que leur couple avait été fonder, la malchance les poursuivaient. Le personnel de l'hôpital les connaissait bien, car au moins trois fois par mois, il arrivait quelques chose a la pauvre Wendy, poursuivit par des esprits bizarres, même dans ses rêves, ces choses venaient la faire cauchemarder. Un quotidien devenu insupportable, qu'ils ne voulaient pas partager avec leur nouveau-né. Mais il était là, et finalement, ils le gardèrent pour leur plus grande joie. Car ce petit bout ne leur avait apporté que du bonheur. Matthew était déjà très souriant, même bébé... Précoce surtout, d'une intelligence vraiment hors paire pour son petit âge. Une avance qui faisait la fierté des parents, et des seuls grands-parents sorcier qu'il avait. Matthew prit le nom de sa mère, pour qu'aucune personne ne le reconnaisse, et ne lui parle du passé de son cher papa. Qui n'avait pas l'air très plaisant, d'ailleurs... Mais peu importe, Matthew ne savait encore rien a cet âge. Quand on est petit, on se fiche de tout, on ne comprend quasiment rien, on ne pense qu'à manger, dormir, rire, jouer. C'est l'âge de l'insouciance, qui se prolonge jusqu'à nos dix ans a peu près. Alors, Wendy et John profitèrent de ce temps. Matthew dit ses premiers mots, commence à marcher, se faire choyer dans sa grande demeure, a tout ce qu'il veut, a la seconde ou il le veut. Un vrai enfant gâté, qui prend très vite goût aux choses luxueuses, sans vraiment en abusé. C'est vrai que cette demeure trônant au cœur de Londres était impressionnante, belle, et attirait une attention phénoménal. On avait presque envie de la prendre en photo, comme si c'était un monument. Vous l'aurez comprit, l'argent ne manquait pas a cette famille, aisé grâce au vole du sorcier étant le père du petit garçon portant le nom de « Lewis » pour ne pas se faire remarquer. Un quotidien bien banal, et bien entendu, école a la maison pour le petit génie. Un grand jardin, une grande maison, une salle de jeu avec son nom, le bonheur pour un petit garçon. Un bonheur, qui fut limité. Très, limité. A à peine cinq ans, Matthew doit dire au revoir a ses parents. Déjà ? Et oui, il était temps. C'était écrit, c'était ainsi, ainsi va la vie. John et Wendy finirent leur vie très tôt, laissant derrière eux, un petit bout de chou, seul, et perdu sans ses deux repères. Assassinés, retrouver dans un tunnel ensanglantés, personne n'a réussit a trouver le meurtrier, et au goût de la grand mère, les recherches avaient été abandonnés bien trop tôt. Comme si la police était de mèche. Mais aucun doute pour le grand-père, rien à voir avec le monde des moldus. L'assassin venait bien du monde magique... Sauf que, rien n'était trouvable, pour le plus grand malheur des grands-parents. Pour éviter toutes histoires, ils mirent la maison a vendre, et empochèrent pas mal d'argent. Ils décidèrent de partir du cœur de Londres, et d'aller en retrait de cette grande ville, dans une maison assez spacieuse, avec un jardin et un environnement très fleurit. Seulement une route passait, et tout le reste n'était que des arbres verdoyant, de l'herbe parfaitement couper, et quelques retraités dans leurs maisons. Une petite école juste a côté, très peu peuplé. Un coin tranquille, a une heure de la capital. C'est ici que Matthew apprit a vivre sans ses parents. Sans savoir ou ils étaient réellement passer. Il lui fallut attendre ses sept ans pour qu'on lui avoue que ses parents ne reviendraient jamais. Bien trop sensible, enfant, il pleurait quand une mouche mourrait... C'était bien dur de lui annoncer cet événement tragique. Qu'il accepte tant bien que mal. En même temps, sa grand mère lui apprit qu'à la base, il ne devrait pas être ici. Il ne devrait pas exister. Ou, ne pas être de cette famille. Un nouveau choque pour l'enfant, qui en prit pas tout à fait l'ampleur du problème qu'il posait a peine arriver sur terre. Une tonne de questions se posent, sans réponses, bien évidemment.
Acte II
« Again ? »
Brighton, 01 janvier 2004
Comme d'habitude, Elise et Gérard, les grands parents de Matthew, l'emmenait au merveilleux feu d'artifice de Brighton. C'était comme une tradition de passer le jour de l'an la-bas, pas très loin de la mer, manger dans un bon restaurant, et regarder le feu d'artifice sur la belle place au cœur de la ville. Les grands-parents de Matthew adorait ca, et le petit garçon aussi. L'année d'avant, Matthew se souvenait encore d'un garçon qui l'avait agresser sur la place, pendant le feu d'artifice qu'il ne put même pas regarder en entier, à cause de cet inconnu malpoli qui avait osé le cogner. La moindre des politesses était de s'excuser. Puis, il fallait regarder ou il marchait ! De plus, Matthew avait perdu son écharpe préféré ce jour là, et ne s'en était toujours pas remit. Son nom était même cousu dessus, et tous les jours de cette nouvelle année, il repensa à la pauvre écharpe. Qui aurait bien pu la trouver ? Triste, il cessa d'y repenser. Finissant son assiette dans le restaurant ou ses grands-parents étaient de grands habituer, Matthew fait la moue en repensant a sa belle écharpe tricoter par sa grand mère. C'était tellement marquant pour le petit garçon. Sa grand mère lui dit en riant « Je t'en referait une ! » seulement, cette écharpe était unique, selon Matthew. Tout est unique, et il n'avait même pas fait attention. Ses pensées négatives se dissipent dans la tête du petit brun, puis il regarde sa toute nouvelle montre qu'il a eu pour noël, et dit fière de lui « Le feu d'artifice va bientôt commencer ! Nous allons bientôt rentrer dans l'année 2004 ! ». Encore un an de passé, décidément, le temps passait vite, cela impressionnait le petit anglais. Bien content qu'une nouvelle année débute, il presse ses grands-parents pour admirer les bouquets de couleurs qui explosaient dans le ciel sombre. Finalement, ils se lèvent au moment du décompte, tout le monde crie « 10,9,8,7... » Matthew ne perd pas de temps, à minuit pile, le feu d'artifice débute, il commence a courir vers la place, laissant ses grands-parents derrière lui, pousse tout ce qui lui barre la route, même les adultes tenant une bouteille d'alcool. Matthew n'a peur de rien, il les pousses, violemment, il ne veut pas raté une seule miette du feu d'artifice ! Pas comme l'année dernière ! « 6,5,4,3... » Matthew accélère, marche sur quelques pieds, mais ne prend pas la peine de s'excuser, alors que d'habitude, l'enfant est très poli. « 2...1 ! BONNE ANNÉE ! » Matthew arrive à temps, lève la tête, mais ne voit presque rien. Il décide de s'approcher un peu plus, et court le plus vite possible, en percutant les gens encore et encore, quand soudainement, quelqu'un le percute en même temps. Le choc fut brutal, et bruyant. Matthew s'énerve directement, aucun idiot l'empêchera de regarder le spectacle en entier cette fois ! Oh tiens ? Encore un chapeau qui tombe, intriguer, cette fois Matthew le ramasse. « RENDS MOI CA ! » cria la personne, folle de rage. L'anglais sentit le chapeau repartir violemment, et regarda droit dans les yeux, la personne si énervé qui venait de lui reprendre l'objet. « ENCORE TOI ?! » même réaction des deux jeunes garçons, s'étant déjà croiser l'an dernier. « Je sais qui tu es ! » disait le garçon légèrement plus petit que Matthew. « Je m'en fiche, pousse toi. » rétorqua le petit brun en poussant son interlocuteur, et la jeune fille l'accompagnant... Mais cette scène de ménage n'était pas tout à fait fini. « Reviens ici ! J'en ai pas fini avec toi ! » disait l'inconnu en poursuivant le jeune Lewis qui accéléra le pas pour semé cet idiot fini qui se croyait dans une enquête policière. Après quelques instants, l'innocent se retourna pour vérifier si l'inconnu le suivait encore, mais la foule les avait séparer. Matthew lâche un souffle de soulagement, et peu enfin regarder son feu d'artifice tranquillement, enfin, c'est ce qu'il croyait. « JE TE VOIS ! » disait une voix déjà... familière au Londonien. « ...Quoi encore ? » … « Est-ce-que tu comptes me pousser toutes les années ?! » Matthew pouffa de rire, et partit dans le sens inverse pour se placer autre part. Mais le garçon ne semblait pas lâcher le morceau, et continuait de le suivre, toujours accompagné de cette fille aux airs largement plus jeune. « Réponds moi. » s'énerva le capricieux. « Non. » répondit Matthew agacer de cette personne qu'il ne connaissait même pas... Excéder, Matthew préfère la fuite, que la discussion, du moins pour ce soir la. Il arrive a se faufiler entre les gens, et a se cacher parmi la foule, pour cette fois, ne plus être embêter. Mais pour son plus grand malheur, il ne restait plus beaucoup de chose à voir. Énervé de sa soirée complètement raté, il retrouve ses grands-parents avec un air blasé, leurs racontant ce qu'il s'est passé. Elise rit, ainsi que Gérard, alors que pour Matthew, la situation n'est PAS DU TOUT amusante. Dans la chambre d'hôtel qu'ils avaient réservés pour une nuit, sa grand-mère lui dit tout sourire « C'est le destin, tu le recroiseras peut-être. Voir certainement ! ». Matthew n'est pas très content de ce que viens de dire sa grand-mère adorée, et râle copieusement en soufflant bruyamment pour qu'elle comprenne son insatisfaction. Elise rit, puis couche son petit fils pour lui souhaiter une bonne nuit, et une nouvelle fois, une bonne année. C'est sur ses paroles, que Matthew s'endort dans les bras de Morphée... Riant une dernière fois, en repensant au visage énervé de ce garçon, voulant des excuses, un an après les faits. Il fallait l'avouer, c'était TRÈS comique comme situation... La nouvelle année commençait en beauté, pour Matthew.
Acte III
« New skylines »
Part I > Marlow, 06 juillet 2004, maison de Matthew.
Pour Matthew, les été sont fait pour dormir. Il est exactement quinze heure, et monsieur Lewis dort encore, après avoir veiller assez tard pour finir son livre favoris pour la troisième fois... Et le réveil de sir Lewis fut très brutal. Quelque chose d'énorme percuta sa vitre, comme si elle allait casser. Matthew sursauta, et se mit a râlé a cause de ce bruit assourdissant, cherchant dans sa chambre ce qui avait bien pu s'écrouler ainsi. Mais, rien, Matthew ne trouve aucun objet qui a fait une grande chute pour faire un tel bruit. Puis, il entend un autre bruit, et se retourne vers la fenêtre. Le jeune garçon sursaute, un hibou se trouvait devant la grande vitre. Il s'approche, un peu hésitant, car la peur l'envahit. Ce hibou peut peut-être lui faire quelque chose ! Mais le papier qu'il tient dans son bec attire l'attention de notre jeune héros. Il va donc ouvrir a l'animal, qui rentre chaleureusement dans sa chambre, posant le papier sur son lit, et attendant patiemment. Attendant quoi déjà ? Que Matthew lise. Il saisit la lettre, l'ouvre puis commence a lire attentivement. « Très cher Lewis, nous avons la joie de vous annoncer que vous avez été accepté à Swelty afin de parfaire vos études en magie... » Swelty ? Les grands-parents du jeune homme lui en avait déjà parler, ils étaient aller faire leurs études la-bas ! Mais l'école n'avait apparemment, pas le même nom. C'est même à cet endroit qu'ils se sont rencontrés. Tout sourire, Matthew descend de sa chambre, et court vers sa grand mère, le papier en main, accompagné du hibou le suivant... Elise le regarde, puis lui sourit. Elle était au courant de cet événement depuis un long moment, et le cachait à son petit fils. Matthew était fasciner par le fait de partir en Amérique. C'était un grand voyage, il allait traversé la mer, avoir des heures de transport. Le jeune adolescent était très exciter, et n'attendait ç présent, que ca. L'école normal, c'était fini, et il allait rentré dans une école de magie, comme ses grands parents l'ont fait, et comme son père l'a fait... Sa grand-mère fit sortir la chouette de la maison par la baie vitrée, puis fit asseoir son petit fils pour lui raconter ses années à Swelty. Matthew n'en pouvait plus d'entendre, il voulait voir !
Part II > Londres, 01 septembre, Aéroport.
Le jeune garçon n'avait pas dormit de la nuit, juste un peu dans la voiture pendant le trajet qui menait jusqu'à l'aéroport... Mais celui-ci n'était pas fatigué pour autant. Dans l'aéroport, il était très impatient, mais très calme à la fois. Il passa au guichet, laissa ses bagages, ainsi que son raton laveur chéri qu'il devait laisser dans la soute à bagages... (Matthew en était malade, snif.) puis dit au revoir a ses grands parents, qu'il verra les prochaines vacances. Le temps va se faire long, sans leur compagnie, mais Matthew est fort. Les au revoir sont fait, maintenant, Matthew est seul dans l'aéroport, et doit passer l'endroit ennemi : LES DOUANES. Ce truc, c'est horrible. C'est une perte de temps, surtout pour un enfant aussi innocent que Matthew ! Mais il y est forcer. Il pose donc son petit sac comportant du matériel pour s'occuper, son téléphone portable, enlève sa ceinture et tiens son pantalon pour ne pas qu'il tombe... Vérifie s'il n'a aucun bijou sur lui, puis passe. Aucun bruit, il peut donc récupérer ses affaires. Attendez.. Héé ! Euuh... On le fouille ? Matthew est obliger de subir, de se taire, et de laisser la femme faire. Il peut enfin récupérés ses affaires, puis il va s'asseoir sur un siège dans la salle « d'attente » en attendant que son avion arrive... Il sort de son sac, un livre, et commence à lire calmement. D'autres jeunes personnes de son âge son présente, et aussi seul que lui. Matthew les observes rapidement, puis retourne à son livre. Une vingtaine de minute plus tard, l'avion est là. Il se dirige donc vers le guichet pour donner a une hôtesse, son passeport et billet. Matthew file tout droit vers l'avion, tout heureux, il sourit a toutes les hôtesses et stewart. Son siège affiche le numéro 22E. Il suit, et se retrouve au milieu de deux inconnus. Matthew déteste être assit à côté de gens qu'il ne connait pas. Que ce soit au cinéma, ou n'importe ou. C'est oppressant, on se sent gêné ! Il soupire, s'assoit et se remet a lire. Le décollage commence, et c'est seulement une heure après avoir lut qu'il s'endort avec ses écouteurs dans les oreilles. Il y a plus de douze heures de vol pour arriver à destination... Matthew rattrape sa nuit dans l'avion, confortablement installé avec l'oreiller fourni par la compagnie... Au moment de se réveiller, il ne lui reste que trois heures de vol. Heureux d'avoir passer le pire, il demande a une hôtesse s'il peut avoir un plateau repas, car monsieur semble avoir très faim. Il dévore la nourriture réchauffer, et regarde un film dans le petit écran incruster dans le siège, se lève deux fois pour aller aux toilettes... Et le voilà arriver. Le voyage sera passer comme du beurre. Mais ce n'est en fait, pas tout à fait fini. A sa sortie de l'aéroport, une personne attend les gens qui doivent partir tout droit vers Swelty. Et devinez quoi ? Il y avait a peu près trois heures de train. Matthew n'était bien entendu, PAS AU COURANT et personne n'avait souligner ca. C'est complètement blasé qu'il s'en va vers la gare avec un bus, mp3 n'ayant presque plus de batterie. Matthew a son raton laveur juste sur ses genoux pour l'occuper, il lui parle et lui demande si le voyage n'a pas était excessivement long... Même s'il n'a aucune réel réponse, il communique avec l'animal du nom de Splendid. Les voilà a la gare, puis le voilà dans le train, fatigué de tout ces transports, ce n'était pas vraiment excitant au final. Matthew se rendort dans le compartiment ou il est superbement bien installé (prenant la moitié de la place de son voisin) et dort paisiblement, rêvant du lieu ou il va bientôt arriver... Réveiller seulement deux heures après, il n'y a plus qu'une heure à tenir, et Matthew papote quelques instants avec une fille en face de lui, bien sympathique, mais très cruche. Il fait comme a son habitude, de la grosse comédie, et sympathise avec elle, comme s'il sympathiser avec un pion duquel il allait se servir. Finalement, l'heure fut courte, et il arriva en un rien de temps a Swelty, avec Splendid, et tous ses bagages, ébahit devant la grandeur des choses, c'est ainsi qu'il posa ses bagages sur les escaliers du grand château, scrutant chaque petit détails de l'entrée, souriant, et satisfait. « On y est, Splendid ! »
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