AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

Partagez | 
 

 Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeDim 31 Oct - 10:39

    Long… c’était vraiment long… les cours Swelty. Aujourd’hui, il se trouve que je me suis retrouvé en plein milieu d’un cours de métamorphose. C’était très amusant. Vous savez, se transformer en chat. Youhou ! Vous m’expliquez à quoi ça va me servir dans la vie ? Jamais, moi, je dis bien JAMAIS je n’aurais pour idée de me transformer en chat ! En plus, si on se rate dans la métamorphose, c’est loin d’être marrant. D’une : On se fout la honte, de deux… on se tape une mauvaise note. Super. Et moi, je ne SUPORTE pas avoir une note en dessous de mes espérances. Voyez-vous, je suis tout simplement… parfait ! Parfait ! PARFAIT ! Bref. Vous avez compris. Aujourd’hui, on se transforme en chat. J’ai réussi brillamment, comme d’habitude. Même si je n’aime pas spécialement cela. Donc par chance, je n’ai pas eut de mauvaise critique de la classe, tout comme du professeur. L’heure se déroula tranquillement. Enfin, si l’on ne compte pas les nombreuses disputes que j’eus produit, ainsi que les râleries dont j’ai fait part. M’enfin… l’heure d’étude se passa donc rapidement, pour moi hein.
    Donc, la cloche finit par sonner, et toute la troupe se leva et rangea ses affaires. Enfin… sauf moi. Je ne prenais jamais quelque chose avec moi. À part ma baguette et mon fléreur. Mais ça… c’était logique et indispensable. On sortit donc tous de la classe, pressant le pas. Il était midi. Autrement dit, l’heure de la pause déjeuner. Super… moi qui adore généralement manger, là, je n’avais pas spécialement faim, et je pensais déjà à sauter le repas. J’enfonçais ma casquette sur mon crâne, regardant la foule se diriger vers la cantine. Moi, je commençais à prendre une autre direction. Je ne savais pas vraiment où j’allais, et en vérité… je m’en fichais complètement, tant que je me détournais de toute cette odeur qui pourrait finir par m’attirer. Je portais mon regard aux murs des couloirs. Quelques affiches avaient été collées sur ce dernier. Match de quidditch, clubs de potions… plusieurs sujets étaient énoncés, mais les affiches se répétaient souvent. C’était presque ennuyant. Pfiou. Il en arracha quelques unes, repoussé par tant de répétitions.

    Puis, il entendit derrière lui, quelques pas. Il se retourna, et vit des élèves de sa classe. Grands sourires dessinés sur leurs lèvres. Je n’étais pas rassuré par tant d’hypocrisie, mais je me contentais de leur sourire en retour. Leur adressant une main amicale, comme j’avais l’habitude de faire. Ils me la serrèrent chacun leur tour, et attrapèrent mon épaule, m’obligeant à les suivre. Je m’ennuyais donc, oui, ça ne me dérangeais pas tant que ça, de les suivre. Même si je savais qu’il y avait quelque chose de pas très net dans leur tête. Mais je me devais de donner une bonne image de ma personne. Et c’est tout. Ils semblaient tous rire de bon cœur, tandis que moi je me forçais de les suivre de mon rire propre et mélodieux. Ils me dégoûtaient, en réalité. J’avais du mal à les blairer. Je n’avais pas envie de les suivre. Pas envie de leur parler. Mais je me devais de le faire, simplement pour soigner mon image. Pour tout vous dire, je suis, sous les yeux des autres, quelqu’un de parfait, sans défaut. Enfin, ça, c’est lorsqu’on ne me connaît pas. Je me force à être gentil, chaleureux, affectif. Mais en réalité… et oui, en réalité… je ne suis rien de tout ça. Je suis bien pire… oh, si seulement vous saviez.
    Mais… tout le monde croit mon masque. Tout le monde m’apprécie, joue de moi, me croit naïf. C’est un plaisir pour mes yeux colorés. Voir les gens se croire puissant… haha. C’est tellement… amusant. J’en rie déjà… intérieurement. Ils tentent de me mener par le bout du nez. On s’approche de leur but… je le sens. Grand sourire aux lèvres, je lève doucement mes deux orbites pour finir par voir…. La chose dont je me serais bien passée. Ou bien, la personne. Adossé à un mur, il se trouvait que cette personne était Matthew. Quelqu’un que je connaissais depuis huit ans maintenant. On passe devant lui, il nous suit du regard… je fis mine de l’ignorer. Mais… contrairement à toute chose que j’aurais pût espérer. Le groupe s’arrêta. Me tirant avec eux. HAHA… Haha… ha… ils plaisantent j’espères ? Après il va encore penser que je le suis ! Non mais non ! On continue de marcher ! C’est un ordre ! JE le décide MAINTENANT !
    « Hééé. Pourquoi tu veux partir ? »

    Certains exclamèrent ces phrases en même temps. Ce fût une scène assez comique. Surtout lorsqu’on en est spectateur. Mais… lorsqu’on en est l’acteur, c’est beaucoup moins marrant. L’action d’ensuite fût… furtive. On me poussa vers Matthew, comme si j’en avais réellement envie, puis… on nous poussa TOUS LES DEUX dans une pièce, qui fût ensuite renfermée derrière-nous à coup de baguette magique. HAHA ! Alors ça franchement… c’était TROP drôle ! Haha ! Quel ironisme ! Franchement ! Rien à dire… D’ailleurs… où est-ce que l’on était au juste ? C’était serré… aïe… j’ai un truc qui me gêne… HEY C’EST QUOI CE TRUC ?! Je le pousse violemment, alluman une petit flamme avec ma baguette. …un balais… ? Un balais. Ok ! Ils rigolent j’espère ? C’était pour rire hein ? Allez, c’est bon, la blague était bien drôle pour vous, libérez-nous de ce… placard balais ! BORDEL ! Tchh ! Je les entends rire, tellement fiers… tellement nuls* oups, je me suis trompé ! « My bad » devrais-je dire ! Marre de ces bêtises, je leur dis.

    « Haha… c’est d’un humour… si j’étais dehors, je vous applaudirais. Alors, pourquoi ne pas me laisser sortir ? »

    Les pas s’éloignent… ils plaisantent ?! HAHA ! Non mais revenez ! C’est pas drôle ! Je donne un violent coup de pied dans la porte du placard. Puis, après trois ou quatre coups, je m’assis au sol. Désespéré.

    « …Quoi de pire qu’être…. » je regarde Matthew. « ENFERME ICI AVEC TOI ?! »


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeDim 31 Oct - 12:00

    C'était un jour comme les autres, ou Matthew traînait avec des personnes qu'il détestait. (très logique n'est-ce pas ?) aujourd'hui, le cours qui précédait la cantine, était... La métamorphose. Matthew détestait ca. Mon dieu, mais quel HORREUR ! La métamorphose. Transformer des trucs, se transformer. C'est énervant, ca ne sert strictement a rien, et en plus de ca, Matthew est nul dans cette matière. Mais tout ce qui ne sert a rien, ne vaut pas la peine d'être étudier. Matthew subit donc le cours de métamorphose, en silence, en parlant a droite, a gauche, avec une mine sympathique. Alors qu'au fond, s'il aurait pu fuir toutes les personnes présentes, il l'aurait fait. De temps à autre, Matthew jette un coup d'oeil a Jun, qui excelle en métamorphose, sous le regard légèrement jaloux du Britannique qui aimerait avoir ce niveau en cette matière, même si elle est pitoyable. Peu importe, l'heure est enfin passé, même si elle était bien longue, il faut l'avouer. Il sotr de la salle, en se pressant, laissant ses fréquentations derrière lui. Il sort de son sac ou est niché son raton laveur, un livre, qu'il dévore en marchant, bousculant quelques personnes en s'excusant doucement. Ses excuses étaient presque invisibles, on ne les entendaient pas. Mais il s'en fichait, IL S'ETAIT EXCUSER c'était déjà pas mal hein ! Matthew s'arrêta près du placard a balais, et s'appuya contre le mur en continuant de lire silencieusement. En ce jour, l'adolescent n'avait pas faim, ce qui était étonnant de sa part. Les plats étaient pourtant délicieux ici, mais il préférait rester le ventre vide s'il n'avait pas faim. Matthew lit, et est plongé dans son bouquin, rien n'arrive a le faire détacher de son livre. Enfin, c'est ce qu'il pensait en fait. Car au bout d'un quart d'heure de lecture, il entendit des pas s'approcher de lui, un groupe plus précisément. Il lève les yeux, regarde les personnes arrivés, puis les détournes a nouveau. Ce couloir est d'habitude, très peu utilisé, et cela l'étonnait que des gens passent pas là, surtout a cette heure-ci. Les inconnus s'approchent, oh.. Et qui vois-je ? Cette fois, la tête entière de Matthew se lève, et son regard croise celui de... DE... NON ?! C'EST PAS VRAI ! DE JUN ?! Il le suit du regard, fait la moue, puis retourne a ses lignes magnifiquement écrites, en entendant ses camarades de classes rires et dire a Jun « Héé pourquoi tu veux partir ? ». Le jeune homme n'y prêta pas attention, immergé dans son ouvrage... mais, quelque chose vint couper sa lecture. Chose qu'il ne faut jamais faire, pendant que Matthew LIT. Il est poussé. Très violemment, avec Jun, très près de son corps. Ils changent de pièce, puis une porte se ferme. Matthew a faillit tomber, et reperd a nouveau l'équilibre, comparé a Jun qui lui, se presse d'allumer sa baguette pour faire une once de lumière dans cette pièce si sombre. Jun tape sur la porte, et entend comme Matthew, les autres adolescents s'éloigner et a rire.

    « Haha… c’est d’un humour… si j’étais dehors, je vous applaudirais. Alors, pourquoi ne pas me laisser sortir ? »

    Ils sont définitivement partit. Nous voilà donc tout les deux, dans un placard. A balais. Sur le coup, Matthew rit. C'était un peu comme une malédiction de toujours se retrouver ensemble. Puis finalement, son sourire s'efface, son rire s'étouffe... Cela n'avait pas l'air de plaire a Jun, de se retrouver avec Matthew dans ce placard. Ce qui lui faisait dire ca ? Le fait que le jeune garçon tape violent trois ou quatre coups sur la porte du placard.


    « …Quoi de pire qu’être…. » Il me fixa. « ENFERME ICI AVEC TOI ?! »

    Merci. Eh bien. Merci beaucoup ! Pensa Matthew intérieurement vexé, voulant s'il le pouvait, plaqué violemment Jun contre le mur, et lui dire ses quatre vérité qu'il l'agaçait tant... Mais qu'il aimait beaucoup aussi. Malheureusement, il ne pouvait pas. Il n'en avait pas le courage, et n'avait pas envie qu'une nouvelle une fois, leurs relation parte en sucette. Il répondit donc calmement.

    « Merci. C'est sympathique, je ne suis pas satan. Et je ne me plains pas d'être a tes côtés, moi. »

    Zlam. Prends toi ca, Jun. Matthew alluma sa baguette a son tour, et s'assied a côté de Jun pour recommencer a lire calmement. Le sort qui ensorcelait la porte allait bien céder a un moment ou a un autre. Certains durait une demie heure, d'autres une heure... Et le maximum était cinq. Matthew garda donc son calme, et esperait que quelqu'un allait essayer d'ouvrir la porte avant que le sort ne cesse. Lisant en silence, il jetait quelques coups d'oeil vers Jun, et souriait (réellement) en voyant son « ami » avec un air désespéré sur son visage. Il le trouvait mignon, même s'il ne partageait pas son avis avec son interlocuteur. Pour brisé le silence, Matthew tenta de le rassuré.

    « Les sorts de ce genre ne durent pas longtemps tu sais, je veux pas faire ma lumière, mais dans maximum cinq heures, on sera libéré. »

    Et... La réaction de Jun ne fut pas comme Matty l'attendait, en fait. Ses yeux allaient sortir de leurs orbites, il se leva violemment, et recommence a taper sur la porte. Désespéré a son tour, Matthew continua de lire en demandant gentiment a Jun de se calmer. Il était incroyable tout de même. Pour quelqu'un de sérieux... Matthew était calme, pour cette fois-ci. En fait, sa facette méchante et infâme disparaissait un tout petit peu, quand il était avec Jun. Comme si quelque chose l'empêchait d'être réellement un con finit.

    « Calme toi bon sang ! On sortira.. »

    Au fond de lui, Matthew était un peu vexé de la réaction de son camarade. Leurs ententes n'étaient pourtant pas si terrible. Mais enfin, que pensait-il bon sang ?! L'anglais n'avait jamais eu des pensées aussi attendrissante pour cette.. ce... Cet idiot ! Il secoua la tête de gauche a droite, puis prit une grande inspiration, pour la relâcher.

Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeDim 31 Oct - 13:32

    HAHA… HAha… haha… ha… Nooon ! Sauvez-moi ! Aidez-moi ! Sortez-moi de ce trou ! Je suis claustrophobe !! (sisi j’vous jure) …Non je mens jamais ! Hého ! Quand même ! Vous osez vous méfier de ma sincérité ! Je suis profondément blessé ! …BEAUCOUP ! Certes ! Je reprends. Vous comprenez mon désespoir n’est-ce pas ?! On vient de m’enfermer dans un placard ! Et en plus avec… avec… MATTHEW ! Noooon ! Sauvez-moi ! *se répète* Hum ? Pourquoi ça me dérange ? Et bien… pour la simple et bonne raison que… peut m’importe où je vais ! Je le retrouve sur ma route ! J’en ai marre quoi ! Il me faut de l’air ! En plus après, c’est ma faute ‘Pourquoi tu me suis ?’ Je pourrais en dire autant pour toi ! T’es toujours ! Toujours ! TOUJOURS là ! Comment pourrais-je me sentir ? Oppressé ! Oui, c’est bien l’adjectif, le mot ! J’en peux plus ! S’il vous plait ! Faites-moi sortir de làààà ! Il riait. Il osait rire ! Comment le pouvait-il ?! Ça l’amusait d’être enfermé ici, avec moi ?! Sincèrement, je voyais pas ce qu’il y avait de drôle ! Je m’étais retourné vers lui, sentant son rire peu à peu s’estomper, s’estomper, lui avouant qu’il n’y avait rien de pire pour moi, que de me retrouver à ses côtés dans ce genre d’endroit. ... Je finis par me laisser tomber par terre, désespéré. Hyaah. Combien de temps devrais-je rester ici ? Et surtout, comment allais-je bien pouvoir m’occuper ?! Je soupirais un grand coup. Loin d’être inspiré. Finalement, je n’avais rien de bien spécial avec moi. Mon fléreur s’assit sur mes jambes, réclamant quelques caresses. Ce grand félin s’était parfaitement attaché à ma personne. Après tout, je le comprends. Qui ne peut pas être attaché à la personne que je suis ? Je suis tellement… PARFAIT ! Tout le monde me veut… tout le monde m’admire… tout le monde désire me toucher, me dorloter… certes, je m’éloigne mes chers amis. Je le caressais, de mes mains divines, des gestes lents et doux, qu’on aurait du mal à imaginer sortant de la mauvaise personne que j’étais censée être. Puis, je levais mes yeux vers Matthew, qui me répondit, d’un ton calme, qu’il avait l’habitude d’employer en ma présence. Comparé à moi, qui faisait surgir ma personnalité satanique et insupportable lorsque je me retrouvais à ses côtés.

    « Merci. C'est sympathique, je ne suis pas satan. Et je ne me plains pas d'être à tes côtés, moi. »

    OK ! Ça voulait dire quoi ça ?! Qu’en gros, j’étais satan, et que j’étais un râleur de première catégorie ?! Et bien ! Ne devrais-je pas être celui qui remercie ?! Et bien, je te le clame spirituellement : MERCI ! Grrr ! Je le vis allumer à son tour sa baguette, je détournais rapidement mon regard du sien, profondément vexé par cette remarque. Pff ! Il n’y avait que lui pour me parler de cette manière ! Et pour réponse, je lui lançais des regards glacials et à la fois insouciants. Si ce n’était pas moi qui jouerais la narration, j’aurais déjà dit que mon regard était automatiquement attiré par la présence de ce jeune garçon. C’était vraiment de l’insouciance. Je le regardais sans le vouloir ! Je le remarquais quand tant bien que mal, j’essayais de l’ignorer ! Comment devrais-je appeler cela ? …Non ! Je préfère ne rien dire à ce sujet. D’ailleurs… pourquoi je parle de ça ?! Je ne suis PAS attiré ! Je ne lui porte PAS une certaine attention. Je ne suis PAS entiché ! Ok ? Pigé ? Compris ? MERCI ! Tchh ! Rah, je m’énerve pour un rien ! Je jette un coup d’œil vers lui, il lit un livre. Je fus soudainement intéressé. J’essayais de pouvoir lire le titre, mais en vain. Aucune lumière, à part celle des baguettes. Enfin, voilà. Je murmurais une phrase à peine audible.

    « Rah… j’arrive pas à voir le titre, ça m’saoule. »

    Puis, Je me remis dans mon moment désespéré. Je m’ennuyais. Je voulais partir. Oui. Quitter cet endroit, aller m’ennuyer autre part, au soleil, avec d’autres personnes ou bien tout simplement SEUL. Je ramenais ma main libre à ma joue, fixant la porte fermée. Quelle bande d’idiots. Si je les attrape… je sens que je vais les transformer en crapauds, puis les noyer dans l’eau, ou bien… je ne sais pas, en faire des cuisses. Les deux propositions sont fortes probables, et difficile de choisir… qui sait, peut-être que je ferais les deux ! … j’attendais patiemment, (ou presque), j’imaginais la porte s’ouvrir, une personne devant… je serais certainement pris d’une euphorie, et je sauterais au cou de cette dernière ! Peu importe si c’est… le directeur, un professeur ou bien un simple élève ! En fait, j’en ai strictement rien à faire ! C’est alors que j’entendis mon « jeune ami » me parler. Je l’écoutais, tournant doucement mes deux prunelles orangées vers lui.

    « Les sorts de ce genre ne durent pas longtemps tu sais, je veux pas faire ma lumière, mais dans maximum cinq heures, on sera libéré. »

    Ah oui, je vois, je comprends. Me voilà rassuré. Je n’ai qu’au maximum cinq heures à rester avec…. Hein ? Pardon ? Cinq heures ?! TU PLAISANTES ?! Je me lève immédiatement, et me remet à sodomiser la pauvre porte ! Si seulement elle n’était pas retenue par un vieux sort aussi nul ! Je n’aurais pas à la frapper de toutes mes forces, au point de me briser les os ! Je l’entendais me demander d’arrêter, que ça ne servait strictement à rien, mais têtu comme j’étais, je continuais, et faisait comme si je ne l’avais pas entendu. Puis, il recommença, d’une manière beaucoup plus stricte, comme si ça commençait à bien le gonfler.

    « Calme toi bon sang ! On sortira.. »

    Mes coups se font soudainement de moins en moins nombreux. Je tourne rapidement ma tête vers lui, sourcils froncés. PARDOOON ?! On sortira ?! Excuse-moi, mais cinq heures pour moi, c’est un peu, voir même BEAUCOUP trop long ! Et je ne veux pas passer mon après-midi dans un placard à balais ! Il y a des endroits beaucoup plus confortables ! Mon fléreur, de ses dents légèrement pointues, me força à m’asseoir. Mais ma colère était beaucoup trop présente à ce moment précis. Tellement, que je me retournais me plaçant un peu plus au-dessus de Matthew, plaquant mes mains contre le mur, mon visage proche du sien.

    « Me calmer ?! Comment veux-tu que je me calme ?! Je… raaah ! Je ne sais même pas ce qui m’arrive ! Quand j’suis près de toi, c’est comme si j’agonisais, tu comprends ?! Tss, quelle question ! Bien sûr que tu ne comprends pas… »

    Je me calmais soudainement après cette phrase. Me laissant basculer sur le côté, m’asseyant. Ma main pissait le sang. Tchh. Je m’étais éraflé. Je portais ma main à ma bouche, absorbant le sang qui ne désirait que sortir de ma peau. Je sortis de ma poche un mouchoir, que ma sœur m’avait offert il y a pas mal de temps, et commençait à l’enrouler autour de ma main. J’échappais un léger « shit » lorsqu’il arriva en contact de ma blessure. Pfiou… j’en pouvais déjà plus. Je balançais ensuite ma tête, d’exaspération, contre le mur. Le silence n’était pas fait pour moi. Mon fléreur ronronnait, se frottait contre moi, comme pour me réconforter. Je lui offrais un petit sourire, véritable, que je ne laissais pas tout le monde voir. Puis, je soupirais. Je posais mes mains contre mes cuisses, cherchant désespérément quelque chose pour m’occuper. Ce qui était bien difficile. Quand soudainement… un balai tomba sur le sommet de ma tête. « Outch ! » Je me frotte frénétiquement la tête, surpris et à la fois énerver de cette action qui était la fois humiliante, mais aussi débile.

    « Marre de ces balais. Franchement, ils n’auraient pas pût m’enfermer autre part ? Je suis sûr que même dans les chiottes ce serait plus confortable… ! »

    Je soupirais un grand coup, puis, je regardais Matthew de mon regard de braise. Je repensais ce que je lui avais dit. Raah… c’était gênant. Qu’est-ce qu’il se passe dans ma tête ?! Est-ce que, par hasard, je deviendrais malade ?! J’enfonçais mon visage dans mes mains, ajoutant.

    « Rahh, oublies ce que j’ai dis ! »
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeDim 31 Oct - 14:25

    Spoiler:
    BORDEL ! Il va la fermer oui ?! J'en peux plus quoi, il n'y a que lui pour me foutre dans des états pareil /intérieurement du moins, c'est vraiment extrêmement violent dans le crâne de Matthew/. Enfin, je suis un peu contradictoire... Non ? N'aurais-je pas dit il y a quelques minutes que je n'arrivais pas a montrer ma véritable personnalité machiavélique avec lui ? Mais enfin, c'est vrai. Mais MERDE ! Je m'embrouille. Passons. Donc oui, euh.. Je disais. IL VA SE TAIRE ?! Il passe son temps a râlé ! En plus, il est vexant ! Et je suis pas du tout du genre susceptible comme MONSIEUR JUN, MOOOOOOOOOOOI ! /il accentua bien sur le « OI »./ Je ne me plains pas, je me le coltine, je me tais. Je la ferme, je subis, en silence, et DIEU SAIT QUE CE N'EST PAS MON GENRE. Heureusement que tout cela est intérieur. A l'extérieur, je suis.. Neutre. Calme, et il vaut mieux pour lui. Je l'aurais déjà assassiné neuf fois en deux minutes si ce n'était pas... Jun. Ah mais tiens, c'est qu'il s'excite dis-donc, il est pas content. Du tout. BEN MOI NON PLUS ! Hein ? Il fait quoi la ? Il s'approche de moi, aaah... Je suis tout chaud, je rougis pas quand même ? Du moins, peu importe, je m'en fiche complètement. Jun est légèrement au dessus de moi, visage plus ou moins proche, mains plaqués contre le mur. C'est destabilisant. J'écoutais a peine ce qu'il disait, en fait, c'était en mode « muet » pour moi. J'étais bizarrement hypnotisé par son physique. Et mes yeux se baissaient vers ses lèvres, et des pulsions bizarres me donnait l'envie de m'approcher alors que je l'étais déjà bien assez a mon goût. Il râle donc, pour pas changer, mais comme dit précédemment, je me fiche totalement de ce qu'il me dit, même si j'essaye d'être un MINIMUM attentif, pour ne pas le laissé sans réponse. Il risquerait de mal le prendre, n'oubliant pas, Jun prend tout mal. Du moins, ce qu'il ne lui plait pas. C'est alors que ma magnifique et généreuse personne que je suis, se mit a enlever le mode « muet » et le mode « je mate » pour être un peu plus sérieux. Même si la définition de « sérieux » ne me venait pas TOUT DE SUITE a l'esprit.

    « Me calmer ?! Comment veux-tu que je me calme ?! Je… raaah ! Je ne sais même pas ce qui m’arrive ! Quand j’suis près de toi, c’est comme si j’agonisais, tu comprends ?! Tss, quelle question ! Bien sûr que tu ne comprends pas… »
    « Effectivement, je ne comprends pas. Je ne comprends rien si je t'écoute. Calme toi, par pitié. »

    Disais-je neutre. Vous voulez savoir ce que j'ai entendu, a peu près, dans tout ca ? « Quand je suis pès de toi, c'est comme si j'agonisais, tu comprends ?! » le pire, quoi. Alors la, moi qui suit pas sensible, ben, c'est blessant. Surtout venant de lui. Quel raté alors, je me demande comment il peu pensé me dépasser niveau perfection. Il est vraiment pitoyable sur ce coup. Non mais... Me dire ca quoi. Non seulement je l'ai mal prit, mais en plus je mérite pas de me prendre de telles paroles dans la gueule ! Pour une fois que j'essaye de me montrer tolérant, calme, gentil. QUE JE FAIS DES EFFORTS quoi ! Je m'en prends pleins la tronche. J'ai envie de lui donner une petite leçon. Mais comme je suis un ange déchu, je ne ferais rien. Je vais me taire, encaisser intérieurement, laisser couler, me calmer en pensant a des jolis lapins sautillants dans les prairies. D'ailleurs, mon raton laveur se réveille, et sort de mon sac pour venir sur mes genoux et finalement se rendormir. Non seulement je suis oppressé par un nain de jardin (oui bon... on a quelques centimètres d'écart.) mais maintenant, je suis paralysé par Splendid. Oh tiens, Jun est calmé ? Etonnant. Oh... Mais c'est qu'il saigne. Pauvre chou. Il absorbe le sang avec sa bouche, tel un vampire, je souris, car en effet, j'aurais bien pu le faire pour lui. Quoi ? Non.. J'aime juste le goût du sang, je vous assure. Pas de sous-entendu la dedans. Je continue a lire, le silence était agaçant, perçant nos oreilles a tout deux. Je sentais Jun bouillonné, mais je ne disais rien, j'attendais en fait, qu'il dise quelque chose. Je carressais d'une main mon raton, pendant que je tenais de l'autre, mon livre pour continuer a lire. J'étais au milieu, au plus intéressant, et bien sur j'étais plus ou moins en mauvaise compagnie. Je remarquais d'ailleurs, son fléreur a ses côtés, je souris a cette vue. Il le câline gentiment, et j'aperçois un minuscule sourire de sa part... Complètement attendrit, un événement vint cassé cette scène si mignonne sous ma vue. Un balai tomba avec grâce sur le crâne de Jun. Eclat de rire pour ma part, mais je tenta de me rattraper en mettant ma main sur ma bouche. Laissant place a un sourire satisfait, comme si c'était bien fait pour lui. En quelques secondes, je me reprends, et me remet a ma lecture avec un air neutre, comme si rien ne c'était passé, alors que j'avais envie de me foutre royalement de lui. Mais comme je l'ai déjà dit, je n'avais pas envie que tout cela parte mal, il avait déjà assez aggraver la situation. Je commence a faire un décompte de cinq secondes dans ma tête, pour voir s'il va bien l'ouvrir, ou non. 5,4,3...Un sourire narquois s'affiche sur mon visage. 2.. 1.

    « Marre de ces balais. Franchement, ils n’auraient pas pût m’enfermer autre part ? Je suis sûr que même dans les chiottes ce serait plus confortable… ! »

    Il peut pas dire des trucs utiles celui-là ? Mais je vais m'abstenir de dire n'importe quoi moi aussi, oui, je peux le faire. Je suis Matthew Lewis. Je suis.. Moi, et moi, je sais tout faire. Donc je peux m'abstenir de lui faire des remarques. Non, en fait, je peux pas. Je vais exploser a mon tour. Lui lancer mon livre dans la tête. L'assommer a coup de balai. Demander a mon raton de le mordre. Je sais pas, je vais faire quelque chose. J'en ai marre, il ne fait rien pour être agréable. Au fait, pourquoi je fais des efforts moi ? Qu'est ce qu'il m'a prit de vouloir faire le gentil ? Ouais.. Au fait, il se trame quoi dans ma tête la ? C'est un peu le bordel. Je suis confus a ses côtés. Mais merde quoi. Rien qu'en repensant que tout ca, c'est « MON DESTIN » GENRE GENRE GENRE. Mais quel destin de merde ! J'aurais pas pu tomber sur quelqu'un de naïf, frêle et j'en passe ? Facile a manipuler et tout, et tout. J'ai pas dit que Jun ne me plaisait pas, mais c'est juste qu'il m'agace un peu. Légèrement. C'est une question d'entente. En fait, si on s'entend pas c'est sa faute. Il envenime toujours les choses. Il sert a rien ! Non, ok, je retire. Sans lui ma vie serait bien triste, je ne rigolerai pas en ce moment car il s'est prit un coup de balai sur la tronche. Oh tiens, d'ailleurs il a tourner la tête vers moi.. Il a soupiré juste avant, et le voilà qui met sa tête enfouit dans ses mains, en me bredouillant.

    « Rahh, oublies ce que j’ai dis ! »

    Un silence. Enorme silence. Je ne réponds pas, puis ferme mon livre bruyamment, lève mon raton laveur de mes genoux en lui déposant un petit bisou sur son museau tout humide, et me lève a mon tour, inexpressif.

    « J'oublie. J'oublie tout ce que tu as dit précédemment si tu veux, je t'oublie toi aussi, par la même occasion, si tu le désires. Maintenant, vu que tu as l'air très irrité par le fait d'être a mes côtés, au lieu de te lamenter sur ton sort, tu ferais mieux de m'aider un sort pour sortir de la. Même si a mon grand avis, aucun en conviendra. »

    Quel débit de parole dont j'avais fait preuve. Pourquoi avais-je étais si méchant là ? Je pensais que c'était impossible avec lui d'être aussi désagréable. Je m'étais donc bien tromper. Ce que je venais de dire, je le regrettais un peu, mais voir sa réaction allait m'impressionner. Allait-il complètement se foutre de ce que je venais de dire ? Je n'en savais trop rien. J'avais, en fait, un peu peur qu'il se fiche de moi, et qu'il n'ai qu'une seule envie : Que je disparaisse. C'est ce que j'avais du moins comprit, dans ses précédentes paroles. Bizarrement ca me faisait mal, de penser ca, et toutes ses paroles qui sortait tout droit de sa bouche. Mal ou ? Au cœur. Non, mon cœur n'est pas tout à fait en pierre, enfin, peut-être. Tout dépend, du moins, pas pour cette fois. J'étais blessé, j'assume. (J'assume les faits, pas comme lui !) Je m'appuie contre une pile de carton se trouvant derrière moi, croise les bras pendant que mon raton laveur saute de carton en carton pour venir rejoindre mon épaule, et que je prenne ma baguette dans ma main. J'attends une réponse, que ce soit un geste, ou des paroles, blessante, méchante, gentille, une gifle, un coup de pied. Je voulais juste, qu'il ne reste pas marbre. Et le reste, on verra après. C'est tellement confus ce que je raconte, mais bon, après tout la confusion fait partit de moi, surtout depuis... Depuis quelques temps. Cette confusion, elle vient me hanter quand il est là, cet abruti fini, qui m'agace, qui se croit le meilleur, alors que c'est moi. Pitoyable. Et tellement mignon.
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeDim 31 Oct - 15:26

    Me calmer…. Je bouillonnais de rage. Comment me calmer ? Seul le silence ainsi que mon fléreur pourrait m’aider. Je vais de lui déballer une longue phrase, lui avouant que j’agonisais en sa présence. En réalité, non, ce n’était pas spécialement méchant. Bien au contraire. Le terme agonir voulait tout dire ! Tout ! Mais… dire quoi ? Héééh STOP ! Je raconte n’importe quoi ! Qu’est-ce que ça voudrait dire, hein ?! …Que… que… que je l’ai… NOOON ! Je ne crois pas non ! Après huit ans, ça aurait déjà traversé mon esprit, il me semble non ? Je ne suis pas le type de garçon à se rendre compte de quelque chose trois ans après l’action enclenchée ! Bien au contraire ! Enfin… je pense ! Je suis sorti avec beaucoup d’hommes et de femmes ! Je ne vois pas pourquoi je n’aurais pas remarqué que je l’ « aimais ». Oui, entre guillemets ! Merci ! Ces cinq ans passés à Swelty ne m’ont pas empêchés non plus de sortir avec pas mal de monde ! Bon d’accord … il faut dire que je ne rejette jamais personne… J’aime bien les nouvelles expériences, et tout le blabla… donc là, rien que de penser que je puisse répondre « non » me questionne ! C’est vraiment étrange ! Tellement ! Moi ? Avoir des sentiments ? Est-ce tout simplement possible ? Puis-je réellement aimer quelqu’un ? Quelqu’un d’autre que ma sœur ? (Non, nous ne sommes pas dans l’inceste ! Bien sûr que non ! Je sais que je suis étrange… mais pas à ce point. En plus, à la base, je suis un parfait homosexuel… m’enfin ! Sortons de ces parenthèses !) Et là ! J’osais me poser des questions ! Rah, ça me prenait la tête ! C’était terrible. Je ne supportais pas cela. Quelqu’un aurait un dolipranne s’il vous plait ? Quoi qu’il me faudrait également un verre… et aussi de l’eau… en gros, c’est impossible. Que pouvons-nous trouver dans un placard comme celui-ci à part des… balais et des cartons ? Rien ! RIEN ! Enfin, après, si vous aimez faire le ménage, vous êtes servis ! Une serpillière, un balais, un sceau et hop ! Au boulot ! Mais là… je ne pense pas que Matthew aimait faire le ménage, et moi, c’était clair, net et précis, j’en avais une sainte horreur. Le désordre, c’était mon dada, je dois dire. Certes, j’avais laissé échappé cette parole de mes lèvres blanches, sans réellement le vouloir, ni même le faire exprès. (logique, logique, quand tu nous tiens !) Et il me répondit, tout de suite après, d’une voix toujours aussi calme. Son calme légendaire me laissait perplexe, et je ne savais que penser. Raah… je deviens cinglé. Sincèrement… LYNCHEZ-MOI QUOI !

    « Effectivement, je ne comprends pas. Je ne comprends rien si je t'écoute. Calme toi, par pitié. »

    Oui… quelle question, ceci aurait été beaucoup trop étrange qu’il comprenne le sens de ma phrase énigmatique ! Mais je n’en dis rien, préférant me taire. Pour une fois ! Moi qui d’habitude, n’arrêtait par de parler, de dire ce qu’il pensait. Mais là… il faut dire que j’étais vidé intérieurement. Et toutes mes pensées voguaient sans réel but dans ma tête. Rah… horrible. Terrible… désespérant. Je crois que je n’ai jamais utilisé ces mots aussi fréquemment qu’aujourd’hui ! Et d’ailleurs, je commençais même à me demander si c’était réellement les groupes de mots utiliser. Je ne savais pas vraiment. Je ne sais rien… je suis perdu ! Tssss. Qu’on me coupe la tête ! Qu’on l’expose dans l’un des plus grands musés, avec comme description « L’un des hommes les plus parfaits du Monde », oui, faites-moi ce dernier plaisir ! Et je vivrais dans l’autre monde en paix. Au ciel. En enfer, ou au paradis, je m’en fiche, mais le fait que je me sache encore présent, d’une certaine manière sur Terre me suffit amplement……. Mais dites-moi ? Pourquoi je parle d’obsèques ?! Je ne vais pas mourir ! Non, je rectifie : Je ne COMPTE pas mourir ! Pas comme ça ! Pas ici ! Ce serait pitoyable ! Non ! Je refuse ! Merci ! Je bascule ma tête en arrière, caresse mon animal domestique et finalement … me prend un balai en pleine tronche ! Réaction immédiate ! OUTCH ! Je porte ma main à mon crâne. Je frotte ma future bosse. GRR ! Comment se fait-il qu’un balai tombe PILE et comme par hasard sur ma tête ?! Vraiment. C’est à croire que la malchance me poursuit…. Et ça, franchement, je m’en passerais bien ! J’entends un rire, probablement provenant de Matthew. Ceci ne m’étonnait même plus. Je fronçais juste les sourcils, loin d’être content de cette réaction. Il faut avouer que c’était comique. Et en plus, je venais de me calmer. Comme par hasard, il fallait quelque chose pour remettre ma colère sur le tapis ! Et voyez-vous, un Jun calme, ce n’est pas un Jun. Alors bon, il faut bien évidemment que quelque se produise pour que je finisse par l’ouvrir. Certes, je commençais à me plaindre, disant que même les toilettes seraient plus confortables que ce placard. Puis, j’enfouie par la suite mon visage dans mes mains, lui annonçant qu’il pouvait oublier ce que j’avais dit précédemment. Je sous-entendais bien évidemment le « quand tu es près de moi, j’agonise ». ça dévoilait beaucoup trop de choses sur ma personne ! Mes sentiments ! … NON JE N’AI PAS DE SENTIMENTS ! Je l’ai déjà dis ! Ne me forcez pas à dire ce qui est faux, je vous prie ! Certes, un gros silence envahit la petite pièce, l’atmosphère devient à une vitesse folle tendue. J’avais dis quelque chose de mal ? …Non ! Bien sûr que non ! Jamais je ne dirais quelque chose de mal à Matthew !... Qu’est-ce que je raconte encore ? Roh, sérieusement, Jun, tais-toi ! Tais-toi ! T’es nul, tu sers à rien, tu dis n’importe quoi, et puis voilà ! Je le vis se relever, levant également mon raton laveur, déposant un baiser sur son museau. C’était mignon. Puis, il me regarda de haut, d’un air inexpressif, et me dit.

    « J'oublie. J'oublie tout ce que tu as dit précédemment si tu veux, je t'oublie toi aussi, par la même occasion, si tu le désires. Maintenant, vu que tu as l'air très irrité par le fait d'être a mes côtés, au lieu de te lamenter sur ton sort, tu ferais mieux de m'aider un sort pour sortir de la. Même si a mon grand avis, aucun en conviendra. »

    Il se fichait de moi là ? J’étais handicapé d’une main !! Non mais oh ! Je me levais à mon tour, ne pensant pas réellement à ce que j’allais lui dire. Beaucoup trop pris dans mon élan de nervosité.

    « Hein ? Tu rigoles j’espère ?! Ma main droite est carbonisée et je n’utilise jamais ma main gauche pour prendre ma baguette ! »

    Je le regardais, sourcils froncés, il disait vraiment, n’importe quoi ! Et ça avait le don de me taper sur le système ! Disons que oui, d’accord ! Je suis très lunatique ! Je l’avoue ! YOUHOU salut toi ! Tu savais que j’étais lunatique ? Non ? Et bien maintenant tu le sais ! HAHA ! Non mais stop, faut que je m’arrête ! Puis, je mis ma main gauche derrière la tête, me grattant doucement la nuque, joues légèrement rosées. Puis, je lui avouais par la suite.

    « Et… concernant ce que tu as dit au début… Je… je n’ai jamais dit que je voulais que tu m’oublies ! Et ce durant huit ans ! Alors arrête tes scènes dramatiques ! Et puis… irrité ? Oui ! Je le suis ! Enfin… d’une certaine manière ! Je ne sais pas te mentir ! Je ne sais pas jouer de toi, comme je le fais si bien avec les autres ! Alors comment veux-tu que je ne le sois pas à tes côtés ?! Tu es spécial… et j’ai du mal à me l’avouer. Je pète un boulon ! »

    Je porte ma main à mes yeux, profondément désespéré par tant de paroles lancées en l’air, aussi facilement. Rahh… j’étais trop direct ! C’était mal ! C’était mal pour moi surtout ! Où est-ce que j’allais ?! Qu’est-ce que j’essayais de faire ? De m’enfoncer moi-même ?! C’est se demander. Grraaah ! Puis, je me retourne, dos à Matthew, essayant de me calmer.

    « Rah… c’est bon, j’abandonne. T’as gagné. »
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeDim 31 Oct - 16:16

    Outch, je venais de m'énerver copieusement sur le pauvre Jun. Je venais de déballer des paroles pas très agréable a entendre, aussi confuse que ce qu'il se passait dans ma petite tête de démon. J'avais très peur de la réponse, et je commençais a m'impatienter. Pour tout dire, j'avais peur. Tellement peur, que mon coeur battait de plus en plus vite, et que je me sentais brûlant. Je pris mon inspiration, et lâcha un long soupire pour tenter de me calmer, mais rien a faire. Le stress m'envahissait, comme il sait si bien le faire. C'est bien une des seules choses que je ne sais pas contrés, ce satané stress... Je regarde Jun se lever. Mais, le silence continuait a pesé sur la salle. Enfin, le placard. Aucune réponse, c'était... C'était horrible. Mon raton laveur qui captait mon stress glissa sa tête dans mon cou, histoire de me rassuré. J'esquisse un sourire et le caresse, pendant que Jun commence a se justifier. Au départ, je ne comprenais pas trop qu'il me parlait, un peu trop sonné par les évènements passé trop vite, a mon goût. Un coup, cela se retournait contre lui, puis moi, encore lui... Avec lui, tout est imprévisible après tout. C'est ca qui est... Appréciable ? Nanananan. Appréciable, je dis vraiment n'importe QUOI. C'est insupportable. Mmmpfff. Pourquoi me mentir a moi-même ? Je ressens peut-être bien quelque chose pour lui finalement. ARF ! Qu'est ce qui se passe ? Je parie que je dis ca car j'ai pas manger de la journée. C'est confus tout ca, j'aimerai bien avoir une réponse concrète. En fait, je ne l'aurais jamais, vu que je ne sais pas ce qu'est l'amour. Je n'ai jamais aimer personne... D'un amour fou. Des filles ont succomber a mon charme, ainsi que quelques garçons, mais j'ai toujours refuser. Je n'ai jamais eu ce sentiment bizarre qui vous gâche la vie. Selon moi, l'amour, c'est débile, ca vous rend con, complètement a l'ouest, inattentif aux autres, dans votre bulle... Enfin, c'est mon avis personnel. J'espère ne jamais tomber amoureux. Enfin, si ce n'est pas ce qui est en train de m'arriver. NON. C'est pas possible ! Je-ne-peux-pas-aimer-Jun. Pourquoi ? Par-ce-que-un-couple-avec-lui-n'est-pas-envi-sa-geable. Pourquoi ? C'est-comme-ca ! ENCORE POURQUOI ? Ben ! Je sais pas... Et moi, pourquoi je devrais sortir avec lui, hein ? [PARCE QUE C'EST TON DESTIN !]... Non, c'est pas une réponse, ca. Mais enfin, bref. On me l'a assez sortir l'excuse du destin. Le destin, blablabla. Ma grand-mère et compagnie. A force, je connais la définition du mot « destin » PAR COEUR. Je sais l'écrire parfaitement. (et heureusement) et je pourrais même faire une rédaction rien que sur ce mot. Enfin, je m'égare la... Je me perds. Qu'est ce qu'il m'a dit, Jun ?

    « Hein ? Tu rigoles j’espère ?! Ma main droite est carbonisée et je n’utilise jamais ma main gauche pour prendre ma baguette ! »

    D'accord. Donc, je le tape maintenant ou j'attends un peu ? Non, bon, je vais attendre un peu quand même, ce serait dommage que je lève la main sur lui après huit ans. J'aurais du le taper un peu plus tôt, il le mérite bien... Sa main droite est carboniser ? Il se fout pas un peu de moi là..? Oui, il se fout de moi, c'est sûr. Quelques égratignures ne veulent pas dire qu'il est handicapé ! Non mais oh. C'est quoi ca ?! Il veut peut-être que je lui ampute la main ? Cette fois il sera vraiment handicapé ! Tsssah. Il faut se servir des deux mains, espèce « d'être parfait ». Non mais n'importe quoi. Il sait même pas se servir de sa main gauche pour exécuter un simple sort. Et après, il nous parle de perfection et ose nous prendre de haut ? Je suis vraiment fâché contre lui ! (mon dieu que ca fait sérieux, on se croit dans une cours de maternelle. Bon, passons, sortons de ce hors sujet.) Oui, donc. Non ! Ca suffit là, il se prend pour qui ?... Non, en fait c'était une question hyper idiote. Oh, tiens, il fronce les sourcils. Va-t-il continuer a raconter n'importe quoi ? Ou sortir quelque chose d'utile ? Vous saurez ca dans... 3... 2... 1 !

    « Et… concernant ce que tu as dit au début… Je… je n’ai jamais dit que je voulais que tu m’oublies ! Et ce durant huit ans ! Alors arrête tes scènes dramatiques ! Et puis… irrité ? Oui ! Je le suis ! Enfin… d’une certaine manière ! Je ne sais pas te mentir ! Je ne sais pas jouer de toi, comme je le fais si bien avec les autres ! Alors comment veux-tu que je ne le sois pas à tes côtés ?! Tu es spécial… et j’ai du mal à me l’avouer. Je pète un boulon ! »

    Euh... On fait un récapitulatif la s'il vous plait ? Merci. Donc. « Je n'ai jamais dit que je voulais que tu m'oublies ! Et ce durant huit ans ! » BIP BIP ! Mais tu l'as insinuer. « Alors arrête tes scènes dramatiques ! » BIP BIP ! Non. « Et puis... irrité ? Oui ! Je le suis ! Enfin... d'une certaine manière ! Je ne sais pas te mentir ! Je ne sais pas jouer de toi, comme je le ais si bien avec les autres. » BIP vrai. Il ne sait pas me mentir, et au passage, il se lance des fleurs. Charmant. « Tu es spécial... et j'ai du mal à me l'avouer. Je pète un boulon ! » Serais-ce possible d'avoir plus d'explications ? J'ai du mal a comprendre. Spécial, oui, peut-être, mais en quoi ? Oula.. Il pète un boulon ? Dans quel sens. Je suis un peu perdu. Il me faudrait un peu qu'il me raconte, enfin, s'il m'envoie pas sur les fleurs. Ce qui risque d'arriver si je lui demande plus de précision. Mais qui en tente rien a rien, Jun peut être une personne gentille. Comment ca je rêve ? L'espoir fait vivre, puis, on sait jamais avec lui, donc, pourquoi pas ? Ce serait marrant.. ahah. Jun gentil. Ce serait comique surtout. Mais dis donc, c'est qu'il venait tout de même de balancer pas mal de truc... Je le vois porter sa main a ses yeux, complètement désespéré, avait-il dit quelque chose de mal ? Mal pour lui ? Je médita sur ce qu'il venait de dire, identifiant chaque mot, essayant plusieurs sens, mais il interrompit a nouveau mon moment de réflexion. Il me tourna le dos, puis murmura.

    « Rah… c’est bon, j’abandonne. T’as gagné. »

    Alors déjà. Il abandonne quoi ? Ses explications ? Et j'ai gagné quoi ? Le droit de me sentir con ? C'est vrai quoi. Je savais vraiment pas quoi lui répondre. Mais je le sentais excessivement gêné. Et en y repensant, cela me faisait sourire. Il était rare de voir Jun gêné. Et j'avais la soudaine envie de m'approcher un peu plus de lui. Mon raton laveur redescendit au sol, et je m'approcha gentiment de Jun. J'étais maintenant tout proche de lui, mais toujours derrière, pas a sa droite, ni a sa gauche, ou même devant. Je me pencha un peu pour voir son visage... Ses joues étaient rosées, j'eus un léger sursaut, et un sourire narquois me vint, mais je le fit disparaître.

    « Est-ce qu'il serait possible que j'ai plus d'explications ?.. C'est un peu flou. Et pour tout dire, c'est flou dans ma tête, aussi. »

    Ah. Non, mais. La deuxième partit était pas censé être présente. Juste la première question se devait d'être là. Merde, a mon tour de balancer n'importe quoi, au moment ou il faut pas. J'approche ma main de ma bouche, pour me faire taire et ne pas continuer a dire des sottises. Finalement, je me déplace, et va a côté de lui.

    « On a quatre heure et demi au maximum pour en parler, tu sais.. »

    Mon dieu que j'étais rassurant. C'est fou, c'est... C'est pitoyable. Je m'étais engagé a commencer a parler d'un truc pas totalement établie. Le sujet n'était pas trop là, mais on savait plus ou moins autour de quoi on tournait. A moins que je me sois totalement gouré, nous avions des sentiments bizarres et peut-être réciproque. Mais quoi ? Pas de l'amour, ca, c'est sûr. Du moins, je ne vois pas pourquoi cela le serait. La maladie d'amour atteint n'importe qui, mais pas moi ! J'ai toujours résisté, je résisterais encore, quelque soit la personne. J'attendis patiemment qu'il daigne me répondre, pendant que je fixais le sol... Prit d'une pulsion, je lui attrapa la main doucement, ésperant qu'il ne l'enlève pas directement, et recommence a crier.
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeDim 31 Oct - 17:17

    Super. Deuxième long discours pourri qui ne me sert à rien, à part me foutre dans la merde !! Et bien, super, que dire de plus. Franchement… il faudrait que je me taise. Oui ! Que j’arrête d’en dire trop ! Et également des choses qui pourraient me nuire au passage ! Parce que là, depuis le début, je savais que c’était une mauvaise idée de rester aux côtés de Matthew. Enfin, je veux dire, pour mon bien-être ! Car oui ! Il est l’une des causes de mon mal-être, si on peut le voir comme cela ! En réalité. Je ne sais que penser… je le voyais souvent. Bon d’accord, même tout le temps. Je me plaignais même mais… comment ferais-je si ne serait-ce qu’une journée, je ne croisais pas son regard ? Ceci est une merveilleuse question sans réponse. Puisque je le vois tout le temps depuis mon arrivée à Swelty. Je lui avouais, coup par coup ce que je pensais. D’une : Le fait que je ne voulais pas qu’il m’oublie. Ce qui était très véritable. Je ne supporterais pas cela. Ça me saoulerait, et je ne saurais pas pourquoi. Qu’il ne me regarde pas, qu’il ne sache plus qui je suis, qu’il ne m’embête plus, d’une certaine façon… me manquerait, et je ne trouverais rien pour combler ce manque. C’est comme si en fait… si vous voulez, c’était irremplaçable. De deux : Je ne peux lui mentir. Oui. Ça aussi c’était vrai. Grr ! J’avais beau essayé, j’en étais incapable ! C’est l’une des premières leçons dans le bouquin « comment énerver Jun, ou le déstabiliser ». J’avais l’habitude de mentir à tout le monde, de leur sourire, de me faire passer pour une personne que je ne suis pas. C’était amusant… j’aimais bien ça. Mais… Mais ! Avec Matthew, j’en étais incapable ! Et ça, c’était vraiment chiant ! Terrible, horrible, pesant ! Tout ce que vous voulez ! Et pour finir, de trois : Il était spécial. …HEIN ! NON ! Qu’est-ce que je raconte encore ?! J’ai vraiment dit ça ?! *énumère* … Vous plaisantez ? J’ai pas dit ça… ? Oh purée… je suis un homme mort…

    Nooon ! Pourquoi ! Pourquoi suis-je comme ça ?! Pourquoi ne puis-je m’arrêter de dire tout et n’importe quoi, et me rendre conscient que plus tard ?! Rah ! J’en ai marre ! Marre ! MARRE ! …Hum ? Si j’étais conscient de tout ce que ce sujet allait amener ? Bien évidemment que j’en étais conscient mes petites loutres ! Dans le CACA. En un mot ! C’est tout ce que je peux en dire. Ça allait creuser le plus profond de ma tête, ça allait être du n’importe quoi. Mouarf ! Je me suis rapidement retourné et… et… je lui ai dis qu’il avait gagné ?! Heeeeeeh ?! QUOI ! Non ! Ce n’est pas possible ! Pas ça ! Pas ma fierté ! Je gagne TOUT le temps d’habitude ! Jun ! Jun ! Par pitié, où es-tu donc passé ?! Reviieeeens ! Ne quitte pas la pièce sans ton corps ! Ne le laisse pas ici, seul, sans conscience ! …Oulala… un médicament, vite. Je me frottais les joues, essayant d’enlever cette couleur qui ornait ces dernières qui me rendait toute chose, me mettait mal à l’aise, qui me gênait. J’étais tellement pris dans mon action que je ne fis même pas attention aux bruits de pas qui se rapprochaient. Enfin, ceux de Matthew bien précisément. Et au moment où je m’en rendis compte, il était tout près de moi, et ma couleur écarlate résidait encore sur mon visage. C’était une blague ?! Il ne l’avait pas vue, pas vrai ? Cette couleur que je cherchais tant à cacher ! Cette chose qui ne faisait pas partie de moi ! Cette chose que je reniais ! Dites-moi qu’il ne l’avait pas vue !

    « Est-ce qu'il serait possible que j'ai plus d'explications ?.. C'est un peu flou. Et pour tout dire, c'est flou dans ma tête, aussi. »

    Je me retournais soudainement, faisant deux pas en arrière, mettant mes deux mains devant moi, comme si je ne voulais pas qu’il m’approche. Joues rouges telles des pivoines. Des explications ? Quelles explications ?! J’ai déjà du mal à m’en fournir à moi-même et il voudrait que je lui explique ?! Haha ! La bonne blague ! On ne me l’avait jamais sortie celle-là ! Et je dois avouer qu’elle n’était pas mal du tout ! Haha ! J’en rigole encore intérieurement ! Haha !! Hahaha ! Haha…. Ouiiiin ! Comment je vais faire maintenant ? Dans quel bateau je me suis encore embarqué ? Je n’ai plus qu’à mourir ! Mouriiiiir ! Personne ne s’en apercevrait et ce serait mieux comme ça ! Nah ! (Ou pas hein…) Heh… attendez, « C’est flou dans ma tête, aussi. » … ça voulait dire quoi ça ? Qu’au fond, on était un peu pareil… ? Haha ! Deuxième bonne blague ! Je ne ressemble en aucun point à ce… cet être ! Non ! Je suis JUN ! Je suis UNIQUE ! Et puis c’est tout. J’étais presque incapable de parler. Ces couleurs envahissaient non seulement mon visage, et donc, la partie extérieur, mais également ma cervelle ! Du coup, l’intérieur également ! Comique ! Comique ! Rahlala. Matthew se rapprocha une deuxième fois de moi, malgré les grands signes que je venais de lui faire. Puis, il continua.

    « On a quatre heure et demi au maximum pour en parler, tu sais.. »

    Quatre heures et demi… ? Cela signifiait qu’on avait déjà passé une demi-heure ici ?... Purée, c’est vraiment vrai ? C’est passé tellement vite ! Je ne savais plus où donner de la tête. J’avais beau penser, et ce depuis le début, que je m’ennuyais, mais finalement… vu l’allure à laquelle le temps passait, je ne pense pas que maintenant, j’ai le droit de me plaindre à ce sujet. Je vois Matthew baisser les yeux. Hum ? J’avais quoi sur le visage, pour qu’il m’évite ? Lui qui osait toujours me regarder en face ? Une poussière ? Une feuille ? …NE ME DITES PAS QUE J’AI DE LA PAILLE DE BALAI DANS LES CHEVEUX TOUT DE MÊME ! Avant même que je ne puisse m’assurer de n’importe quoi, je sentis la main de Matthew frôler la mienne, puis il me l’attrapa doucement. Ce geste aurait beau me paraître simplet à l’heure qui l’était. Quelque chose de complètement banal dont j’avais l’habitude depuis mon plus jeune âge, moi qui avait tenu et retenu la main de ma petite sœur durant environ dix ans ! Et là, ça continue… donc oui… ça aurait pût paraître simple. Mon cœur se serre, un sentiment d’impuissance m’envahit. J’ai honte. Honte de m’afficher tel que je l’étais en face de Matthew. Je levais mes yeux des mains que je fixais depuis le début. Puis, inconsciemment, je commençais à la serrer, doucement, signe que j’acceptais ce geste, ce contact. Sa main était douce, c’était appréciable. J’avais l’impression de ne plus être le même, sur le coup. Le vrai Jun l’aurait certainement giflé à l’heure qu’il serait ! Mais là… je n’en ressentais pas l’envie. Bien au contraire… étrange… beaucoup trop étrange. Je portais mon autre main, ornée de mon mouchoir à la joue de Matthew, et une fois en contact avec cette dernière. Je l’enlevais immédiatement, me rendant compte de ce que je faisais.

    « …Dé… désolé ! »

    Vas-y ! Bégayes ! N’importe quoi toi ! Je me giflerais bien aussi, tiens ! J’enfonçais un peu en avant ma casquette, détournant le regard, essayant de me cacher. A quoi je jouais ? C’était presque flippant. Être lunatique à ce point, serait-il vraiment possible ? Claquer quelqu’un, puis, deux secondes après le câliner… c’était exactement ce qui se passait ! Mais en beaucoup moins brutal. Je ne savais plus comment m’exprimer. Mais tout ce que je réussis à articuler fût.

    « Je ne sais par au commencer. Le début remonte à beaucoup trop loin. Et je ne sais même pas comment m’expliquer. C’est tellement difficile… des sensations nouvelles, jamais découvertes chez ma personne… tu es peut-être ce genre de « spécial »… tu me donnes un aspect jamais montré à personne c’est… gênant… vraiment… »
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 5:09

    Bon, hrmm, on récapitule tout. Alors que je sortais tranquillement de mon cours de métamorphose, avec un sentiment de haine envers cette matière, je me dirigeais vers un couloir habituellement très peu fréquenter. Je lisais mon bouquin dans le silence, car je n'avais pas faim, et ne voulait pas aller a la cantine pour voir les autres élèves. C'est alors que OH ! Coïncidence, je croise Jun et des « amis » a lui. Bien évidemment, je regarde, et retourne a ma lecture quand tout à coup... TANTANTAN ! Je me fais pousser avec lui dans le placard a balais, enfermer par un sort qui est censé se dissiper rapidement. Du moins, c'est selon le niveau de la personne l'ayant jeté. Les inconnus nous ayant enfermés, partent, et me voilà en compagnie de Jun. Mais comment suis-je arriver jusqu'à.. Lui tenir la main bon sang ? Ah, oui. Récapitulons aussi. Vous avez de la chance que je fasse un résumé mental. Mmmh. Comme a son habitude, Jun râle. Oui, je suis un habitué. Alors que je me tais, et que je suis très calme, posé, même zen... Il la ramène toujours pour me dire qu'être avec moi la-dedans, c'est l'enfer. Je tiens le coup, ne fait aucune remarque, rien de méchant... Mais voilà qu'à un moment, j'explose, lui balance ce que j'ai sur le cœur, et... Vous savez quoi ? Il la ramène encore avec sa main sois-disant carboniser. Ca m'a marquer ca, tiens... Enfin, bref. On parle.... Et, je m'approche, comme un con. Je fais toujours le premier pas décidément. Je suis trop parfait en fait, ca doit être pour ca. Nous nous égarons. HRM. Oui et donc, je m'approche, et... lui donne la main. Prit par une pulsion, bizarre. Je suis gêné de ce que je viens de faire, et je ne sais pas trop comment il va réagir. J'ai un peu la trouille de m'en recevoir une... De me faire traiter, engueuler, ou je ne sais quoi. Mais..mais non. Quoi ? Il... Il n'a rien dit. Heum, je commence a avoir la trouille quand même, mais plus ou moins dans le bon sens. Il.. NON ! C'est une illusion de ma propre personne. Jun me serre la main... Et, moi, mon cœur se serre par contre. Je.. je rougis. Naaaaaaaaaaaan. C'est quoi ca ?! Puis d'abord, pourquoi je lui tiens la main ? C'est pas un truc de couple ca ? Mon dieu, j'ai honte, par pitié, je veux une réponse a toutes ces fichues questions ! Qu'est ce qu'il m'arrive ?! En temps normal, je n'aurais JAMAIS fait ca ! Jamais... Faire le premier pas avec les gens, c'est tout, sauf mon genre. Alors, pourquoi avec lui ? Décidément, le mot « Pourquoi » sera revenu souvent en ce jour. Mais voilà.. Pourquoi, pourquoi, pourquoi. Qu'est ce que je ressentais ? Qu'est ce que je faisais ? Pourquoi lui ? Pourquoi moi ? Pourquoi... POURQUOI. Voilà un deuxième mot dont je pourrais faire une rédaction tout entière. Mmh..? Je sens quelque chose toucher ma joue. Mes prunelles violettes regarde Jun, et il avait porté sa main orné d'un mouchoir... SUR MA JOUE ?! Ca devient de plus en plus louche cette histoire. Il l'enlève immédiatement sa main... Je rougis encore plus je parie ! Je suis brûlant intérieurement, alors a l'extérieur. J'ai honte, je me rabaisse moi-même. Je suis plus BAS que terre... Oh ? Qu'est ce qu'il a ?

    « …Dé… désolé ! »

    Pourquoi il s'excuse ? Ah.. Euh, pour le geste qu'il a fait ? Mais faut pas s'excuser... Oh, il bégaye. C'est mignon... D'ailleurs, je souris. Niaisement. NON ! FAITES D.I.S.P.A.R.A.I.T.R.E. CE SOURIRE N.I.A.I.S QUE JE N'AFFICHE J.A.M.A.I.S HABITUELLEMENT ! Hein ? Oh. Il détourne du regard, enfonce légèrement sa casquette vers l'avant, et... Et regarde autre part. ALORS QUE MOI JE SOURIS ENCORE COMME UN CON. Je secoue la tête pour faire disparaître ce sourire qui me déplait, puis mes yeux se rivent sur le sol, pendant ce temps, le silence règne sur la pièce. Enfin, le placard. Enfin, ce truc. Et l'ambiance déjà bien tendue, et gênante, le redevient. Mais le silence se brise, pas par moi cette fois-ci, non.. Grâce a Jun.

    « Je ne sais par au commencer. Le début remonte à beaucoup trop loin. Et je ne sais même pas comment m’expliquer. C’est tellement difficile… des sensations nouvelles, jamais découvertes chez ma personne… tu es peut-être ce genre de « spécial »… tu me donnes un aspect jamais montré à personne c’est… gênant… vraiment… »

    Donc. Donc.. Donc. Il ne sait pas par ou commencer, cela remonte a beaucoup trop loin. Bon, on est quitte dans ce cas la. Il ne sait pas comment expliquer, c'est difficile... C'est une sensation nouvelle, jamais découverte. Bon, ca aussi, c'est un autre point commun. En quoi je suis spécial ? Approfondit Jun ! Approfondit !... Je lui donne un aspect... OULA. Oui donc, non, mais, euh.. JE VAIS REPONDRE QUOI A CA ? C'est gênant pour moi aussi ! Puis, si je parle, je vais sortir approximativement le même discours. Bon aller, je peux pas laisser le silence envahir la pi.. le placard a nouveau. Je serre sa main, prend une grande inspiration, comme si... Comme si.. Le sujet était grave. Mais il est grave. Très grave, c'est affolant tout ce qu'il se passe !

    « Bon hmm... Je dois l'avouer que, pour moi aussi cela remonte a il y a trop longtemps. Que c'est une sensation nouvelle. Que je n'arrive pas a m'expliquer. Et que je ne suis pas DU TOUT le même a tes côtés. C'est gênant aussi pour ma part, nous avons le même ressentit... Donc peut-être des sentiments réciproques. Mais lesquels ? »

    LOL ! Ok. « Donc peut-être des sentiments réciproques. Mais lesquels ?» ok. Ok. Non mais OK Matthew. La prochaine fois, tu la ferme. Je vais quand même d'insinuer un gros truc la. Et pas des moindres. Mon dieu, je veux sortir, me cacher derrière des cartons, faire quelque chose. Tomber au sol, me cacher dans mon sac, me transformer en balai. Faites quelque chose !... Quoi ? J'assume mes paroles ? Je peux pas assumer ca ! Cela en dit trop long sur.. Sur pleins de chose. Et je ne veux pas tomber amoureux. Je ne pourrais pas l'accepter, je rejetterais tout sentiment, et ce, jusqu'à ma mort. Je me le suis promis, je vais pas succomber a ce sentiment banal maintenant ! Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Cependant, je vais me sortir de ces quelques paroles dites précédemment.

    « Bon, euh. Oublie. »

    Non. Non Matthew. C'était nul ! Ca te donne encore plus envie de te cacher dans un trou de souris. Non, mais non ! N'importe quoi. Maintenant tais toi, n'en rajoute plus. Tes joues ressembles a des tomates, ton air souriant hypocrite se transforme en.. En un regard perdu, sensible. Et puis, lâche cette main ! Maintenant ! Mais.. Je ne peux pas la lâcher en fait. Car, Jun la serre a son tour un peu plus. Il le prendrait mal si je l'enlève je parie. Je regarde le sol, les alentours, et voit mon raton laveur suivre attentivement la scène, comme s'il comprenait. Un peu pareil pour le fléreur de Jun. Non mais.. Euh, c'est que c'est pas très marrant tout ca la. Non, du tout, peu à peu, ca s'empire, on s'enfonce, l'un, comme l'autre. Ah. Ah non ! Je vais parler encore !

    « Enfin non, n'oublie pas. »

    JE T'AI DIS DE LA FERMER MATTHEW ! Dklezjsio. NEKSLWDK !! Désolé. Petit moment de rage contre moi-même. Non. Non. Non. Non. Non. Je sais plus quoi dire. Ma deuxième main, celle qui n'est pas prise par Jun, vient claquer mon front, avec un air désespéré, je soupire, énervé contre moi. Oui, moi, j'ai la rage, la haine, contre Matthew Lewis, moi. Les nerfs contre moi. Je m'enfonce, je lui dis des choses qui ne le regarde pas ! Enfin si. Enfin NON ! Je deviens fou. Dans moins d'un mois, je me retrouve à l'hôpital psychiatrique.. Et mon cœur, alors lui, il arrange rien. Il bat a dix milles, comme s'il allait lâcher. Sortez moi de la...!
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 7:10

    Dites-moi… suis-je complètement taré ? Ai-je besoin d’un psychologue personnel ? D’un docteur ? Je n’en ai aucune idée. Peut-être tout simplement d’un docteur. De quelqu’un à qui me confier. Herm… disons que je ne suis pas du genre à déballer ma vie entière à une personne que je ne connais pas spécialement, ou bien que je n’aime pas. Si ce n’était pas une question pour me vanter, je ne dirais rien, je vous l’assure. Et là… qu’est-ce que je disais, ou bien, qu’est-ce que je comptais faire ? M’enfoncer, encore et encore, au beau milieu du placard. Tout ce que je cachais à tout le monde, notamment mes sentiments… là, je le dévoilais à… Matthew. Sincèrement, jamais je n’aurais pensé le faire un jour. Surtout à lui. Même si on me dirait à ce moment même « C’est TON destin ! ». Ah non, stop les inconnus ! Vous m’avez bien fait rire durant toutes ces années ! Mais là c’en est trop ! Sincèrement ! Je vous renie ! Vous entendez ? RENIE ! « Hé Manu ? »… NON ! Je les renies je viens de dire ! Ok ?! Marre… Vraiment ! Je disais tout et n’importe quoi ! Enfin… d’après moi, après, je suis certain qu’au fond… c’était une part de moi. Haha ! Attendez, je suis taré ! C’est certain maintenant ! Ce que je viens d’insinuer, c’est que Matthew serait donc une partie de moi ? Quelqu’un d’essentiel ? Dont la disparition me ferait un grand mal ? Dites-moi que je suis dingue ! Détraqué ! Laissez-moi me lancer une ancre en pleine face ! Moi, Jun ! L’homme qui n’a jamais besoin de personne ! Cette rumeur parfaitement adaptée à mon style de vie, serait-elle donc… en train de se dissiper ? Non… je ne peux pas le permettre ! Ni ME le permettre ! Je n’ai besoin de personne ! (Bon… à part peut-être de ma sœur, mais ça c’est une autre histoire…) Je mène parfaitement ma vie sans l’aide de personne, sans soutient. Et là, j’arrive à mettre tout ça en doute ? …J’en peux plus ! Comme je disais à Matthew il y a un bon quart d’heure, j’agonise en sa présence ! Je ne sais plus où donner de la tête ! C’est insupportable !

    Je lui avais dit… entre autres, qu’il était très important pour moi. Si on lisait à travers mes paroles, que l’on essayait de comprendre. Mais je ne sais pas si Matthew l’aurait compris. Non pas que je doute de son intelligence. (Haha !) Mais… disons que lorsque je parle de ce genre de sujet, il est vraiment difficile de me suivre. Donc bon, je vais essayer (tant bien que mal) de vous expliquer la vraie signification du message que j’avais « envoyé » à Matthew : Partie une : Je ne sais pas par où commencer. Hop. Ça commence bien pour moi dites donc. Cela voulait dire qu’il y avait beaucoup trop de choses le concernant, au fond de mon cœur, de ma mémoire. Brefff, je n’en dirais pas plus, je sens déjà mes joues s’empourprer rien à la vue de ces pensées. Ensuite, partie deux : Le début remonte à beaucoup trop loin. …Cela signifie également, que ce n’est pas tout récent. Partie trois : C’est tellement difficile… BZIP ! Et bien, je ne crois pas que j’ai à vous faire un dessin, pas vrai ? Ça veut tout simplement dire ce que ça veut dire ! Partie quatre : « des sensations nouvelles, jamais découvertes… » ….Alors là… Jun, franchement… franchement… franchement… VA TE PENDRE ! Des sensations nouvelles… Qu’est-ce qui ne va pas bien dans ta tête au juste ?! T’as des neurones pas à la bonne place ou quoi ?! De nouveaux sentiments… heureusement que je n’avais pas avoué cela ! …Quoi que… pourquoi j’aurais à l’avouer ?! Je n’ai aucun sentiment pour lui voyons ! Ne me faites pas me contredire ! Partie cinq : « Tu es peut-être ce genre de « spécial ». L’auriez-vous deviné ? Et oui ! Bingo ! Ça veut tout simplement dire qu’il EST spécial pour moi ! Et après ça… comment voulez-vous que je ne me sente pas bien ? En plus, je n’ai aucun moyen de l’éviter ! Je ne peux pas partir en courant, fuir, comme je l’aurais certainement déjà fait ! (Et oui, même les êtres parfaits ont des faiblesses mes chéris !) Et moi ! Et bah… ma faiblesse c’est… je regarde Matthew, de mes yeux de démons, c’est lui. Lui ! LUI ! Moi ! JUN ! Il se trouve que j’ai une faiblesse ! Ma faiblesse est cette personne ! J’ai honte ! Tellement honte ! Je sentis une soudaine pression, sa main contre la mienne, il me serrait. Je levais mes yeux, comme intéressé, je le vois prendre une bonne et grande inspiration, puis, il m’affrontant du regard, m’avouant à son tour.

    « Bon hmm... Je dois l'avouer que, pour moi aussi cela remonte a il y a trop longtemps. Que c'est une sensation nouvelle. Que je n'arrive pas a m'expliquer. Et que je ne suis pas DU TOUT le même a tes côtés. C'est gênant aussi pour ma part, nous avons le même ressentit... Donc peut-être des sentiments réciproques. Mais lesquels ? »

    Comment rester sur le cul. Appelez Matthew. Certes. C’était marrant, ironique, et à la fois étrange. Très étrange… Il pensait donc pareil que moi ? C’était étonnant. Beaucoup trop même ! Il est, tout comme moi, pas le même à mes côtés ! Mais le pire dans tout son discours, c’était certainement le fait, qu’à la fin, il me parla de « sentiments ». …Sentiments ? SENTIMENTS ?! Comment était-ce possible… ? Est-ce que tout ce que je venais de lui raconter faisait allusion aux sentiments ? Alors là… je suis vraiment… sur le cul. Oui. Surpris également. Il n’y a pas d’autres mots. D’ailleurs, sur le coup, je lui répondis, yeux grands ouverts, signe de surprise récente.

    « Sentiments… ? …..Sentiments…. ? ….Sentiments……. Je n’en ai strictement aucune idée… Je n’ai après tout, jamais connu ce genre de sensation. Cette chose à la fois gênante et plaisante… qu’est-ce donc ? Je suis perdu. Totalement perdu. »

    Qu’est-ce que je disais ? Encore des bêtises je présume. On ne change pas les bonnes vieilles habitudes après tout. J’enfonce rapidement ma casquette, décidant de me cacher, d’essayer d’oublier ce que je venais de dire, même si ça en disait grand long. Puis, je serre doucement la main qui me reliait à sa personne. Hyaaah ! Je suis fini. Complètement fini ! Je désire le lâcher plus que tout au monde ! Mais ma main ne m’obéit pas, et serre celle de Matthew un peu plus intensément ! Lynchez-moi ! Sérieusement ! Que dire de plus ?! Pendez-moi ! Faites ce que vous désirez de mon corps… hey. Pas dans ce sens là, hein ! Je vous vois déjà arriver !

    « Bon, euh. Oublies… »

    Je serre sa main un peu plus, comme si j’étais vexé. Enfin… au fond, je l’étais, après tout, il m’en faut peu pour l’être. Etant très sensible de nature. Mais le pire… c’est qu’après ce que je venais de lui dire, il me disait ça. D’un côté, je ne disais pas n’importe quoi. Et oublier pour une fois des paroles sincères serait un pur gâchis.

    « Enfin non, n’oublies pas. »

    Qu’est-ce qu’il me faisait là ? Un va et vient incessant. Je ne savais plus que croire. Que penser. Il m’embrouillait, comme personne n’arrivait à le faire. C’était terrible. Je n’aimais pas cela. Pourquoi faut-il que je « ressente » cela pour LUI ? N’y a-t-il pas des centaines de personnes qui rêvent de mon corps ? Pourquoi m’acharner sur la seule personne que j’aurais du mal à « conquérir »… pourquoi je parle de conquérir d’abord ? Rah, je ne me comprends plus. J’ai du mal à m’expliquer, à tout faire ! Presque à me parler ! Car bien évidemment, pour construire quelque chose, une phrase. Faut-il encore la comprendre ! Je le regardais, osant me montrer sous ma teinte rosée, remonter petit à petit ma casquette d’un bleu foncé simple. Je sentais mon cœur sortir de ma propre poitrine. J’avais du mal à le contrôler. Quoi que non… soyons clair, je ne savais plus le contrôler ! Et toutes mes actions étaient inconscientes… j’étais contrôlé. Contrôler par quoi ? Je me le demande…

    « Oublier… ? Crois-tu vraiment que j’en aurais été capable… ? Non seulement ce que tu dis, mais également ce que moi je dis, révèle trop de facettes cacher. C’est presque impossible pour moi. Et le pourquoi est encore sous terre, tentant désespérément de remonter à la surface. Il a du mal à respirer. Tout comme moi… comme je te l’ai déjà dit : j’agonise. C’est terrible… »

    Je lâchais doucement sa main, portant ensuite les miennes à son torse, comme si j’étais attiré par ce dernier, comme si je ressentais le besoin de le toucher. Mais en réalité… je ne savais pas ce que je faisais. Je laissais mes mains se balancer sur ce dernier. Puis, je lui avouais, joues rouges et petit sourire sincère et timide aux lèvres, ce qui était horriblement rare chez moi.

    « Je ne sais même plus ce que je fais… je suis contrôlé… je ne suis vraiment plus le même… tu me rends dingue… »
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 8:39

    C'est louche, de plus en plus, louche... Mon coeur bats de plus en plus... VITE. Mes joues deviennent de plus en plus... rouge. Je suis comme je ne l'ai jamais été. Ca fout la trouille de découvrir de nouvelle sensation. C'est un peu quand on découvre l'adrenaline, c'est fort, ca nous plait. On veut recommencer. Là, c'est un peu la même chose. C'est... Un sentiment sans nom, un ressentit fort, qui nous plait plus ou moins. Mais, on ne veut pas recommencer ! Non, pour ma part, je ne veux plus ressentir ca, par peur que ce soit des sentiments d'affection. Ces sentiments sont réserves a ma famille, et je ne veux pas ressentir de l'amour pour quelqu'un d'autre. Je m'en empêcherai, j'irais même jusqu'à me faire souffrir pour ne pas tomber dans ce tourbillon sans fin. Hors de question que j'aime Jun, ou quelqu'un d'autre. Enfin, Jun surtout. Je suis attiré pas la gente masculine, certes, mais je ne suis jamais sortie avec un garçon avec sincérité. J'ai toujours été hypocrite, et je me suis toujours servit de ces pauvres naïfs. A peu près dix garçons embobiner, pour le même nombre de fille, et toujours zéro sentiment. Ce n'était pas plus mal, de plus, ca me plaisait. Ce n'était pas aujourd'hui que j'allais devenir comme les autres, que j'allais « tomber » amoureux. (autant sauter d'un pont quoi, si c'est pour tomber.) C'est bien mieux de n'aimer personne, et de s'en servir comme une poupée... Chose que d'ailleurs, je ne pourrais pas faire a Jun. Et cela me bloque. Pourquoi je ne pourrais pas ? Pourquoi je n'arrive pas a lui mentir ? Les pourquoi deviennent véritablement agaçant. Oui, terriblement. Je n'en peux plus de tous ces pourquoi. Je n'en veux plus de ces pourquoi ! Je veux des réponses concrète ! Je me répète comme une vieille personne âgée ! Je veux des réponses, plus de question. Et même si les réponses me font mal, je vais y remedier. Coute que coute. Je ne me laisserai pas ronger par ce sentiment... Même s'il m'est plus ou moins plaisant. Il faut que je le contre, c'est tout. C'est comme ca. Je ne veux pas l'aimer. D'accord ? C'est clair ? Ca n'arrivera pas... Oh, c'est quand même grave, je me bourre le crâne tout seul. Je m'auto-saoul. Tiens.. Qu'est ce que j'entends ?

    « Sentiments… ? …..Sentiments…. ? ….Sentiments……. Je n’en ai strictement aucune idée… Je n’ai après tout, jamais connu ce genre de sensation. Cette chose à la fois gênante et plaisante… qu’est-ce donc ? Je suis perdu. Totalement perdu. »

    Sentiment... Si cela en ai, je n'ai plus qu'a me suicider mon cher Jun. Me jeté sous un train. Surtout si l'on ne parle pas des mêmes sentiments. Ce serait le comble que l'on parle, parle, mais pas de la même chose. Hmm... Il n'a jamais connu ca. Pourtant, n'est-il pas sortit avec jenesais combien de personne ? Il se fiche de moi la... Au moins, on est d'accord. C'est gênant, et plaisant, mais énervant. Je suis paumé moi aussi. Complètement paumé. C'est chiant de se sentir perdu. On dirait qu'on m'a mit dans une forêt noir, pleins d'arbre, et des décors qui se ressemble, et... Que je suis perdu, seul, face a moi même, sans réponse. Sans ce putain de sens de l'orientation, que je n'ai pas, et n'aurais jamais, même pour ce genre de chose. « A droite ? A gauche ? » c'est un peu la même chose que...: « Amour ? Haine ? ». Pff, je lui demanda d'oublier. Puis après réflexions, non. Il ne fallait pas qu'il oublie. Cela allait encore plus nous gênez, nous étions au coeur du sujet, même si j'avais peur que nous parlions de choses différentes. N'oublie pas Jun ! N'oublie pas ! Continuons a en parler, que ce sujet soit clos, avec des réponses, que je sache quoi faire !

    « Oublier… ? Crois-tu vraiment que j’en aurais été capable… ? Non seulement ce que tu dis, mais également ce que moi je dis, révèle trop de facettes cacher. C’est presque impossible pour moi. Et le pourquoi est encore sous terre, tentant désespérément de remonter à la surface. Il a du mal à respirer. Tout comme moi… comme je te l’ai déjà dit : j’agonise. C’est terrible… »

    ...Oh. C'est... C'est révélateur. Chaque mots que nous disions maintenant, était révélateur. Il se cachait toujours quelque chose sous ce que nous disions, et il fallait que l'autre cherche le véritable sens que nous-même ne connaissions pas. Situation complexe il faut le dire. Mon coeur battait si fort, que ma respiration était irrégulière, je ne savais pas quoi répondre, et a reprendre une respiration normal. C'était bien énervant d'être aussi déstabiliser. Stresser. Am..Amoureux ? Dehniujks. Non. Non. Non. Non. Oublier donc ce que je viens de dire ! Même si c'est le cas, je vais empêcher ce sentiment de complètement m'envahir. A part si c'est déjà fait. Dans ce cas, je vais faire une cure de jesaispasquoi. Je vais.. Rester enfermer dans ma chambre, changer d'école, éviter Jun !... Si j'y arrive.. Si je tiens sans lui. Tout dépend, je ne sais pas. Je recommence a m'embrouiller. Jun lâcha doucement ma main, je pris peur. Qu'est ce qu'il allait faire ? Mon coeur se serre a nouveau, ma poitrine me lance, je souffre... Aïe. Hé ? Ou il met ses mains ? Sur... mon torse. Je.. Vais tomber dans les vapes. Je plane complètement. Véritablement... Je suis sur un nuage, je rêve, je cauchemarde. Puis, il avoua, avec un petit sourire et ses joues d'une couleur rougeâtre.

    « Je ne sais même plus ce que je fais… je suis contrôlé… je ne suis vraiment plus le même… tu me rends dingue… »

    Ah..Ah.. Oh mon dieu ! Je suis censé dire quoi ? Faire quoi ? Moi non plus je ne me contrôle pas a vrai dire, car actuellement, je suis entrain de passer mes mains autour de lui, de le serrer contre mon torse d'approcher mon visage de son oreille. J'ouvre la bouche pour lui chuchoter.. Quelque chose.

    « Nous sommes deux dans ce cas là. »

    J'affirmais bien que nous étions deux a ne pas savoir ce que nous faisions. A se rendre dingue mutuellement. Je m'éloigna de son visage, avec toujours mes bras autour de son bassin... Mes mains en bas de son dos,je détourna mon regard et lui avoua a mon tour.

    « Je ne sais pas trop ce que l'on est en train de faire là... Mais, tu... Tu m'attires. »

    Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah. Au moins c'était avouer, même si cela devait être remarquer depuis un tout petit moment, tout de même. C'est vrai qu'en nous regardant, on avait l'air... D'un couple. Non. Mais.. En fait, si. C'était pas déplaisant, de l'avoir si près de moi, d'avoir mes bras, et mes mains enlacés autour de lui. Il faut assumer, Matthew. Tu es attiré, assume... Attirer, mais pas amoureux ! Mes joues devaient être écarlate. Du moins, elles ne devaient pas avoir changer de couleur entre tout à l'heure, et maintenant. Je continue a regarder autre part un petit moment, puis je retourne mon visage face a Jun, pile au moment ou lui le détourne. Je souris, et le serre légèrement plus contre moi.
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 10:05

    Se rendre Dingue. Avec un d majuscule. C’est fou. C’est exaltant. C’est attirant… si on le voit sous cet œil. Dingue… être attiré, tenté… c’était beau… bien. Ça nous amène à faire des choses que l’on n’aurait jamais osées penser, ou même faire. Un état d’euphorie. Où l’on ne se rend compte plus de rien. Un moment à savourer, pour découvrir de nouvelles choses. Mais… pas n’importe lesquelles. Je ne sais même pas comment les qualifier. Idiot, n’est-ce pas ? Je le suis certainement. Au point de me jeter à l’eau, laisser libre mes mouvements que je trouvais il y a quelques minutes honteux. Je ne sais pas ce que je veux. Je suis difficile à supporter, j’en suis conscient. Je crois même que c’est l’une des seules choses dont je peux encore approuver le fait. J’avais osé… osé… encore et encore. J’étais presque imprévisible. J’ignore si c’est une bonne chose, ou bien au contraire… si c’est mal. J’avais lâché sa main, et porté les miennes à son torse. Etais-je dans un état d’ivresse ? Mes yeux ne voyaient-ils plus clair ? S’assomaient-ils par la lumière de la baguette de Matthew ? La mienne étant éteinte depuis un bon moment, et qui régnait actuellement sur le sol, à côté de mon animal. Mes mains blanches parcourraient le torse, le buste de mon compagnon, quelque chose que jamais je n’aurais osé faire. Limite, le toucher donnait naissance à un cataclysme. J’avais longtemps dit, et redit que le toucher me répugner, que jamais je ne le toucherais. Mais… qu’étais-je donc en train de faire à ce moment-là ? N’importe quoi… je commençais presque à croire que je laissais mes « sentiments » me guider, me laisser découvrir une part de vérité que je me refusais à admettre.

    J’avais en quelques sortes, peur de sa réaction, je dois dire, ce n’est pas tous les jours qu’on arrive, comme cela « YOUHOU ! Viens là toi ! Ohhh ! J’adore ton torse ! Laisse-moi le toucher ! » …herm, enfin, je présume. Je n’ai jamais rencontré ce genre de personnes, et j’espère bien pour nous qu’elle n’existe pas. Sinon, je risque de courir, et le plus vite possible je crois bien ! En plus, je suis d’une pudeur atroce. (Même si j’aime mon corps, il faut pas croire n’importe quoi … mais pas au point de l’exhiber.) Certes… je parlais de sa réaction. J’avais bien peur qu’il me repousse. Ce qui ne m’aurait pas spécialement étonné, je dois dire. Mais finalement… sa réaction ne fût pas comme je l’aurais pensé. Je le sens bouger, en silence. Bouger ses mains, les apporter autour de moi. Hyaaah ! Mon corps ! Mon CORPS ! Qu’est-ce que je dois faire ?! Je n’ai JAMAIS laissé quelqu’un me toucher de cette manière ! En temps normal, je l’aurais déjà poussé, reprenant ma baguette, lui demandant haut et fort s’il n’était pas cinglé, et comment il pouvait porter ses mains sur MA personne ! Mais là… mais là ! Je n’en fis rien ! Je le laissais ! Je le laissais faire ce qu’il désirait ! C’était… tellement étrange. Je me sentais toute chose. Je n’osais même pas imaginer la tête que je pouvais bien tirer en ce moment même. J’étais certainement d’une couleur flamboyante, qui s’accorderait parfaitement avec celle de mes yeux… (Jun trouve toujours des petits endroits pour se lancer des fleurs… on ne le changera jamais, j’imagine…) Puis, pris d’une certaine pulsion, il me serra contre lui. J’étais surpris. TRES surpris ! Il comptait jouer à quoi au juste ? Se foutre de ma gueule ? Non ! Il n’a pas le droit !... je ne le permettrais… pas… je posais délicatement ma tête sur son épaule. La honte ! La HONTE ! Je crois que jamais je n’avais été aussi gêné ! Mais c’était… tellement… RAH ! Tellement bien ! Comment pourrais-je me mettre dans un tel état, rien qu’en sa présence ? Il serait vraiment temps que je pense à me faire interner ! Oui ! Les fous ! Ahh ! Je sens que je vais me faire des amis ! Et par chance, ils auront beaucoup de choses en commun avec moi ! Ah ben tiens ! J’ai décidé où est-ce que j’allais passer le restant de ma vie ! Si ce n’est pas génial ! Je saurais enfin ce que je ferais de ma vie ! Je jouerais au scrabble ! Jouerait de la lettre « A » le mot Amour sans même en savoir la vraie définition ! Et ces fous, eux, ils me demanderont ce que c’est ! Et je ne saurais pas quoi leur répondre. Et bien… c’est super. Génial ! Haha ! Je suis donc dans un sens, beaucoup moins pitoyable que certains ! Matthew approcha ensuite ses lèvres de mes oreilles, me soufflant quelques mots. Quelques confidences…

    « Nous sommes deux dans ce cas là. »

    Deux… ? DEUX ?! Il en était de même pour lui ? Il en devenait dingue ? Moi aussi… moi aussi… nous étions étrangement liés en fait… nous pensions certainement les mêmes choses. Et ce, depuis que je lui affirmais toutes mes pensées. On se suivait, se cherchait… on était deux enfants perdus, se tenant la main, restant tout de même ensemble, nous serrant, de peur de nous perdre, de nous retrouver seul, et encore plus perdus. C’était cette image, que j’avais… nous ne savions pas… nous n’étions pas conscient… le TOUT serait-il donc permit ? Notre vrai nous serait-il perdu ? Est-ce que cet endroit enchanté, ce placard était lui-même magique ? Je ne pense pas avoir une réponse, un jour, à cette question. Je portais mon regard au sien, le cherchant, découvrant également des teintes rosées sur son visage. Décidemment… j’en aurais vu des choses incroyables aujourd’hui. Et ce en même pas une heure… il détourna rapidement son regard du mien, et m’avoua, avec une voix relativement calme, mais pas totalement certaine.

    « Je ne sais pas trop ce que l'on est en train de faire là... Mais, tu... Tu m'attires. »

    Oui… nous ne savions pas. Nous étions fous… il m’attirait. Beaucoup… beaucoup trop ! J’étais rouge. Totalement rouge. Presque plus qu’une tomate ! Il l’avait dit… et moi, je n’avais pas encore osé. Lorsqu’elle me regarda, je détournais rapidement mon regard, gêné. Puis, il me serra un peu plus contre lui. Je réfléchis. Je n’avais pas à avoir honte. Pas à refouler mon attirance. C’était trop tard…. Beaucoup trop tard… reculer était de trop, et maintenant impossible. Je déplaçais mes mains qui avaient résidées jusqu’ici sur son torse, et je les portais à son cou, le caressant avec une tendresse inimaginable. Je le regardais, le forçais à me regarder, puis, malgré les quelques centimètres qui nous séparaient, je me mis sur la pointe des pieds, me résignant à effleurer ses lèvres. Ce fût un instant bref, juste pour essayer, voir sa réaction. Je n’avais pas encore parlé, c’était étrange. Beaucoup trop… surtout venant de ma part. J’affichais un sourire narquois sur mes lèvres. Enfin, je ne vous explique pas l’effort que j’ai dût faire pour donner vie à cette expression ! Un petit sourire, un soulagement, je n’en attendais pas plus. Je me remis sur mes deux pieds, mes bras autour de son cou, mes mains jouant avec quelques mèches de ses cheveux. Je lui murmurais ensuite ces quelques mots. Une voix douce, spéciale, rare, une lumière se dégageant de cette dernière…

    « Je crois que… je ne veux plus partir finalement… »

    HEHHH !! Euh ! Qu’est-ce que je raconte encore. Je lâchais une mèche de Matthew, portant ma main à ma bouche. Je délirais ? Moi… depuis le début, je ne désirais plus qu’une chose : sortir d’ici ! Et là… j’affirmais le contraire ? Oui… je dois être cinglé... trop pris par ces sensations qui m’envahissent. Je baissais petit à petit ma main, joues rosées par la gêne, par ce que je venais d’avouer. Puis, je continuais.

    « Je veux rester près de toi… je crois… finalement… tu m’attires également… »

    C’est bon, c’était fait pour ma part, aussi. L’atmosphère était drôlement prenante. Dur de s’en défaire. Je le regardais… petit sourire gêné aux lèvres. Ne sachant véritablement pas comment il allait bien pouvoir réagir.
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 11:11

    Confidences, confidences... J'avais trop ouvert la bouche, et dit trop de chose. Ce que je lui avais chuchoter précédemment dans les oreilles, c'était de trop. Et ce que je lui avais dit juste après, aussi. Je deviens complètement fou, dingue. Je n'ai pourtant rien manger, c'est peut-être ca qui me rend complètement déglingué. J'ai bus juste un verre de jus d'orange... Est ce qu'il y avait de la substance illicite la dedans ? Une potion bizarre ? Un truc louche ? Rien qu'en regardant Jun, j'avais envie de l'embrasser. La, tout de suite, et dans un futur proche, ses lèvres m'attiraient, comme rien ne m'a jamais attirés. Ses mains qui se baladaient sur tout mon torse remontèrent pour s'accrocher a mon cou... Jun dégageait une tendresse que je n'avais jamais vu avant. Jamais il n'avait été comme ca avec moi. Ou même, avec n'importe qui. C'est... C'est fou. Qu'est ce qui lui prenait a lui aussi ? Étions nous devenus dingues ? Étions nous malade ? Avions nous la même maladie..? En tout cas, nous avions les mêmes symptômes. Jun me regardait, avec un petit sourire, et me forçait a le regarder aussi, même si c'était bien dur, bien trop gênant. Avez-vous vu la position dans laquelle nous nous trouvions ?... Jun, d'ailleurs, s'approcha encore un peu, en se mettant sur la pointe des pieds, effleurant mes lèvres un court instant... Je ne dis rien, ne fais rien. Mes gênes se montraient a peine pour ce coup là. Pourtant, a l'intérieur, je vous assure, ca fusait. Mon coeur n'en pouvait plus, il allait exploser, sortir de ma poitrine, lâcher ?... Mais ! Tiens. En y repensant, Jun n'avait encore rien dit. N'est-ce pas étonnant ? Il se remet sur ses deux pieds, avec un léger sourire narquois... Tandis que moi, je souriais, niaisement. Encore, c'était agaçant bon dieu ! De sourire comme un imbécile heureux. On aurait dit le ravi de la crèche ! Mmh.. Jun joue avec quelques mèches de mes cheveux, mon sourire s'accentue encore plus... Le trouvant trop silencieux a mon goût, je commence a prendre peur. Un Jun silencieux, n'est pas un Jun. Mais encore une fois, j'avais penser a ca au bon moment... Il me murmura quelques mots, d'une voix étonnamment douce et bien autre. Je l'écouta.. Attentivement. Comme je ne l'avais jamais vraiment fait précédemment.

    « Je crois que… je ne veux plus partir finalement… »

    Sérieusement, il veut me faire faire un arrêt cardiaque, c'est ca ? A chaque mot qu'il prononce, mon coeur fait de sacré bond. Je n'en peux plus, c'est quoi CE TRUC ?! C'est car il est si près de moi..? Je vais le pousser dans ce cas. Non,je peux pas le pousser. Je vais briser l'ambiance, je vais le vexé, et me faire du mal a moi aussi. Car la position est agréable, et tout est agréable malgré.. Malgré que je souffre là. Oui, mon coeur se serre, me lance, bats fort, ma tête commence a tourner, et j'ai un stress qui atteint les summums. Si c'est CA l'amour, c'est une raison de plus pour ne jamais tomber amoureux quoi ! C'est vraiment un sentiment pourri. Je suis vachement contradictoire. J'ai dis que c'était agréable il y a même pas trente secondes. Mais peu importe, je suis sûre que j'ai bu quelque chose de louche avant d'en arriver la... Hrm. Oh. Les mains de Jun descendent petit à petit, pendant qu'il continue a dire... Je ne sais quoi. Je l'écoute a nouveau.

    « Je veux rester près de toi… je crois… finalement… tu m’attires également… »

    Je suis sûr qu'on a but la même chose. /IL ASSUME PAS SES SENTIMEEEEEEEEEEEEEEENTS !/ C'est obliger. On pense la même chose, on dit les mêmes choses... Y a une arnaque, je suis certain. Outch. Heureusement que Jun ne lit pas dans mes pensées, il serait sacrément vexé la. J'avoue que tout ce que je pense n'est pas agréable a savoir... Il m'en aurait déjà foutu une dans ce cas la. J'essaye de m'auto-convaincre que je suis bourré. Alors que je suis normal. Je n'ai rien bu, je le sais. Pourquoi j'invente alors ? Car je ne veux pas entendre la vérité ? Comme d'habitude. Je suis pitoyable décidement. Je suis même lunatique dans mes pensées. Un coup je suis comme ci, un coup comme ca. Un coup je pense ci, un coup je pense ca. Je suis insupportable... Au moins, ca, c'est dit. Erf. Encore un silence... Il faut que je dise quelque chose.

    « Tu crois... Qu'on pourrait ressentir... Plus que de l'amitié ? »

    NOOOOOOOOOOOOOOON. PAS CAAAAA. PAAAAAAAAAAAAAS CAAAAAAA !
    J'AURAIS PU DIRE AUTRE CHOSE ! Il y a des centaines de combinaisons possible pour brisé ce putain de silence ! Et moi, je sors.. Ca ! Comment il va me regarder ? Il va comprendre ! Il va tout comprendre ! Je parie qu'il va me frapper. C'est pas possible. T'es pas croyable Matthew ! Comment tu peux sortir ca, a l'improviste, comme si c'était normal ? C'est a Jun que tu dis ca ! De plus, ces paroles sont sincères. Je n'ai jamais dit ce genre de phrases sincèrement. J'ai toujours mentis. C'est officiel alors ? Je suis tomber dans ce tourbillon sans fin ? Je suis.. Amoureux ? J'ai craquer pour cette.. Cette chose ? Jun ? L'être sois-disant parfait qui me suit depuis huit longues années ? Non. Me dites pas que... Que je l'aime ! Lui ? Pourquoi lui au fait ? Ca restera sans réponse ca aussi ! Oh et, ne me sortez pas « C'EST TON DESTIN ». D'accord ? C'est pas une réponse valable. Oh ! Je suis.. Banal maintenant. Je suis tomber dans ce truc qu'on appelle « Amour » avec un grand « A » une définition que je connais a peine. Non, que je ne connais pas. Alors la, j'assumerai pas. Aimer, aimer quelqu'un. Aimer Jun. Non. La, j'assume pas, je veux que ca s'arrête. TOUT DE SUITE ! MAINTENANT ! Je veux ! Arrête toi ! Sentiments a la con ! Je veux pas ! Je veux.. NOOOOOOON (Matthew pleure intérieurement. Il a prit conscience au bout de huit ans qu'il l'aimait o/). Aaaaaaah. AAAAAAH. Bon. Matthew, calme-toi, tu vas voir, ces sentiments vont vite partir. Ils ne peuvent pas être réciproque. Merde, je recommence a m'auto-convaincre avec des choses fausses. Je ne changerai jamais... C'est possible qu'ils soient réciproque... Dans une panique intérieur, je balança sans vraiment faire attention, une phrase qui devait rester dans ma tête.

    « Euh... Putain. Qu'est ce que je dis.. »

    Ah. Non. C'était pas censé sortir de ma bouche ca non plus. Jun va mal le prendre. Trèèèèèèèès mal le prendre. Je suis dans un sacré pétrin mes amis. Je le vois déjà faire la moue. Qu'est ce qu'il doit pensé exactement ? Que je le prend pour un idiot ? Est-ce que ca va être la même réaction comme quand j'ai dit « oublie » ? J'ai … J'ai la trouille, encore. En même pas une heure, j'ai du avoir peur comme je n'ai jamais eu peur pendant dix sept longues années. Je veux sortir. Non, en fait, je veux rester la. En fait, je sais pas. J'aimerais bien aller dans un trou de SOURIS comme je l'ai dit tout à l'heure. Cette situation était déjà gênante, mais là, j'ai peur de ce qu'il va arriver. Je me prépare déjà psychologiquement a une baffe... D'ailleurs, mes prunelles se séparent de celle de Jun, pour admirer le plancher. Oh.. plancher, fait moi sortir de la. J'aimerais bien lui dire d'oublier ce que j'ai dit précédemment, mais je vais encore plus m'enfoncer, et je n'y compte pas, vraiment pas. Ca va empirer, on va passer de ca, a une dispute. Vu comment on est deux gros lunatiques, on est imprévisibles, on sait jamais a quoi s'attendre. C'est donc pour ca, que je préfère la fermer, et attendre une quelconque réaction. Bonne, mauvaise, mon mental est prêt a tout de toute manière...
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 12:39

    Je m’étais résigné à l’embrasser. N’était-ce pas déjà un grand pas dans les explications ? Enfin… explications… vous savez tout aussi bien que moi que certaines paroles n’ont aucune explication. On subit juste… c’est tout. Et c’est ce qui m’arrive. Je subis…. Subis l’arriver de tant de sentiments, tant de pulsions, tant d’envies. J’arrivais à les mettre en œuvre. Je ne sais encore de quelle manière… mais j’y arrivais. Et Matthew, lui, ne semblait pas être contre, en évitant de me repousser, se laissant faire. Mais je sentais déjà la gêne et la surprise l’envahir. Pendant un instant, nous avons fusionné. J’avais tenté une approche qui avait brillamment réussie. J’aimais bien… cette sensation de gagner. Je l’ai toujours aimée, et l’aimerais certainement à jamais. Je le regardais, silencieux, réagir. Il souriait… un sourire niais que j’aimais beaucoup, qui en aurait certainement agacé plus d’un. Mais moi, je trouvais qu’il s’accordait parfaitement bien avec le visage de Matthew. Je dessinais un petit sourire, avouant que je ne voulais plus partir, que rester ici pour le moment était l’une de mes premières occupations. Je descendais petit à petit mes mains, transformant ce trajet en caresses. Puis, je lui dis que je voulais rester près de lui, et que finalement… il se pourrait bien qu’il m’attire. Et encore… je pense que tout ce que je disais à ce moment-là n’était que pure vérité…. Hey mais… STOP ! Plus rien ne va là. Depuis le début, je ne fais que dire du bien ! Les Nissenaaas me haaaantent ! Non non ! Ce n’est pas vrai ! Je ne veux pas me transformer en ces idiots aux capes vertes ! En plus, j’ai horreur du vert ! Ce n’est pas une couleur ! C’est… c’est… ! Beaucoup moins bien que le vert, et puis voilà ! …Olala… comment je m’éloigne… c’est vraiment flagrant. Limite on se foutrait de ma gueule. J’ai réussi à me retrouver en pleine conversation de couleurs, rien qu’en commençant par parler des Nissenas. Oula… vraiment, ce n’est plus net dans ma tête… Mais enfin… je n’en dirais pas plus sur ce sujet, d’accord ?
    Un grand silence s’installa dans la pièce. Quelque chose qui à la fois, me gêna, mais qui également, me rassura. Il faut dire que dans ce genre de situation, je n’aimais pas tellement le silence. Je souriais timidement… qu’allait-il bien pouvoir me répondre ? Allez Matthew… tu sais très bien que… tout comme moi, tu ne peux pas laisser un seul blanc dans les conversations. Alors… je t’en prie, parle-moi, rassure-moi d’une certaine façon. Une parole pourrait tout casser, aussi bien que… me laisser champs libre. Je vis ses lèvres s’entrouvrir, je les regarde, me hâtant sur la réponse qu’il venait de me dire. Enfin… une réponse, disons qu’il forma de cette manière une question… qui fût… comment dire… très gênante, et à la fois révélatrice.

    « Tu crois... Qu'on pourrait ressentir... Plus que de l'amitié ? »

    De l’amitié ? …de l’amitié… si tout ce que je ressentais, était plus que ça. Cela voudrait donc dire que depuis environ cinq ans, l’affection que je lui portais était plus que de l’amitié… comment devrais-je le prendre ? Bien ? Mal ? Est-ce que cela voulait dire que j’étais sorti avec de nombreuses personnes justement pour lui échapper ? Echapper à ce sentiment ? Echapper à… l’Amour ? …Haha…. Haha ! …Non, ce n’est pas le moment de rire Jun ! Tu n’as pas le droit d’en rire. Pendant cinq ans, tu as été naïf, tu as évité la vérité ! Tu as agis comme un véritable idiot ! …Quoi que… si je l’évitais, ce n’était pas spécialement « être idiot », mais plutôt « être futé ». Mais il arrive toujours un jour, où ce sentiment nous attrape, et refuse de nous lâcher. Comme aujourd’hui. Il faut dire… je l’ai sus dès que je l’ai vu à côté de ce placard, à l’extérieur. C’était tellement évident. Ça ne pouvait que finir comme cela. Mon cœur se serrait, j’avais l’impression d’être manipulé. Quoi que… je l’étais déjà. Je n’étais qu’un prisonnier, qui ne souhaitait que partir de l’endroit qui le retient en tant que criminel. Non seulement, j’étais mon propre prisonnier, mais également celui de Matthew. Il me retenait, m’empêchait de faire mes dires en me donnant un grand sourire, m’enlaçant, m’empêchant de me détacher de ses étreintes. Il était un peu comme un diable… attendez ! Je rectifie : Mon Diable. Celui qui voulait me garder pour lui, qui était secret. Je ne savais que dire. Sur ce coup, il avait pris le devant. En fait… on était un peu complémentaires. Moi, c’était ses paroles qui me laissaient confus, et pour lui, c’était certainement ce que je faisais. D’ailleurs, il ne s’arrêta pas là. Il me lança, l’air perdu. Comme s’il ne l’avait pas désiré.

    « Euh... Putain. Qu'est ce que je dis… »

    Qu’est-ce qu’il disait ? C’était vrai ça… qu’est-ce qu’il racontait d’abord ? Pourquoi est-ce qu’il m’embobinait telle une boule de laine ? C’est une ficelle sans fin, nous n’arrêtons pas de nous contredire, nous ne savons point où est le vrai du faux, aussi bien que le faux du vrai. Et c’était ça… qui me gênait. Pas seulement les sentiments que je portais pour lui. Car… rah ! J’en sais rien ! Arrête-toi… je t’en prie… soit clair. Moi aussi, je devrais l’être. Je ne fais que balancer des paroles en l’air. C’était… bref, je me comprends tout à fait. Je tentais de lire dans ses yeux. Penses-tu vraiment ce que tu dis, Matthew ? Moi aussi, je me demande bien la signification de ce que tu me racontes. C’est presque invivable. Je décidais donc, d’éviter de répondre à cette phrase, qui sortait certainement de ses pensées. Puis, je pris l’une de ses mains, et l’apportai à ma poitrine, au niveau du cœur. Je soufflais un grand coup, fermant mes deux yeux d’une étrange couleur, subissant les nombreux coups qui palpitaient à l’intérieur de cette dernière. Puis, je les rouvris, fixant Matthew. Il devait les sentir... ces battements. Ces choses que je détestais tant, que j’essayais d’ignorer depuis le début. Puis, je posais mon regard sur son visage, lui disant, petit sourire aux lèvres.

    « Ces battements… penses-tu réellement que je les subirais, si tu n’étais qu’un ami pour moi… ? Qu’es-tu au juste ? Pas un ami… ni moins… je n’ai pas peur de toi, je n’ai jamais eut peur même. Alors… je pense bien que… ça ne peut qu’être… »

    Je lâchais soudainement sa main, puis, je me remis sur la pointe des pieds, l’embrassant une nouvelle fois. C’était plus long… plus doux… plus sensuel… aurait-il compris ? Ou plutôt… le pouvait-il ? Je doutais. Doutais de tout… de moi, de lui, de notre sentiment qui était probablement le même. Je passais une nouvelle fois mes mains autour de son cou, tentant de faire durer le baiser. Puis, après de nombreuses secondes, je relâchais toute pression. Reprenant doucement mon souffle. Je le regardais ensuite, intensément, finissant ma phrase baclée.

    « L’Amour… ? »

    EUH LOL. Jun ! Au pied ! Dehors ! Vas te coucher ! Non mais là ! Vraiment… qu’est-ce qu’il se passe ? Tu vas bien ? Besoin d’un aspirine ? Quelque chose du genre ? En tous les cas, je n’avais pas envie de m’excuser ou bien de lâcher un simple « qu’est-ce que je raconte ». Bien avant cela, je voulais voir… voir comment il allait réagir. C’était une grande question pour moi… savoir ce qu’il allait faire… me dire… c’était un véritable supplice… mais vous savez, comme on dit, qui ne tente rien, n’a rien…
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 13:48

    Dites,dans ce foutu placard a balais... Y'aurait pas une corde ? Un tabouret ? Appelez la mort ! Il faut que la faucheuse vienne me chercher. Maintenant, tout de suite, sur le champs. Je veux mourir, capiche ? Comprendo ? JE VEUX MOURIR OK ? NOW !... Bon, stop. Coucouche panier Matthew... Dans quoi je me suis embarquer, bordel de bordel. Je parie que si je n'étais jamais tomber dans ce fichu placard avec lui, je ne serais pas en train de tomber amoureux comme une vulgaire personne de ce monde ! C'est encore a cause de... De je sais pas ! Je sais pas qui nous a enfermés dans ce truc, mais ils vont en baver. Je vais les assassiner. Et je suis sérieux... Quoi ? Ca ne me plait pas de... Si ! Être aux côtés de Jun me plait, mais que je tombe amoureux de lui me plait BEAUCOUP moins ! Vraiment, je suis... Je suis déstabilisé. Je me surprends moi même. Encore une promesse faites a moi-même, brisé en mille morceaux. Je dois remédier a ca... Il y a des potions pour arrêter d'aimer quelqu'un ? Hein ? Quoi ? Je suis dégueulasse ? NON ! Je veux juste... Ne pas tomber amoureux. Comment ça pourquoi ? Vous en avez pas marre de me demander « pourquoi » tout le temps ?! J'en sais rien ! Je vous l'ai déjà dit, l'amour, ca me dépasse. Tiens ? Qu'est ce qu'il fait... Oh. Jun attrape ma main avec délicatesse et la porte sur son torse, au niveau de son coeur, plus précisément. J'entends des battements, forts... Aussi forts que les miens. Je suis surpris de son geste. Que voulait-il me faire comprendre en fait ? Je ne suivais pas très bien. Mmmh, je dois être bête. Je voulais qu'il parle, qu'il dise quelque chose. Jun ouvre la bouche, mes yeux fixent ses lèvres qui s'engage dans un petit discours.

    « Ces battements… penses-tu réellement que je les subirais, si tu n’étais qu’un ami pour moi… ? Qu’es-tu au juste ? Pas un ami… ni moins… je n’ai pas peur de toi, je n’ai jamais eut peur même. Alors… je pense bien que… ça ne peut qu’être… »

    Que ca ne peut qu'être ? Être ? Non, ne dit pas ca ! Ne... Hein ? Il... Il lâcha ma main, lentement, et... Jun se mit sur la pointe des pieds, pour m'embrasser. M'embrasser. M'embrasser... Il... M'a embrasser. Longuement. C'était doux, sensuel. Je subis , sans que je ne me manifeste. Alors que j'aurais dût a ce moment précis... Le pousser. Cela aurait été mon tout premier réflexe, normalement. Non, j'étais loin de faire ca. Je fermais les yeux, subissais, et... C'était très plaisant. De se faire embrasser... Par Jun. Je l'avoue, j'avais apprécier, et... C'était mon réel PREMIER baiser. Personne n'avaient toucher mes lèvres. C'était un moment un peu graver dans ma mémoire. Bon, ca fait un peu débile quand on y pense... Dix sept ans, premier baiser... Ca fait un peu raté. Non ? Mais peu importe après tout. J'étais charmer, combler, heureux... Et après de nombreuses secondes, Jun prit son inspiration, pour finir sa phrase, qui avait été couper par ce long baiser.


    « L'Amour ? »

    Chose qu'il ne fallait pas dire, Jun. Mon premier déclique, fut de le pousser. Plus ou moins violemment, avec un peu, ou beaucoup de force, je n'avais rien mesuré. Mais, je l'avais pousser. J'espérais juste que ca ne paraissait pas violent, macho, ou quoi que ce soit. Le mot « Amour » je ne voulais pas l'entendre. Mon dieu, pourquoi je passais ? Un monstre ? Je me mit a regarder véritablement Jun dans les yeux... Son regard était perdu. Triste. Vexé. Il était TRES VEXE même. Pourquoi je n'assumais pas au fait ? Je l'aimais, c'était flagrant, sinon, je ne l'aurais pas laisser m'embrasser, je ne lui aurait pas prit la main, je ne l'aurais pas enlacer et tout ce qui en suit. Je n'aurais pas été comme ca... Il est temps d'un peu s'assumer ! Pfff... Oh non, je vois... Ses yeux brillaient. Il ne vas pas pleurer quand même ? En même temps, il a de quoi. Je lui ai fait quelque chose d'horrible, alors qu'il faisait l'effort de sa vie. Il se déclarait, en quelque sorte. Jun, faisait un gros pas en avant... Alors que moi, je le poussais. Comme si je voulais reculer. L'ambiance était déjà glacial, mais la, c'était l'Alaska par ma faute. Je m'approcha, lui saisit ses deux mains, puis le regarde. Il semble énervé contre moi, mais triste. Je le comprends... Et, aimerait m'excuser. Mais ma fierté m'empêche d'articuler ces pauvres mots. Je veux m'excuser ! Mais je n'y arrive pas. Je serre un peu plus ses mains, comme si je ne voulais pas qu'il les enlève, qu'il parte... Enfin, il ne pouvait pas, après tout. Mais peu importe, je voulais qu'elles restent dans les miennes, ces jolis mains... Je pris mon inspiration, commença une phrase, puis l'abandonna. Je soupira, puis recommença une nouvelle fois, une nouvelle excuse. Deuxième échoue. Jamais deux, sans trois.

    « Pardon. Je suis désolé. »

    Deux excuses pour le prix d'une, n'est ce pas magnifique. Je voulais qu'il m'excuse, cette pulsion était plus forte que moi. Je n'aurais pas du le pousser, j'aurais du résister. Ou m'excuser tout de suite. J'avais été assez long a la détente, a mon goût. A la place de Jun, je me serais déjà attribuer une belle baffe. Mais, d'ailleurs, pourquoi il ne l'a pas fait ? Je le mérite... Désemparé, je le prends dans mes bras. Un gros silence, encore. Qu'est ce que je fais ? Je me déclare ? Non. Mauvaise idée. Je ne peux pas me déclarer... Je ne veux pas !! C'est que la fierté reprends le dessus... Il faut une première fois a tout, je dois le faire ! A moi de lui prouver. Je l'écarta doucement de moi, puis le regarda dans les yeux en rougissant. Première tentative... Je bégaye. Ben voyons. Deuxième tentative..? Aucun son ne sort de ma bouche. Bon, encore une fois... Jamais deux sans trois.

    « Je..Je t'aime ! »

    M'exclamais-je. Vous savez quoi ? Je suis pitoyable. Juste après ma déclaration, qui fut d'ailleurs très courte, je lâcha ses mains pour regarder autre part. Allait-il se foutre de moi ? Ca se trouve, c'était une blague ! Ah mais non, ce serait une blague de très mauvais goût dans ce cas. Non, je sais que Jun était sincère de A à Z... Et la ? Que va-t-il dire ? Non ! Que vais-je dire ? Un peu a moi, de parler...

    « De l'Amour, tout juste. Et d'après ce que j'ai pu voir.. C'est... Peut-être réciproque ? Du moins je crois... enfin, j'espère. »

    Mais oui, c'est ca ! Tout a fait Matthew. Aller, va dormir parmi les balais, jeune imbécile ! D.O.D.O ! Que t'aille faire DODO ! Il venait de m'embrasser, c'est pas rien. Oui, mais, on sait jamais après tout. Non mais ! J'avais bien l'air bête la, non ? Vraiment lunatique en fait. On s'est embrassés, il s'est déclaré, je l'ai pousser, je reviens vers lui, je me déclare. C'est un peu n'importe quoi. Non ! C'est n'importe quoi. Vraiment n'importe quoi. Qu'allait-il dire ? Faire ? Il va rire je parie. J'ai tellement l'air con. Qui ne rirais pas a cette vue de voir.. Un raté, oui,n gros raté, se déclarer en assumant a peine ses sentiments. J'espère juste... Qu'il ne saura jamais que je comptais faire disparaître les ressentit que j'avais pour lui. A moins que je ne lui avoue. Mais, il risquerait de mal le vivre. Oui, très mal même... Enfin, pour l'instant la question n'est pas la... Que va-t-il faire ? Me pousser lui aussi pour me rappeler des souvenirs ? Ah ca non. Je le prendrais mal !

Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 15:33

    J’avais longuement hésité avant de laisser sortir le mot « Amour » de ma bouche. Vraiment. C’était difficile, et ça m’avait demandé un certain temps. Du coup… j’étais plutôt fier une fois ce poids enlevé de mon cœur. Limite j’aurais souris. Si, et seulement si… Matthew n’avait pas fait ce geste. Il me poussa. Pris sous la surprise, je valsai d’un bon mètre en arrière. D’un côté, c’était plutôt violent. N’importe quelle, à la vue de cette scène aurait éclaté de rire ! C’était tellement… attendrissant, et tout d’un coup… BAM ! L’un d’entre eux se met à pousser l’autre ! Raah ! Tant d’efforts faits pour rien ! Là oui. En effet, j’étais vexé ! Nos regards de couleur contradictoire se croisèrent. Il ne laissait rien paraître. Par contre, moi, je ne cherchais pas spécialement à le cacher ! Je fis la moue, profondément vexé par sa réaction qui installa un beau, un magnifique… BLANC ! Du coup, je me mets dos à lui, bras croisés. Tentant tant bien que mal de me calmer. Ah, ça oui ! Ça me rappelle des souvenirs ! Pendant huit ans, nous n’avons pas arrêté de nous pousser ! Pour un oui ou pour un non ! Mais le plus flagrant fut à notre rencontre. Deux années à la suite, au même moment, au même endroit, on arrivait à se pousser, se cogner ! Terrible ! Et encore aujourd’hui, ça continuait ! Dites-moi que c’est une blague ! Même dans un moment comme celui-ci, il arrive à placer ce genre de choses ! Je suis vraiment vexé ! Et à la fois triste ! Il ne sait même pas combien de temps j’ai bien pût mettre pour lui avouer ça ! Une heure ! UNE HEURE ! Et là, il a… tout cassé, avec grâce et violence. (Oxymooore !) Et bien, ça voulait tout dire pour ma part ! Il m’avait pris pour un gros boulet qui servait à rien. J’ai donc eut tort de lui faire confiance ? Bouah ! J’suis vexéééé ! Oui ! Je suis un gamin ! Et alors ? ET ALORS ?! Je n’apprécie tout simplement pas ce qu’il vient de me faire ? Comment l’auriez-vous pris, vous ? Hein ? Genre, il se laisse embrasser, toucher, caresser… et là… Badaboum ! Un fois que vous employer le terme « amour » à voix haute, il vous envoie valser à l’autre bout du globe. Sincèrement ! Moi je l’ai mal pris en tous les cas ! Pfff !

    J’entends des pas se rapprocher de moi, ceux de Matthew. Ils semblaient hésitants. Quoi de plus normal ?! Après ce qu’il venait de me faire ! Si je n’étais pas un minimum tolérant dans mes actions, je crois qu’il se serait pris la gifle de sa vie ! Et ça, je vous jure que je l’aurais fait ! Et ce à n’importe qui ! Mais là… mais là… c’était… Matthew ! C’est pas comme s’il était « n’importe qui », du coup, j’avais laissé tomber cette idée, qui pourtant m’aurait parue tout à fait naturelle ! Raaah ! Je bouillonne de rage ! J’étais à la fois rouge de colère, mais aussi de gêne, de honte ! Raah, heureusement qu’il n’y avait que nous deux ici. Je n’aurais pas accepté ce genre de comportement en publique ! Quoi que… je ne l’aurais tout simplement : JAMAIS fait en PUBLIQUE. Il est vrai que j’aime attirer l’attention, je suis comme ça. Mais… non ! Pas que j’ai honte de mon orientation, ah ça, je peux vous l’assurer, ça ne me fait ni chaud ni froid. J’accepte parfaitement le fait que je sois homosexuel, et ce, même si je m’amuse quelques fois à sortir avec des filles. Donc ! Je tiens à dire que ça n’a rien à voir avec cela ! Juste par le fait qu’après une parole aussi sérieuse, je sois repoussé avec un tel dégoût… (Car oui, je l’ai pris comme ça.) ça me… ça me… vexe et me rend triste. DONC voilà ! Ne cherchez pas plus loin ! D’accord ! Juste pour cela, je n’aurais pas aimé que ça se passe en publique. Puis… plus les pas se rapprochaient de moi, plus je me sentais mal, honteux d’avoir été rejeté aussi impudemment. Puis, une fois qu’il réussit à se mettre en face de moi, il m’attrapa les deux mains. J’avais la folle envie de les enlever des siennes ! Non mais ! Après m’avoir poussé comme ça, il revient vers moi, et ose encore me prendre les mains ?! Haha ! C’est marrant ! Très comique et réussi ! « Bonne nuit, je vais me coucher » ! Voilà ce que j’aurais dit si toute cette scène de ménage se serait passée chez moi. Mais… là c’était dans un placard ! Retenu par un foutu sort ! Donc, bien évidemment : Je ne pouvais RIEN faire. Ni partir, ni me permettre d’enlever furtivement mes mains des siennes, sourcils froncés. Et d’un côté, je n’en avais pas envie. J’aimais beaucoup trop pour faire ça, sous le coup de la colère. Du coup, je me contentais d’éviter son regard, sourcils froncés, joues légèrement gonflées. Je lui lançais quelques coups d’œil, il tentait de s’exprimer. Hop… une fois. Raté ! Deuxième… ? Raté aussi. Et au bout de la troisième fois, il s’exclama.

    « Pardon. Je suis désolé. »

    Wow ! Je n’en croyais pas mes yeux ! (Et mes oreilles, au passage.) Je rêve, ou bien il venait de s’excuser ? Deux fois en plus ! Ma mine vexée s’effaça peu à peu, drôlement surprise par cette phrase, qui pourtant, aurait été aux yeux des autres, banale. Mais je n’étais pas pour autant décidé à le pardonner. Du moins, pour le moment. Attendez ! Je viens de me faire pousser quand même ! Moi ! JUN ! Qui n’ai JAMAIS été rejeté ! Bien évidemment que ça fait mal ! Mais au moins, c’était un bon point, il venait de faire disparaître ma mine boudeuse et vexée ! Je ne le lâche pas des yeux. Comme si j’attendais quelque chose de sa part. Une autre chose. En fait… ce n’était pas spécialement le « pardon » que j’attendais. Même si le fait qu’il s’excuse ne me laissa pas de marbre, puisque c’était très rare venant de sa part. Il me serra ensuite dans ses bras, ce qui me confirma que tout ce qu’il venait de me dire n’était pas du baratin. J’étais touché… oui. Il n’y avait que lui pour me faire ressentir ce genre de choses… je l’admettais. Oui… enfin. J’osais. Je me sentais si bien dans ses bras, sans réellement le vouloir, j’accrochais mes main à sa chemise… son odeur m’enivrait. Il n’y avait que lui… que lui ! QUE LUI ! Il avait réussi… réussi à me charmer, à m’atteindre… moi qui me croyait… intouchable. J’ai bien eut tort. Tort de trop m’approcher. Tort de vouloir être tenté. Je n’y pouvais rien. Il m’écarta de lui, de façon à ce que je lui fasse face. Il me regardait. Son regard semblait inexpressif… puis… je vis des traces sur ses joues se colorer. Il essaya de me parler… mais je ne compris rien. « Je… je… t’… » …. ? Il ressaya une deuxième fois, rien ne réussit à sortir. Je penchais légèrement la tête, me demandant réellement ce qu’il était en train de me faire. C’était presque comique. Et là, encore une fois, pour la troisième fois, il réussit à articuler ces quelques mots.

    « Je..Je t'aime ! »

    Gros blanc… gros silence… alors ça… franchement… je dois dire que… je ne m’y… attendais PAS du tout ! Haha ! HAHA ! Haha ! Je commençais à pouffer un petit rire. Non pas pour me moquer, spécialement de lui. Mais surtout de nous deux. On avait vraiment l’air de deux zigotos. Il lâcha rapidement mes mains après cette déclaration, et évita mon regard. Je le cherchais, m’arrêtant doucement de rire, gardant tout de même, un sourire niais dessiné sur mon visage. Puis, je l’entendis continuer.

    « De l'Amour, tout juste. Et d'après ce que j'ai pu voir.. C'est... Peut-être réciproque ? Du moins je crois... enfin, j'espère. »

    Je me rapproche soudainement de lui, prend son visage entre mes mains, le force une nouvelle fois à me regarder. Il faut dire… qui ne serait pas gêné en disant tout cela ? Moi, je me serais certainement caché dans l’un des cartons ! Enfin… faire le premier pas, verbalement est beaucoup plus dur que lorsqu’on agit… enfin… pour ma part. Après, il y en a, c’est le contraire. Moi, je n’ai jamais fait de déclaration sincère, mais par contre, embrasser et bien d’autres choses, oui, je l’ai déjà fait… donc bon… Une fois son regard planté dans le mien, je me sentis rougir. Et, je m’exclamais à mon tour.

    « Bon… écoutes-moi bien ! Soyons clairs, je ne te le dirais pas deux fois ! D’accord ? Je… »

    Mes sourcils se froncèrent, j’étais énormément gêné. Allé, Jun, tout ce que Matthew arrive à faire, tu peux le faire toi aussi ! Tu es parfait je te rappelle ! PARFAIT ! Pas besoin de te l’épeler trente fois, n’est-ce pas ? Alors, prend ton courage à deux mains, et dis-lui bordel !

    « Je… Je t’aime aussi ! Ok ? Compris ? »

    Mes joues s’étaient empourprées, j’avais l’air d’une tomate. Raah ! C’est vrai que c’est gênant. Je lâchais son visage, me jetant soudainement contre son torse, cachant mon visage contre ce dernier. Oui… n’oublions pas que je suis quelqu’un d’extrêmement sensible. Et qu’au fond, il se trouve que je suis un grand timide. (Haha, la blague vous me direz ! Et bien… vous avez totalement raison !) Mais en tous les cas ! Je vous assure qu’une fois sorti d’ici, je cours à la recherche de cette troupe qui a osée ME faire un coup pareil ! Grrr ! Je restais une longue minute comme ça, ma tête pressée contre son corps, honteux de ce que je venais de dire. Puis… je levais finalement mon regard vers mon « amoureux »… rah, ça fait vraiment bizarre d’employer ce terme quand même… ! Mais je sens que si je ne le dis pas, on va finir par me poursuivre avec un tuyau allumé… (Petite dédicace pour Andrew.) Puis, je lui demandai, petit sourire aux lèvres, passant doucement mes doigts sur ces dernières.

    « Peux-tu tout simplement… me prouver que tu m’aimes… ? »

    Provocateur ? Moi ? Jamais voyons ! C’était juste quelque chose de tout à fait normal… depuis le début… niveau action… c’était moi qui faisait tout le boulot. Et vous savez… un petit contact ne fait de mal à personne… donc j’attendais patiemment une réponse de sa part, qu’elle soit positive ou négative. Bien que j’espérais qu’elle allait être « positive »… héhé…
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 16:35

    J'ai une question. Oui, encore une... Mais... ETAIS-CE LE MOMENT DE RIRE ?! SÉRIEUSEMENT. Je venais de me déclarer, et voilà Jun qui pouffe de rire. C'est pas rassurant tout ca... Du tout ! Je passe pour quoi la au fait ? J'aurais du me taire tiens ! Oui. Je vire susceptible, a force de « traîner » avec lui. Oui, lui ! Jun. Même si les rires ne sont pas moqueur, je suis vexé. Il ne doit pas rire !... Oh ? Il sourit. Oui, ben, c'est mieux hein. Car s'il commence a prendre un fou rire alors que moi je vais pleurer de honte, c'est pas sympathique tout ca. J'ai encore du mal a me dire que je l'aime... Et lui il rit. Ah non j'avale pas ! Pfff. Oui, je prends tout mal. Bon ca va hein... Bon, ok ! Il avait le droit de rire après ce que je venais de faire. Il n'avait pas l'air du tout content quand je l'ai envoyer sur les roses tout a l'heure... Je me demande bien ce qu'il a put penser. Je lui demanderai bien tiens... Bon je pète pas tout de suite l'ambiance, j'attendrais un peu avant de poser ce genre de question. Un sourire niais se dessine sur son visage. A son tour, tiens. Il n'y a pas que moi qui passe pour un con avec ce sourire.. Hihi. Ahah ! Eh... Stop Matthew. Je me reprit en lui demandant si mes sentiments étaient réciproques, et... Comme par magie, Jun s'approche de moi, et me force a le regarder en mettant ses mains sur mon visage, et le tournant vers le sien. Mes yeux fixent les siens, et un silence revient, a nouveau. Mais j'aperçois les lèvres de Jun bouger, alors, je l'écoute... Enfin, si j'arrive a l'écouter. Je suis hypnotiser par son visage. Il est si mignon... Je m'attendris comme un idiot, j'ai envie de lui embrassé ses jolis joues colorer, de jouer avec ses cheveux, de toucher ses lèvres puis de les embrasser. Euh. Stop. Je suis pas la pour décrire mes fantasmes ! Enfin.. Quoi que. Non ! (non mesdemoiselles, désolé. Je ne décrirais rien. Pour le moment.) J'arrête donc de rêvasser, enfin, si j'y arrive.

    « Bon… écoutes-moi bien ! Soyons clairs, je ne te le dirais pas deux fois ! D’accord ? Je… »

    Tu ?... Oui ? Mmmh. Ses sourcils se froncent, et je commence a être plus attentif a ses paroles, car la suite avait l'air intéressante. Je souris, puis attends... Jun est si mignon quand il est gêné !

    « Je… Je t’aime aussi ! Ok ? Compris ? »

    Oooooooooooooh ! J'ai une tomate devant moi ! C'est adorable. Je m'attendris encore. Rah. Ca a pas l'air d'être fini en fait. Pfff ! Ses joues sont toutes rouges, c'est mignon. Ce qu'il venait de me dire me toucha. Il m'aimait aussi !... Hya. Euh. Non. Mais ! Euh.. PFFFF !!! Je..OOOOOH. C'est adorablement mignon. Jun se jeta sur mon torse, cachant sa tête contre ce dernier, il était gêné ? C'est mignooooooooooooooooooooooooooon. Je craque ! Pendant la longue minute ou il était « cacher » j'en profite pour lâcher un petit rire, puis sourire et soupirer de bonheur. C'était... Il n'y a pas de mot ! Personne ne m'avait fait autant craquer, que lui. Que Jun ! Il est... Rah. Vous vous étonnez qu'il se trouve parfait ? Il l'est ! Enfin. Presque. Je lui jette des fleurs ? Ben.. C'est l'amour qui me fait dire ca en fait. Jun leva la tête vers moi, puis me demanda avec un sourire aux lèvres assez suspect...

    « Peux-tu tout simplement… me prouver que tu m’aimes… ? »

    ………………………………… Eh. Comment ? Je sais pas moi. J'ai jamais été en couple ! Enfin si. Mais non. Jamais réellement. Je suis censé faire quoi la ? J'ai honte ! Prouver ? Prouver comment ? Pourquoi j'ai une tonne de sous entendu en tête ? EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEH ! Faites partir ces images perverses de la tête ! On est ensemble d'abord ? En couple ? C'est sûr ? Officiel ? WOW. C'est aller vite. Enfin, non, pas tant que ca. Six ans a peu près, c'est pas VITE... Donc, revenons a nos moutons. Oui ! JE FAIS QUOI ? Oh non, des images qui reviennent. Je rougis rien qu'à la vision de ces quelques images créer par mon (con) de subconscient. Hyaaa... Je secoue la tête légèrement, fait la moue... Et, surtout, fait patienter Jun. Qui a l'air de véritablement s'impatienter. Il le sait ! Je n'ai jamais vraiment aimer personne, je perds UN PEU tout mes moyens. Il veut pas tout de suite me dire ce qu'il veut ? Oh tiens, il se redresse, croise les bras, et fronce les sourcils. Ca veut tout dire. Ca veut dire... « TU RÉFLÉCHIS TROP. ». Mais si je l'embrasse, il est capable de me pousser en me disant « ET CA ? TU T'EN RAPPELLE ?! »... Alors, non merci ! Bon là, il a vraiment pas l'air super content. Je m'approche de Jun, pose un baiser dans son cou, puis un deuxième sur sa joue... Et puis pour finir, ses lèvres. Je l'embrasse longuement, avec douceur, en caressant sa joue avec une de mes mains, la descendant doucement dans son cou, puis son torse. Une fois le baiser terminer, je me met a afficher un grand sourire en rougissant, et lui disant.

    « C'est... C'est ca que tu voulais ? »

    Et je bégaye en plus ? Pfff... Je suis gêné après tout. Je vois Jun sourire, assez satisfait, tandis que je me gratte la tête. Je le regarde sourire, et cède a nouveau a la tentation. Je pose un court et chaste baiser sur ses lèvres. Après cette action, je lui dis avec un air arrogant, et fier de moi, comme si j'avais fait l'exploit du siècle.

    « Ca te suffit ou il t'en faut plus ? »

    Provocation ? Non. Jamais, je ne provoque pas. Bon, j'avoue, cela en était, certes. Mais... Mais ! Ces images... Elles me hantaient. Pourquoi je voyais des choses perverse soudainement ? C'est tout, sauf mon genre ! C'est sa faute. C'est lui qui m'a provoquer d'abord avec son « Prouve moi que tu m'aimes » blablabla... C'est a partir de cette phrase que j'ai commencer a m'imaginer des... CHOSES. Désespéré de moi-même, j'enfouis ma tête dans mes mains, puis bredouille des choses incompréhensible, que j'espère, Jun n'entends pas. Pour finalement les enlevés au bout de quelques secondes, et regarde mon... mon petit ami, comme si de rien était. Avec un sourire angélique.
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 17:47

    Je venais de le « provoquer », lui donnant un indice en passant mes doigts sur mes lèvres. Mais apparemment… il n’avait pas spécialement fait attention à ça. Je le regardais donc, perdu dans ses pensées. Il commençait à rougir, ne sachant probablement que faire. Et bien mon cher… Je ne te voyais pas comme cela. Ce n’est pourtant pas difficile. Tu t’approches de moi… et tu déposes un baiser sur mes lèvres. Ce n’est pourtant pas trop demandé pour un « couple »… Un couple… je sentis mes joues rosir. Hyaaah ! C’était qu’un rêve hein ? Je pouvais tout me permettre ? …Quoi que… non. C’est la réalité, je me suis fait poussé tout à l’heure, et la force, je vous assure que je l’ai sentie. Pour une fois que j’aurais pût en profiter… haha. Bon d’accord, je l’ai déjà fait avec beaucoup de personnes mais… quoi ! Attendez, pourquoi je vous déballe ma vie privée ! (Et pas seulement privée en passant…) Je n’ai rien à vous dire ! Bande de curieux ! Pcht ! Je regardais Matthew, commençant légèrement à m’impatienter. Enfin… beaucoup même. Disons que comparé à lui, je n’ai aucune patience. Et je vous rassure, je le vis plutôt bien. Bon d’accord… il faut dire que ce que je lui avais demandé… après beaucoup de réflexions… fait apparaître de nombreux sous-entendus… haha… mais ce n’est pas possible, Matthew ne peut pas penser à CA ! Ce serait… étrange. Je ne sais pas, il n’a pas une tête de pervers, vous savez, c’est comme ça des fois. Moi… je ne sais pas. Peut-être que je peux le paraître une fois que l’on me connaît. Mais aux premiers abords, je suis quelqu’un de très innocent, et surtout : pur. Oui, personne n’en douterait, avec l’image que je reflète. Jouer la comédie… c’est tellement facile… et à la fois si drôle ! Ça m’amuse ! J’aime ça ! Mais bon… à certains moments (comme maintenant), il faut savoir s’arrêter, et laisser place au sérieux. Et oui, on ne peut pas tout le temps être hypocrite (bien que ça ne me dérangerait pas tant que ça…) héhé. Je le vois secouer la tête, je me demande à quoi il peut bien penser, penchant légèrement ma tête sur le côté. C’était si sérieux que ça ? Car au fond… ce n’était pas comme si je lui demandais la lune… non ? Je finis par croiser les bras, perdant toute la patience dont j’avais récemment fait usage.

    En effet, je trouvais qu’il réfléchissait un peu trop à mon goût. Je commence à souffler discrètement, j’étais vraiment impatient. Et cette impatience, un jour, finira par me tuer, ou bien, se retourner contre moi un de ces quatre ! Il se rapproche doucement de moi. Se décide enfin à me toucher, ce que j’attendais depuis un bon moment déjà. Il déposa, pour commencer, un tendre baiser dans mon cou… je frissonnai à ce doux contact, fermant doucement mes yeux. Et oui… ça fait mal de l’admettre mais… j’étais aussi sensible dans les sentiments que dans les contacts… mignon ? Si je l’étais ? Dans un certain sens. Mais dans un autre, complètement honteux pour ma perfection. Il remonta, déposant ensuite un baiser sur ma joue, qui était bien assez brûlante comme ça, puis pour finir, il réussit à capturer mes lèvres. C’était tout ce que j’attendais. Sa main caressant doucement ma joue, puis descendant de cette dernière, effectuant un court trajet, de celle-ci à mon torse. Je passais mes mains autour de son cou, puis, prolongea le baiser. J’étais bien, tout le poids qui c’était accumulé venait de tomber, j’étais libre. Rien ne pourrait m’atteindre… j’étais heureux. Le baiser s’acheva. Dur était le moment où nous nous détachions, mais il afficha un sourire, les joues rougissantes. J’étais satisfait. Oui. Très ! Après plusieurs LONGUES minutes d’attente, j’avais enfin eut ce que je voulais ! Donc, bien évidemment, je l’étais ! D’ailleurs, la phrase que Matthew articula, me rappela soudainement cette pensée.

    « C'est... C'est ça que tu voulais ? »

    Mon sourire angélique s’agrandit. Oui, c’était ça ! Absolument ! Il venait de bégayer. C’était tout simplement adorable. Je le vis se gratter le sommet de la tête. Gêné ? Il n’avait pas à l’être. Nous n’étions que deux… après tout. Ohlala… ! Maintenant, c’est moi qui commence à avoir les idées mal placées. Non… il ne faut pas, pas maintenant. Me connaissant, je risquerais de les mettre en œuvre. Et ça… je le savais, j’en étais certain. Matthew n’arrangeait pas les choses, il faut dire. Il déposa un second baiser sur mes lèvres, furtif et provocateur. D’ailleurs, le regard qu’il venait de me lancer n’était guère mieux. Sa phrase n’était pas mieux.

    « Ca te suffit ou il t'en faut plus ? »

    S’il m’en faut plus ? Je t’en prie Matthew… n’essaye pas de me tenter… tu risquerais de le regretter. Il enfouie son visage dans ses mains… ? Euh… je ne compris pas vraiment ce qu’il venait de se passer. Puis, il se remit en place, comme si de rien n’était. Son sourire… rah ! Ne me regarde pas comme ça ! Je me rapproche doucement de lui, le regardant dans les yeux, imitant son sourire angélique avec grande perfection. Puis, je lui demandais, d’une voix douce et à la fois belle et bien tentée par la question qu’il venait de me poser.

    « Et s’il m’en fallait plus ? Qu’est-ce que tu ferais… ? Tu sais que… »

    Je souriais narquoisement, le plaquant soudainement contre l’un des murs du placard, provoquant un bruit sourd, un tremblement. J’avais souvent le dessus. Je continuais de lui sourire, on ne savait me différencier de l’ange et du démon. J’étais imprévisible. Je pourrais tout faire, puis également changer d’avis d’une minute à l’autre. J’approchais mon visage de son cou, léchant sensuellement ce dernier, tout en commençant à déboutonner la chemise de mon cher et tendre ami. Puis, une fois la moitié des boutons enlevés, je le regardais, grand sourire aux lèvres. Provocateur… ? Finalement… peut-être que je le suis… Je relevais un peu ma tête, afin d’atteindre ses oreilles, et lui murmurer doucement.

    « Tu sais que… c’est mal de me provoquer… »

    Son torse était à moitié découvert. J’aimais bien cette vue, cette image qu’il me donnait là. Mais bon… il faut dire que j’avais hâte qu’il me réponde, de voir sa réaction. Je relevais fièrement ma belle et vieille casquette, découvrant mes deux prunelles, remplies de tendresse. Haha… qu’étais-je donc… ? C’était une bonne question. Et lui, qui était-il ? Mon amour… ma passion… ma drogue… tout… tout ce dont j’ai besoin pour mon plaisir, pour vivre, pour être heureux. C’est pourtant aussi simple que ça…
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 18:40

    Ahh, la provocation, ce mot me plaisait tellement, il sonnait tellement bien en bouche. Surtout dans la mienne. C'était tout un art, de provoquer, et je le faisais très souvent, pour mon plus grand plaisir. De plus, j'avais souvent des fréquentations facilement irritable. Donc, j'étais souvent satisfait de mes répliques, et tout ce qui en suit. Cependant, provoquer Jun..? Ce ne m'étais pas arriver tellement souvent, mais là, c'était plus fort que moi. De poser cette question aux airs déplacés, avec une mine narquoise. EN même temps... Tout les deux, dans un placard... HEUM. Non, de toute façon, je ne suis jamais passer a l'acte, je ne sais pas comment m'y prendre, et ce n'est pas au bout de si peu de temps de « couple » que je vais me laisser faire par.. par Jun. Je le connais, et il a un côté dominant. Ca me plait pas. J'aime pas être dominer ! Je le serais jamais de toute façon. Na. Si ca m'arrive, je me vengerais. Je déteeeeeeeeste avoir le sentiment d'être dominer. Je suis pas un soumis. Je suis pas de ce genre... Enfin quoi que. C'est plaisant aussi de subir. Peut importe, on s'en fiche de mes penchants, je me laisserai paaaaaaaaaaaaaaas dominer. C'est comme ca, pas autrement, j'aime pas ca, je lui en empêcherait, même si je sais que dominer pour Jun, est une grande passion. C'est N.O.N, avec qui il veut mais pas moi. Au pire, je peut partir trouver un autre soumis pour me défouler. Aoutch. Je pense déjà a aller a droite, a gauche alors que cela fait un quart d'heure que mon statut célibataire est dépassé ?... C'est méchant. Mais je n'ai jamais été fidèle. Enfin, je n'avais pas de sentiments, et j'avais plusieurs couples a la fois. Peut-être qu'avec des sentiments, cela changera. Je ne promets rien a Jun... Enfin, je ne sais pas trop s'il sait que je suis du genre a avoir les yeux baladeurs, les mains baladeuse, et l'habitude de mené une double vie de couple. Ou une double vie tout court. Mmmh, je lui en parlerai un de ces quatre, tiens. Ou il s'en apercevra lui même, ca dépendra. BEN OUI ! Soumis ne veut pas dire tout gentil tout mignon et adorable. Je suis un B.A.D B.O.Y. Bon, euh, stop it, now, Matthew ! Tiens, qu'est ce qu'il raconte le petit Jun ?

    « Et s’il m’en fallait plus ? Qu’est-ce que tu ferais… ? Tu sais que… »

    Euh. Euh.. Euh. EUH. BEN. C'est pas que c'est non. Mais, oui peut-être. Ou non. Enfin je sais pas. J'en sais rien ! C'est quoi c'est questions qu'il me pose ? Ca va finir en film porno c't'histoire. Je sais que quoi ? Non, je sais pas. J'ai bien envie de savoir d'ailleurs. C'est quoi cet air qu'il me prend là ? Je vais le calmer en le poussant moi ! J'ai trouver the technique. En même temps on se pousse depuis qu'on est gosse, mais la, on peut pas dire que ca ne lui a pas fait d'effet ! Haha. Euh. Non,la c'est moins marrant. Je me fais plaquer contre le placard, tel un soumis, et puis... Roh, il eut un bruit sourd, qui me fit mal a mes petites et fragiles oreilles. J'aimerais encore entendre !Jun ! Il souriait toujours, et encore. C'était imprévisible tout ca. Je n'aurais jamais cru me faire plaquer contre un meuble en si peu de temps. Il approcha son visage de mon cou, pour me le lécher lentement, je me mit a rougir, puis a frémir a ce contact. Non. Désolé, mais tu n'iras pas PLUS LOIN ! Enfin, euh. Non ! Il détache quelques boutons de ma chemise, je me sens impuissant. C'est honteuuuuuuuuuuuuuuuuuuux... De plus, Jun sourit encore plus a cette vue. Mon torse est moitié découvert... Tsss ! Il releva sa tête, puis vint me murmurer au creux de mon oreille.

    « Tu sais que… c’est mal de me provoquer… »

    Mal ? C'est mal. Je retiens la leçon... Mais tu me provoques aussi la ! C'est mal de me provoquer a moi aussi ! Je vais.. te... te... TE POUSSER ! ………. BON. D'accord, je suis sans doute soumis a Jun, je l'avoue, mais j'ai honte de me faire dominer par lui, et par un être ayant tout de même, voyez-vous, quelques centimètres de moins ! Si je dis ca a Jun, il va se vexé je parie...Mais il le saura bien un jour ou l'autre. Ca m'énerve ! L'être parfait que je suis... Est soumis. J'en reste parfait quand même. La perfection ne veut pas domination ! Comment ca oui ? Vous mentez en plus. Bon sang, je suis plonger dans mes pensées. Je regarde Jun, satisfait de ce qu'il vient de faire, relevant sa casquette, avec fierté. Il changera jamais. Je le pousse.. LÉGÈREMENT. Histoire qu'il s'écarte un peu de moi, je rattache paisiblement les boutons de ma chemise alors qu'il me regarde faire. Je pousse un long soupire, puis lui dit.

    « Je savais que tu aimais dominer... » Je fis une pause, soupira encore une fois en finissant tout juste d'attacher mes boutons. « Mais je ne me laisserai pas faire. Compris ? »

    Le message était bien passer ! Je ne me laisserais pas faire. Disais-je fièrement, en finissant de boutonner ma chemise. Alors, qu'intérieurement, JE SAVAIS que je craquerais, me laisserais faire dans tous les cas... Et que. QUE... QUE ! QUE quand il voudra me faire quelque chose, quand il voudra QUE JE LUI FASSE quelque chose. N'importe quoi. Je le laisserais faire, je le ferais. Je suis.. Soumis a lui. OH MY GODNESS ! On a intérêt a inverser les rôles de temps à autre. Je le manipulerais pour qu'il se soumette a moi de temps en temps. Vous inquiétez pas, ce sera sans risque ! Il comprendra même pas que je le manipule. Pourquoi vous me prenez pour le méchant dans l'histoire ? Je suis gentil. Je suis parfait. J'ajoutais donc en le regardant tout sourire...

    « Et je ne céderais pas si tu veux qu'on fasse quoi que ce soit. »

    Pourquoi je mens ? Il trouvera une façon de me faire céder, ou ne me demandera même pas mon avis. Mais bon, j'ai l'arme suprême. Tant que mes bras sont libérés, je le pousse, et abracadabra ! Jun est calmé. Bon, il me boudera un bon moment ! Mais il comprendra peut-être la leçon petit a petit ? Que dis-je. Il est tellement têtu, qu'il persistera, même si je le repousse. Bon, je vais pas le repousser tout le temps non plus. Mais c'est un sauvage. Sisi, si je vous le dit. Dominant = Sauvage + Provocateur = Jun. J'ai fais un magnifique calcul mathématique a la Matthew ! Hya ! Je suis fier de moi. En plus, c'est la pure vérité. Combien de fois je l'ai observé quand il était en couple... Je comprenais tout de suite, qu'il n'était jamais en dessous, toujours au dessus. C'est sa mentalité, après tout. D'ailleurs, lui, il ne doit pas être a sa première fois.. Je suis jaloux. Non pas jaloux qu'il est plus d'expérience. Jaloux que je ne sois pas SON PREMIER ! Alors que pour moi, il va l'être. Vous comprenez.. Je suis un peu possessif et jaloux. Mais rien qu'un peu, rien d'excessif. Pas comme lui. Non, lui, c'est vraiment maladif. JUN LE POSSESSIF EXCESSIVEMENT JALOUX. Je vais n'empêche, bien m'amuser en le provocant et le rendant jaloux. Le rendre fou ! Ahah, ca va être amusant comme couple. Je m'assois calmement, dos contre le placard, me laissant tomber, attendant une réaction. Je souris dans le vide, comme si j'étais heureux pour rien. Enfin, j'étais heureux pour rien. Rien que de le voir a mes côtés, me faisais sourire.
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeLun 1 Nov - 19:38

    « Darliiiing ! Approches ! J’ai quelque chose à te montrer ! »… herm… disons que c’était presque ça. Je m’étais décidé à tout faire bouger, tout simplement sur un coup de tête. Il m’avait presque excité, et je me devais de lui faire comprendre que, ce n’était pas qu’une bonne chose. Je venais de le plaquer contre le mur. La tentation m’avait prise beaucoup trop rapidement, et je lui donnais un petit avant goût. Quoi de pire ? Quoi de mieux ? Je ne faisais que lui montrer ce dont j’étais capable de faire sans même douter, hésiter. Un démon… non ! Un dominant…. Certainement ! Héhé. Lorsque ma langue entra en contact avec sa peau, je le sentis frémir. C’était parfait… j’aimais… le voir comme ça, presque impuissant. J’en profitais pour détacher quelques boutons de son haut, tout sourire. Haah… mon petit Matthew… je n’ai jamais pût mieux t’admirer. Tu es à la hauteur de mes estimations. Cela me touche, me fait plaisir. Mon sourire narquois revint, résidant sur mes lèvres tel un parasite. Je relevais ensuite ma tête, afin de lui chuchoter à l’oreille ces quelques mots. « C’est mal de me provoquer ». Ahh… je ne disais que la stricte vérité. N’oublions pas que malgré tout ce qui vient de se passer, je n’en reste pas moins Jun. Et le Jun que nous connaissons AIME dominer. Même plus qu’aimer ! Il ADORE ça ! Et je pense que tout ça… les trois quarts de la population de Swelty sont au courant. Je le regardais, fier. Mon regard habituel quoi. Je regardais souvent les gens de haut. Qui change Jun est un démon et à la fois un Dieu. Puisque c’est à la fois démoniaque et un miracle. Je vois Matthew froncer légèrement les sourcils, et il me pousse avec beaucoup moins de violence que tout à l’heure. Je gardais mon sourire, me reculant doucement. Il profita de ces quelques instants de répit pour boutonner sa chemise. Je le regardais, tout sourire. Oh… mais mon ‘petit’ Matthew, à quoi est-ce que ça sert, tout ça ? Tu sais toi-même qu’il n’y aura plus de chemise… ARF ! Qu’est-ce que je raconte encore ? Allé, calme-toi Jun un peu ! Heureusement que tu ne dis pas tes pensées à voix haute toi aussi, hein ?! Tu te foutrais dans un sale pétrin. Déjà qu’en général, tes pensées ne sont pas très catholiques et bien placées… tu risquerais la sentence !

    « Je savais que tu aimais dominer... Mais je ne me laisserai pas faire. Compris ? »

    Ohhh ! Matthew, c’est tellement mignon ce que tu me dis-là ! Tu sais très bien que tu finiras par te soumettre. C’est comme ça. J’ai beau être plus petit que toi, je crains que niveau fourberie, je sois beaucoup plus avancé que toi… Tu ne pourras m’échapper. Et si tu comptes tout le temps me pousser, je te bloquerais. J’ignore encore combien de temps je vais bien pouvoir tenir. Tu es une drogue pour moi… maintenant que je m’en suis rendu compte, il est temps pour toi de l’assumer, et d’en payer les frais. J’affichais un sourire expressif. Qui pourrait penser, que derrière ce grand sourire angélique, pouvait se cacher autant d’idées, aussi floues soient-elles… aussi bien que perverses. Personne… personne ne le sait. Sauf moi. Ohh, et vous savez… peut-être qu’un moment à un autre, j’aurais une pulsion, et que vous finiriez par comprendre vous aussi, ce qui se trimballe dans ma tête. Quoi que… parfois, je dois admettre que ça n’a aucun sens. Mais bon… Je le regardais, il soupirait. C’était adorable. Il savait donc que j’aimais dominer ? Je ne me rappelais pas lui avoir confier… peut-être que cela signifiait que depuis un bon bout de temps déjà, il m’admire. Si c’est le cas… je dois dire que je n’ai plus rien à lui cacher. Il doit tout aussi bien savoir que ce ne serait pas ma première expérience si je le faisais avec lui. Enfin… en tant que dominant… car je dois vous avouer que je n’ai jamais été pris. …ça vous étonne ? Et bien moi NOOON ! C’est beaucoup trop logique. Je suis toujours dessus. Et j’aime bien, ça me suffit, me convient, me fait plaisir. Alors, pourquoi changer ? Mfuuh. D’après ce que je venais de comprendre, Matthew aussi, n’aimait pas être le soumis dans l’histoire. Par contre, j’ignorais totalement s’il l’avait déjà fait. Je le voyais comme quelqu’un de secret, du coup, je ne savais que penser. Donc bien évidemment… s’il l’a déjà fait… ça me ferait toujours un petit quelque chose. Mais on est bien souvent inconscient. Enfin… pour ma part. A force de trop aimer, on s’y plait… Mais s’il a toujours été dominant dans ses conquêtes, tant mieux pour moi. J’affichais toujours ce sourire niais extérieurement. Puis, je lui répondis sur le coup.

    « Oh… mais je ne comptais pas te le cacher… tu aurais bien fini par le découvrir. »

    Je n’avais répondu qu’à une partie de sa phrase. L’autre partie… disons que je jugeais inutile d’y répondre, puisque j’obtiens TOUJOURS ce que je désire. Je suis comme ça. Je persiste, encore et toujours. Et puis, j’y retrouve quelques résultats. Ça me va, quand on joue comme ça. Mais bon, avec Matthew, il faut que je m’attende à tout et n’importe quoi. Car au fond, je savais qu’il pouvait se montrer aussi imprévisible que moi. Ce qui avait le don de m’inquiéter et à la fois de terriblement m’attirer. Puis, après quelques secondes, je l’entendis ajouter.

    « Et je ne céderais pas si tu veux qu'on fasse quoi que ce soit. »

    Hum ? Ahhh bon. C’est ce que l’on dit. Je t’aime bien comme ça, mon petit Matthew. C’est d’une adorabilité compromettante. Continue donc. Provoque-moi. Tu sais qu’au bout d’un moment, je vais finir par te sauter dessus, et tu risqueras de ne plus rien comprendre. Et c’est ça… qui est bon. Je le vis se laisser tomber contre le mur, s’asseyant doucement, dos au placard. Il me regarda, grand sourire aux lèvres. Qu’attendait-il de moi ? Que je m’énerve à cette remarque ? Ah, ça non. Il m’en faut beaucoup plus pour me toucher à ce niveau là. Alors, j’haussais un sourcil, sourire toujours présent sur mon visage. C’était alarmant, le fait qu’il ne veuille plus me lâcher, ce satané sourire sincère, qui avait remplacé toute mon hypocrisie.

    « Qu’est-ce qu’il y a ? C’est moi qui te fais sourire comme ça ? »

    J’aimais bien son sourire. Oui, je sais, j’ai dût vous le répéter trente fois. Mais c’était… enfin voilà. Je me comprends. Mon sourire s’abaissa doucement. Tentant de jouer la comédie, même si je savais qu’au fond, ça n’allait pas marcher, il me connaissait beaucoup trop pour ça.

    « Ahhh ? Tu ne me céderas pas… ? Me voilà vexé… ! »

    Je détournais mon regard du sien, pour finalement pouffer un petit rire. C’était bien marrant. C’était comme si je me fichais de lui, comme si j’essayais de lui faire comprendre qu’il allait finir par ME céder. Et c’est tout. Je m’accroupis devant lui, posant mes mains blanches sur ses hanches. J’avais réussi à canaliser mon rire. Il le fallait bien. Puis, je le fixais. Approchant peu à peu mon visage du sien. Ne sourie pas… regarde moi, tout simplement. Je portais l’une de mes mains à son menton, le relevait un petit peu, et y déposa un baiser furtif.

    « Je plaisantais. »
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeMar 2 Nov - 8:02

    Fuit Matthew, fuit Matthew, fuit ! Fuiiiiit... Fuiiiiiiit ! Dans son regard, je lis... Je lis qu'il va me sauter dessus au moment ou je m'y attends le moins. Je lis pleins de choses, dans ses yeux, son sourire, son regard quoi. Je le sens, qu'il n'est pas prêt de me laisser tranquille... Bien au contraire. Je le vois déjà arriver sur ses grands chevaux, avec sa provocation, et moi, je serais IMPUISSANT devant ce qu'il me fera. Quoi ? J'ai du mal a vivre le fait d'être soumis a Jun ? Oui ! Entre nous deux, cela a toujours été de la rivalité. « Lequel des deux est le plus dégueulasse ? » et bien... On a jamais eu la réponse. Côté méchanceté et fourberies, on a toujours était a égalité avec Jun. On est assez malsains d'esprit tout les deux, et... Ca a prit une telle ampleur, qu'on en a presque fait un concours. Une véritable rivalité ! Dans tout ce que nous faisions, il fallait que l'un soit meilleur que l'autre. Et aucun de nous, dans chaque matière, n'a jamais déclarer forfait. Le concours continue encore un peu entre nous, et il continuera certainement, même si nous sommes ensemble. Ce serait encore plus amusant, bien sûr. Sauf que la, c'est un peu moi qui déclare forfait. Je n'essaye même pas de prendre le dessus. Je reste la, a subir, et faire juste deux droits petits, et doux baiser. En fait, dans cet histoire, je suis la douceur, et lui... Et lui ?... Il est chaud comme la braise. Non, sans déconné... Pfff. Soumis a Jun. Je n'aurais pas pu faire mieux, tiens ! J'allais bien m'y faire de toute façon. Il fallait que je m'y fasse, pour mon plus grand malheur... Mentalement, c'était l'apocalypse, au bout de six mois, je ne me serais pas rentrer dans la tête cette soumissions a deux francs. Et pourquoi il y a toujours un soumis et un dominant dans un couple ? On peut pas tout simplement être a égalité ? Bon, j'ai aussi, BEAUCOUP moins d'expérience, donc, ben... Ca compte pas ! Mauvais joueur ? TOTALEMENT ! J'assume. Du moins, j'essaie. Après l'avoir mit en garde du fait que je ne me plierait pas a chacun de ses désirs, monsieur Jun prend une mine autant satisfaite que la précédente. Qu'est ce qu'il avait en tête ? J'aimerais tellement lire dans les pensées pour savoir... C'est intriguant de voir ce sourire. On ne sait pas s'il a de bonne, ou mauvaise attention en mon égard. Même si j'ai une toute petite idée de ce qui se trame la-dedans. Je le connais par coeur, et je l'observe depuis maintenant six longues années. Il me réplique avec un ton arrogant que je ne supporte pas.


    « Oh… mais je ne comptais pas te le cacher… tu aurais bien fini par le découvrir. »

    Il est fier de ce qu'il dit en plus. Je ne m'étonne même plus que son patronus soit un aigle ! Il m'agace ! Regardez le, avec son air fier, c'est effrayant. J'enchaîne avec une phrase sèche, et véritable. Enfin, c'est ce que je pensais. « Et je ne céderais pas si tu veux qu'on fasse quoi que ce soit. » Qu'est ce que c'est beau de se mentir a sois-même. Je le sais que je craquerais, je n'arrive pas a m'y faire non plus ! C'est honteux. Vraiment... Je sais même pas si je vais m'en remettre un jour En plus,il doit être encore plus fier, de savoir que MOI Matthew Lewis, je sois complètement... Soumis a lui. Combien de fois ai-je employé ce mot ? Désolé, je n'arrive réellement pas a m'y faire ! C'est dingue. A vrai dire, je me demande encore comment je suis tomber amoureux de lui. Phénomène inexplicable ? Je pense voyez-vous. Je me laisse tomber au sol, dos contre le placard, puis souris en regardant dans le vide. HAHA, j'ai pas l'air bête, tiens. Pourquoi je souris d'ailleurs ? Car il est présent, a côté de moi ? Car je suis heureux de ce qu'il est en train de ce passé ? LOL MDR. Ben ouais, je crois bien que c'est ca de toute manière... Je sais bien que je souris pour rien, mais la quand même, je souris en regardant le plancher. Il est joli... Il est, en bois, foncé ! HAHA... ha. Ha. Il faut voir la vérité en face, l'amour, ca rend véritablement DEBILE. Pendant que je suis plonger dans mes pensées, j'entends Jun me dire.

    « Qu’est-ce qu’il y a ? C’est moi qui te fais sourire comme ça ? »

    Non. Du tout. Bon, si, mais CHUT ok ? C'est un secret. Je lève la tête vers Jun, et je vois son sourire s'abaissait, je fronce les sourcils, et me demande bien ce qu'il va dire suivit de ce regard. Mes prunelles fixe son doux visage le temps de ses quelques paroles, ou j'examine chaque mot, comme a chaque fois. Enfin, quand je suis concentré. Vous comprenez ?

    « Ahhh ? Tu ne me céderas pas… ? Me voilà vexé… ! »

    Mauvais acteur ! Pour moi, c'est un mauvais acteur. B.A.D-A.C.T.O.R. C'est quoi ce ton que tu prends, Jun ? Et ce regard ? Non mais en voilà des manières ! Essayerais-tu de copier mon talent pour la comédie ? Tu sais très bien que sur ce point là, je t'ai toujours battue ! Même si tu es très fort. Moi, je peux encore t'embobiner facilement, sans que tu le remarques ! AHAH ! Quoi ? Moi aussi je fais le fier ? BON OK. Chacun son tour, d'accord ?... Jun détourne son regard du mien pour pouffer de rire. Bon. C'était quoi le truc fun ? Qu'il se fiche de moi ? Non mais oh. Ca va hein ! Il a de la chance que... Que ce soit lui. Ah, c'est sûr, si ca aurait été quelqu'un d'autre, il serait déjà mort dix voir douze fois. Mais bon, c'était Jun. Il se baisse devant moi, posant ses mains sur mes hanches, il avait ENFIN arrêté de rire comme un imbécile. Il approcha doucement son regard du mien, portant une de ses mains a mon menton, pour le relever, puis m'embrasser brièvement, avant de dire toujours avec une fierté peu commune.

    « Je plaisantais. »

    Comme si je le savais pas ! Pffff ! Pour qui m'as-tu prit ? C'était marquer sur ton front que tu mentais ! Mmmh. Peu importe, je souris, encore, et porte mes mains dans son dos, puis sous sa chemise pour caresser sa peau. Rien de provocateur, et j'ésperais qu'il ne prenne pas ca comme telle... mes mains continuaient a se balader sur sa blanche et douce peau, pendant que je le regardais avec un air attendrit, en lui disant.

    « Tu sais pas me mentir, c'est bête hein... »

    Il fallait l'avouer Jun ! C'était ballit ballot. Bon, bon, je vais arrêter de jouer au gamin la ? Un peu de sérieux Matthew ! Oui, du sérieux. Même si le sérieux n'est pas tellement dans ton vocabulaire.... Hya. Jun est si mignon avec son petit minois. Je l'embrassa brièvement a mon tour, avant de le pousser contre moi pour qu'il soit un peu plus près... Je pris un voix enfantine, comme je savais si bien le faire...

    « Hyaaa... Je t'aime... Tu sais très bien que dans tous les cas je céderais ! »

    Ta gueule Matthew. Ok ? Rah ! Je commence a devenir comme Jun. Je l'ouvre pour rien dire, dire quelque chose qui ne sert strictement a rien. Mes mains se baladent toujours dans son dos, sous sa chemise... j'ai envie de la détacher... Mais, je ne le ferais pas. Je n'arrive pas a me le permettre. Je le regarde tendrement, alors que je passe mes mains vers son torse, pour descendre sur son ventre puis ses hanches... Sur lesquels je reste finalement. Je souris naïvement, alors que lui a toujours ce sourire mi-ange mi-démon sur son visage. Après ce que je viens de dire, j'ai un peu la trouille de ce qu'il va se passer par la suite. Connaissant Jun, ma première fois ne devrait pas tarder. Mais pas de ce fichu placard a balai. Ah ca non. Puis, je voudrais bien sortir de la... Cela va faire bientôt deux heures qu'on est enfermés la dedans. Les cours ont du recommencer... L'image que je dois donner au prof ne doit pas être positive sur le coup. Ils vont pensés quoi ? Que je sèche ? Alors que c'est des IMBECILES finit qui m'ont envoyés dans ce... CE TRUC A BALAIS ?! Ils mériteraient de mourir. Ce n'est VRAIMENT PAS MARRANT. A cette heure-ci, je devrais être en divination, ma matière préférée... Et a cause... A CAUSE D'EUX, je suis dans un placard. A balais. Avec Jun. Le seul truc positif, c'est Jun. Pour une fois... Alors que je me met a jouer avec une mèche de cheveux de Jun, j'attends une réaction, un geste, qu'il soit déplacer, ou non. Enfin, un signe de vie, une parole. Je sais pas moi ! Lui qui est si bavard, il pourrait dire quelque chose...
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeMar 2 Nov - 9:34

    Je rigolais, je plaisantais, je jouais la comédie. Mais je savais déjà que… ça n’allait pas marcher face à Matthew. Il me connaissait trop, et je le connaissais trop. Je venais de lui faire un coup basique : « je suis vexé ». Mais je savais déjà que c’était couru d’avance. Car au fond, il savait mieux que personne comment et pour quoi je me vexais. C’est bête pour moi. J’aurais bien aimé que ça fonctionne. Juste pour voir une mine inquiète se dessiner sur son visage. J’avais jouer à ce petit jeu durant une bonne minute, puis, je m’étais rapproché de Matthew, déposant un baiser sur ses lèvres, lui avouant que je plaisantais. Il me regardait, l’air de me dire « Tu croyais que je n’étais pas au courant ? Je te connais mieux que personne ! » Malheureusement pour moi. Si seulement on pouvait choisir la personne de notre choix, pour ensuite tomber amoureux d’elle. Je n’aurais certainement pas choisi Matthew pour tout vous dire. Tout simplement parce qu’il me connaissait trop. Et je pense sincèrement, qu’il pensait exactement la même chose. C’est tellement moins marrant, lorsqu’on se connaît trop. Enfin, je trouve. Moi, je connaissais aussi Matthew. Je savais qu’il n’était pas du genre à rester sur place, toujours à aller voir à droite, puis à gauche. En clair… il n’était pas fidèle. Mais bon… soyons clair, je ne pense pas l’être dans ce cas. Mais… s’il ose me faire un coup pareil… je… je ! Rahh ! Je ne sais même pas ce que je pourrais faire ! Si ça se trouve, je m’énerverais, je pleurerais, ou bien même, je me vexerais, et lui ferais la gueule durant un bon moment. Oui. Je suis jaloux. Oui, je suis possessif. Quel en est le problème. N’est-ce pas normal ? Apprécierez-vous que votre petit ami aille voir ailleurs… ? M’enfin. Pour ma part, non. Non seulement, ça me donnerait une impression de ne pas le satisfaire, mais également de ne servir à rien, être manipulé. Et voyez-vous… être manipulé, je déteste ça ! (Par contre… manipuler… c’est une autre histoire.)

    J’étais plongé dans mes pensées, affichant une mine tristounette rien qu’en pensant à tout ce qui pourrait se passer… plus tard. Le futur… moi qui l’adorait auparavant… je commençais à en avoir peur. Aujourd’hui, c’était la première fois que je me mis « officiellement » en couple. Parce que c’est également la première fois que je tiens une main, que je touche quelqu’un en ayant des sentiments. Et c’était… mieux. Avant, ça m’amusait, ça me plaisait. Et maintenant… je ressentais un plaisir plus excessif, mon cœur battait, c’était… comment dire… magique ? Superbe ? J’en deviendrais presque timide. Moi, Jun, l’homme qui n’a peur de rien (…à part de l’eau… et de m’exhiber…) MAIS CHUT ! J’ai peur de rien, vous n’avez rien lu DU TOUT, ok ?! Tss, où est-ce qu’elle va chercher ça, elle ? Moi, avoir peur de l’eau… c’est le comble du comble ! (vexééé…) …Certes ! Changeons de sujet. Je ne compte pas rester sur ce dernier pendant une heure ! Surtout que ça ne mènera strictement à rien. Et je suis très sérieux.
    Revenons donc au « présent »… ou, si vous voulez, en dehors de ma tête, de façon à ce qu’on voit ce qu’il se passe. Un sourire venait de se dessiner sur la bouille de Matthew. Rah… arrête de me sourire comme ça. Sinon… je sens que je ne vais plus te résister, comme je me devrais de faire. Enfin, il faut dire, c’est ce que je fais depuis tout à l’heure. Je sentis ses mains rejoindre mon dos, pour finalement s’enfouir en dessous de ma chemise. Ses mains étaient froides, provocant un léger frisson au contact de ses doigts sur ma peau frêle. Il était mignon. Il me disait qu’il n’allait pas me céder, mais qu’essayait-il de me faire là, au juste ? Ses mains se baladaient sous mon haut, je le laissais faire. Sur ce point, disons que j’étais plutôt docile. Enfin… seulement si c’était lui, et encore. En effectuant tout cela, il me regardait. Et moi, je plongeais mes yeux ambrés dans les siens, qui étaient d’une couleur tout aussi particulière que la mienne. Violets… ils étaient charmants… et très captivants. J’apercevais une petite lueur dans ces derniers. Est-ce que cela signifiait… qu’il était heureux ? Heureux d’être là, heureux de m’avoir ? Je l’ignore, mais en pensant cela, j’imagine que mes joues s’étaient certainement teintées. Je l’entendis ensuite me dire.

    « Tu sais pas me mentir, c'est bête hein... »

    En effet, c’était horriblement gênant. Et il le savait. Mphf… mais toi aussi, il faudrait t’y faire ! Tu sais qu’il est impossible pour toi également de me mentir ! Je te connais comme ma poche ! Tu n’es pas le seul ! Alors, toi aussi ! Vire-moi cet air fier ! J’affichais un petit sourire à cette réponse. J’hochais paisiblement la tête, comme pour lui avouer que c’était vrai, que je ne pouvais lui mentir. Que c’était impossible, trop difficile, et que je finirais par me faire avoir dans mon propre jeu. Et là… en effet, ce serait ballot. Alors bon. Evitons de lui mentir, soyons souvent sincère. N’est-ce pas une chose essentielle dans… dans un couple ? Il se rapproche de mon visage, m’embrasse. Un baiser doux, qui aurait le don de faire sortir mon cœur de ma poitrine. Quand je le voyais s’approcher, je ne restais pas de marbre. Il me tira ensuite vers lui, m’avouant une nouvelle chose, que je pensais depuis le début, mais que je ne penserais jamais qu’il sortirait un jour.

    « Hyaaa... Je t'aime... Tu sais très bien que dans tous les cas je céderais ! »

    Mon Dieu… résultat immédiat. Je devenais rouge. Mon Dieu ! Mon Dieu ! Il était fou ! Me faire ce coup-là, dans ce genre d’atmosphère ! Hyaaah ! Comment veut-il que je me calme maintenant ? Ce qu’il vient de m’avouer… ce n’est pas rien… C’est… c’est… énorme ! …Rahh ! Matthew… t’abuses là ! Il ramène ses mains à mon torse, puis descend doucement, finissant sa trajectoire à mes hanches. J’avais la sainte impression qu’il me cherchait, d’une certaine manière. Mais… d’un côté, ça m’étonnerait de lui, il n’est pas du tout comme ça, habituellement. Je me jette soudainement dans ses bras, passant ces derniers autour de lui, visage rougit de honte. Puis, je lui murmurais.

    « …Oui, je ne peux te mentir, et tu enfonces petit à petit un pieux dans mon cœur… Une mort lente… jusqu’où est-ce que ça va mener, Matthew ? …Si c’était une autre personne qui m’aurait dit ça… je lui aurais certainement sauté dessus. Mais là… c’est toi. Et toi, au lieu d’éveiller le lion qui est en moi, tu l’attendris, et joue de lui. C’est méchant… »

    Je pouffais un petit rire, comme à mon tour, attendrit par ce qu’il venait de me dire. Je relevais mon regard, que j’avais caché, offrant un sourire mi-ange mi-démon. On aurait pût croire que je me fichais totalement de lui. Mais en réalité… J’essayais de cacher derrière ce sourire insupportable, toute la gêne qui m’accablait. Jun, n’a pas le droit d’être submergé de la sorte ! Ah, ça non ! Mon petit Matthew, tu aimes jouer avec mes sentiments, n’est-ce pas ? Tout comme moi j’aime le faire. Tu es d’une certaine façon… similaire à ma personne. Ce qui est aussi bien que mal. Je ne savais même plus ce que je devais faire. La phrase qu’il m’avait dit, résonnait dans ma tête. Ça me rendait tellement… tellement… je ne sais même pas comment vous l’expliquer. Toute chose ? Ça me déstabilisait même. C’était… grave… l’Amour, c’est grave ? Un truc de fous. De tarés…

    « Je ne sais même plus si je dois me retenir ou pas… »

    C’était une question que je me posais presque à moi-même. Me retenir… ou ne pas me retenir ? Je commence à bisouter son cou, passant mes mains sous sa chemise avec une certaine impatience.

    « C’est difficile… »
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeMar 2 Nov - 10:31

    Ce n'était quand même pas rien ce que je venais de faire, non ? De me déclarer, encore une fois. C'est tout, sauf mon genre. Jamais je n'ai dit ca a quelqu'un, c'est la première fois... J'ai un peu honte d'être découvert ainsi. Jun ne devait pas connaître un Matthew aussi docile. Et, a vrai dire, je n'avais pas envie qu'il le connaisse. Nous avons toujours été deux durs, l'un face a l'autre, jamais vraiment gentil, ni vraiment méchant... Et là, il découvrait que j'avais un coeur. Qu'il n'était pas congelé, que ce n'était pas une pierre... Enfin, c'était tout nouveau pour moi aussi. J'ai toujours été habituer a n'aimer que ma petite personne, et les quelques membres de ma famille qu'il me reste. C'est une toute nouvelle sensation d'aimer... Une personne avec qui je n'ai aucun lien. Enfin, quoi que... Après tous ce qu'il s'est passé pendant huit ans, et le nombre de fois ou nous nous sommes croisés par hasard, et j'en passe, nous devons bien être lié. Mais je ne comprends pas bien, pourquoi lui ? C'est vrai, ce n'est pas la meilleure personne. Nous sommes la plus part du temps, deux rivales... Niveau caractère, nous sommes semblables, mais très différents en même temps.... On se connait tout deux par coeur, a force de s'observer comme deux proies. Je ne me serais jamais imaginer en couple avec une personne comme ca. Ce n'est pas... Mon idéal. Enfin, a la base, je n'ai pas d'idéal, car je me devais de n'aimer personne. Mais, si je devais avoir un idéal un véritable âme-soeur, je ne sais pas trop s'il ressemblerait a ca. A la base, Jun et moi ne nous supportons pas... Le destin est louche. Car malgré tout ca, je l'aime. J'ai réussi a tomber amoureux de lui comme un rien...Ca me dépasse, je me sens manipuler, misérable. J'assume maintenant, je sais que je l'aime, je pourrais le crier haut et fort, mais j'ai encore un peu du mal a me faire a l'idée, que c'est bel et bien lui. Lui, et pas un autre. Le destin est très bizarre, il joue avec nous. Mais j'aimerais lui dire a ce destin, que c'est la première personne et la dernière que j'aimerais sur cette terre. C'est compris ? Jun est le premier, et le dernier. Et si je dois me séparer de lui, je ne retomberais pas amoureux de quelqu'un. C'est lui, ou rien maintenant. C'est tout... D'un côté, j'ai beau vouloir étrangler les personnes qui nous ont enfermés la-dedans, mais... Je dois quand même les remercier. Si je n'était pas la dedans, je n'aurais pas encore comprit ce qu'est... Qu'aimer quelqu'un. Alors merci a ces quelques idiots qui ont eut l'idée de nous enfermer dans l'endroit ou dorment les balais. C'était pas malin comme blague, mais au moins, cela aura servit pour deux personnes, qui ne forme plus qu'un maintenant.

    Mais que vois-je ? Je deviens sérieux... Je ne l'ai bizarrement, jamais été. Toujours a tout prendre a la légère, voilà comme je suis. Et la, je parle, l'âme d'un poète. Sincèrement, je me trouve ridicule. Je suis pas fait pour être si sérieux... Mais, bon, la personne ne saura que je suis comme ca, je converse avec moi-même. Je rirais bien de moi là. Vraiment ! Je me trouve... Ahah. Il y a pas de mot en fait. Je suis submerger par ce sentiment appelé « Amour ». Ce mot qui a envoyer valser ma conquête a l'autre bout de la salle... En y repensant, cela peut-être marrant. Non ? Enfin, inutile d'en reparler. On a déjà fait le bilan... Hrm. Être sérieux, ca m'agace. Être sérieux, ca m'énerve ! Mh, tiens, j'ai une question qui me trotte, la. Est ce que j'arriverais... A manipuler Jun ? Ou est ce qu'il s'en rendrait compte ? Je ne sais pas si je me dois d'essayer... J'ai peur du résultat. Il serait capable de me quitter s'il sait que j'ai jouer de lui. Mais en même temps, vu comme il me connait, c'est un gros risque a prendre.... Il n'a peut-être jamais vu comment je manipulais quelqu'un ? Je peut essayer... Roh, Matthew, tu es malsain bon sang ! Arrête de penser a de la manipulation, Jun n'ai plus n'importe qui. C'est... Ton petit ami. Petit ami... Mon Dieu ! Ca sonne mal dans ma bouche, dans ma tête. Petit... Ami ! Pour petit, ca marche bien, Jun a facilement huit centimètre de moins. AHAH. Non, c'est pas marrant, j'ai pas a rire, il a huit centimètre de moins, sans doute, mais pour l'instant, c'est pas moi qui suit au dessus. Pfff... J'ai une autre question ! On va se montrer en publique ? Oui, je pense... A moins qu'il est honte de moi, ou je ne sais quoi... Je n'ose pas lui demander si l'ont va se montrer en publique. Je ne suis pas très agile en couple. J'ai toujours manipuler mes conquêtes pour que jamais nous nous montrions en publique, jamais il ne m'embrasse, ou jamais... Il ne se passe quoi que ce soit, a part des câlins, et quelques gestes d'affections. Je voulais que toutes ces choses de couple, ou les sentiments sont réciproques, je les garde pour quelqu'un que j'aimerais vraiment, réellement, comme maintenant. Même si dans ma tête, trouver l'idéal était impossible. Et la, j'ai trouver Jun... Et donc, ce sera une vraie découverte. C'est beau ce que je raconte, non ? Enfin, revenons a nos moutons, c'est lassant comment je parle. Jun est en train de devenir écarlate a cause de mes précédentes paroles. Je souris, l'air fier, a nouveau. AHAH. C'était adorable, trop mignon. Mes paroles s'accordaient parfaitement avec l'atmosphère présente. Mes mains étaient dans un endroit parfait... J'avais tout de même un peu peur, qu'il prenne ca en tant que provocation. Il ne fallait pas... Ce... Ce n'était pas ca ! Je le sens se faufiler dans mes bras, et ces derniers m'entourer par la même occasion... Et il me murmura.

    « …Oui, je ne peux te mentir, et tu enfonces petit à petit un pieux dans mon cœur… Une mort lente… jusqu’où est-ce que ça va mener, Matthew ? …Si c’était une autre personne qui m’aurait dit ça… je lui aurais certainement sauté dessus. Mais là… c’est toi. Et toi, au lieu d’éveiller le lion qui est en moi, tu l’attendris, et joue de lui. C’est méchant… »

    Oh. C'est... C'est... Je sais pas, mais c'est très fort ce qu'il vient de me dire. Mon coeur se serre. Sa voix me donne des frissons, puis il pouffe un petit rire, et relève la tête, toujours avec ce sourire. Encore, et toujours. Ce sourire ! Rah ! Il est vraiment mignon. J'échappe un rire a mon tour, essayant de cacher mes gêne. Mais mes joues pourpres me trahissaient, bien entendu. J'entends sortir de la bouche de Jun.

    « Je ne sais même plus si je dois me retenir ou pas… »

    ...Euh. Tel est ton désir, darling. Mais... Dans un placard a balais ? Ca t'excite, toi, les balais ? Non car, j'ai l'impression d'être observer par ces trucs moi. Ah, voilà mon côté passérieuxénervant qui reprend le dessus. Mais avant que je ne continue a raconter des conneries a mon subconscient, et a moi-même, Jun commença a me bisouter le cou. Prit par surprise, je lâcha un MINUSCULE gémissement. MINUSCULE. Putain. Vraiment. Bravo Matthew. C'est pire que pour un soumis que tu vas passer, la... Jun passa doucement ses mains chaudes et douces sous ma chemise avec... Avec une impatience qui se dégageait de lui.

    « C’est difficile… »

    ...Ca veut tout dire. C'est ou je le pousse maintenant, ou je subis a jamais. Bientôt, il est tellement dominant, qu'il va me promener en laisse... Bon, j'arrête l'exagération. Mais c'est ce que je ressens ! Je suis humilié a vie. Papa, maman, si vous me voyez, là, actuellement... Pardonnez moi ! Pour... Pour pleins de choses. Je suis une honte pour notre famille de dominantquidominelaplanèteentière. Snif... Snif. Que faire ? Ce n'était pas si désagréable après tout, mais... Mais.

    « Tu comptes me... me faire quoi exactement ? »

    Ma voix... Elle était faible, fragile. Comme jamais elle ne l'a jamais été. C'était quoi ce bordel ? L'amour a de sale effet sur la parfaite personne que je suis. J'avais une de ces peurs de faire ma première fois ! Je.. Je veux pas aller plus loin là ! Pas la dedans. Je suis réellement impuissant. La seule chose que je pouvais faire, c'était me manifester par la parole. Mon corps ? Il était paralysé, et se laissait totalement faire.

    « Jun ? A..Arrête s'il te plait. »

    Je parle pour rien. Je sais qu'il ne m'obéira pas, il continuera a sa guise, enlèvera les vêtements qu'il souhaite, et fera ce qu'il veut. Lui demander d'arrêter, c'est comme demander a un lion sauvage de s'asseoir comme un gentil toutou. C'est impossible.
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeMar 2 Nov - 11:59

    Se retenir… encore et encore. Je ne faisais que ça. Qui étais-je ? Où était donc passé le vrai Jun ? Le mec qui n’hésite jamais, qui fonce tout droit. Là… j’avais passé plus d’une heure à le taquiner, et par ailleurs, me taquiner également. C’était un jeu qui commençait, petit à petit, à me désespérer. Ou plutôt, m’exaspérer. J’avais l’impression d’être une poupée. Ce que… bien évidemment, je ne supporte pas. Jun n’est PAS un soumis. Ok ? C’est simple. C’est clair. Et c’est dit ! Je m’étais décidé, à ne plus le laisser me pousser. Enfin… entre autres. Je m’étais en quelques sortes, jeté sur lui, tel un lion affamé. Quoi que… c’était un peu plus tendre, doux que les fois précédentes. …Pas avec Matthew bien évidemment. Avec mes « ex » si on peut les voir ainsi, puisque je ne les aimais pas spécialement. (Wow… pour qui il se fait passer là, mon petit Jun ? Un beau salop.) Je commençais à lui bisouter le cou, d’une manière toute aussi sensuelle que les précédentes. Calme-toi Jun… ne soit pas impatient… (Même si on sait que c’est tout toi…) Et là… à mon plus grand et heureux étonnement. J’entendis… un gémissement sortir de la gorge de Matthew. Déjà ? Il était si sensible ? C’était adorable… Ahh ! Qu’il arrête de plus me tenter ! S’il ne veut pas… le faire. Enfin ! …Je n’ai pas dit que je voulais spécialement le faire ! …Euh… oula… je me contredis. Plus rien ne va. Je suis… rah ! Zut et rezut ! Tu n’as plus le temps de réfléchir Jun. Action ! Action ! (…oui, oui.) Je passais directement mes mains blanches et chaudes en dessous de sa chemise. J’aimais le toucher… j’aimais les contacts… et ce avec tout le monde. Mais avec lui… c’était presque à la limite du rêve. Je me demande encore, comment j’avais bien pût faire… pour ne pas avoir été attiré plus tôt. Ce n’était que maintenant, que je remarquais qu’il était important, essentiel, pas comme les autres… enfin ! C’était MATTHEW. Pas n’importe qui. Il avait réussi à se coltiner une place dans mon cœur. Et pas qu’une petite. Une importante… très importante. C’était dur à avouer. Dur à supporter. Mais c’était pourtant la stricte vérité.

    Mon jeune ami… tellement tendre, si sensible… tu me donnes envie. Je te touche, tu réagis, ça m’excite. C’est pourtant simple. Je caressais sa peau, remontant peu à peu. Je le regardais, il était rouge. Ohh, Matthew… Quel beau portrait tu viens de me peindre. Doux… et sexy… adorablement sexy. Je rougis à la vue de ce magnifique paysage. Il ne m’était pas insensible, et je ne l’étais probablement pas pour lui. Et j’avais de multiples preuves. Le connaissant, s’il n’aurait pas « voulu » que je l’approche, il m’aurait déjà repoussé depuis longtemps. Repoussé, et poussé. La même chose. Et puis… il m’avait répété deux fois qu’il m’aimait. Et moi… qu’une fois. Je trouvais cela adorable. Moi, je l’ignore, peut-être serais-je incapable de lui dire une seconde fois. Mais bon… je l’ai prévenu. J’avais déjà trouvé difficile le fait de lui avouer. Vous savez, notre amour-propre en prend un grand coup. Et ce… même si je suis le deuxième à m’être déclaré. Ayant un caractère comme le mien, c’est très difficile, et ça, j’en suis conscient. Je regarde Matthew, se soumettre petit à petit devant moi. Ahh ! C’est beau, la puissance. La rivalité qui nous tient se baissait peu à peu. Il commençait enfin à s’avouer vaincu. J’étais le meilleur à ce jeu-là. Et malgré les quelques centimètres qui nous séparaient… NON ! Je ne suis pas petit ! Ok ! Je suis d’une taille tout à fait respectable ! Un mètre soixante-douze, c’est NORMAL ! Ok ?! Rah ! J’en ai marre qu’on tire profit de ma taille pour gâcher mon image de grand dominateur. Un jour vous comprendrez. Oh oui, vous comprendrez tous, qui est véritablement Jun. Et ce jour-là ! Vous tremblerez ! HAHAHA ! … Bon allé Jun, retourne te coucher. Tu as fait et dit assez de conneries pour aujourd’hui. J’entendis ensuite Matthew m’adresser la parole, avec le peu de ressources qui lui restait… Aww…

    « Tu comptes me... me faire quoi exactement ? »

    Ohhh, mon chéri. Cette voix dont tu venais de me faire part… c’était… mignon, adorable, sexy… tout ce que tu veux, mais personne n’aurait pût l’égaler. C’était tellement faible… tellement… Crois-moi Matthew… tu n’as jamais été autant parfait que maintenant, à mes yeux. Je commence même à en être jaloux. Mais… t’en rendais-tu compte ? Le faisais-tu exprès ? Ohh, cela m’étonnerait. Le Matthew que je connaissais si bien ne se serait jamais laissé faire. Et c’est ça que j’aimais… le voir comme ça, face à moi… et SEULEMENT face à moi. Je ne veux que personne d’autre ne voie ça. Cette image m’appartient, cette réalité également. Je le capturerais, il serait mien, à jamais. Ce que je comptais faire… Telle était la question, moi-même je me le demande. J’avais beau avoir les idées mal placées, je n’en avais pas encore une idée concrète. Je le regardais, sourire narquois aux lèvres. Puis, je finis par lui répondre, avec une fierté dissimulée derrière une douceur indétrônable.

    « Te faire… ? C’est une bonne question. Si je te demandais ton avis, tu ne serais probablement pas d’accord. Alors… je ne te dirais rien… »

    Son corps était paralysé, je le domptais, il m’obéissait en quelques sortes. Je lui souriais, gardant moi aussi, une part de mystère. Il ne me disait pas non, théoriquement. Enfin… je parle de son corps. Après… par la parole, c’est autre chose. Vraiment.

    « Jun ? A..Arrête s'il te plait. »

    C’était comme si les deux parties se contredisaient, se disputaient. Avait-il peur ? …Pourquoi est-ce que ça ne m’étonnerait pas. Je commençais à lui pincer doucement la peau, le regardant subir. Il était mignon, c’était mon Matthew, je l’aimais comme ça. Tellement impuissant. Je finis par détacher entièrement sa chemise. Chose que je n’avais pas faite précédemment. J’admirais son corps, son torse. Qu’il avait refusé de me montrer tout à l’heure, me le prouvant en rattachant les boutons que j’avais défais, et aussi en me repoussant. Je commençais à taquiner toute la partie découverte, de mes doigts fins et expérimentés. Son corps… je le voulais, ça, c’était certain. Je voulais laisser une marque d’appartenance. Montrer qu’il est à moi, qu’il y a écrit JUN. Et ce, même si Matthew part flirter de gauche à droite. Je veux… je désire… j’ordonne ! Je VEUX qu’il soit à moi. Quoi que… il l’est déjà. Regardez comment il se comporte lorsque je le touche, c’est évident… Mais bon… ces quelques mots résonnaient dans ma tête. « Arrête » « s’il te plait ». Hum… il n’était peut-être pas prêt. Et c’était ce qu’il me gênait. Je laissais tomber mes mains, telles de vulgaires ficelles, tournant ma tête, joue droite bombée, regard posé sur l’un des balais.

    « Arrêter ? …Je vois… Si ça ne te plait pas, tu peux me le dire… dans ce cas, j’arrêterais… même si… »

    Je détournais mon regard du balai, le reposant sur Matthew, je souriais niaisement, approchant mon index de son torse, dessinant lentement un cœur.

    « Ton cœur et ton corps ne me disent pas d’arrêter… »
Revenir en haut Aller en bas
Matthew Lewis
Matthew Lewis
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeMar 2 Nov - 13:27

    Le sort de ce placard a balais ne prendra jamais fin, c'est ca ? Quel tête ferait un prof s'il l'ouvrait a coup de baguette magique et découvrait... Ca ? On risque de se faire coller, d'aller voir le proviseur, je sais pas moi ! C'est grave. En plus, ils vont croire qu'on s'est enfermés la dedans, alors qu'on attends patiemment qu'un sort ne se dissipe. Rah ! Je m'imagine une tonnes de possibilité. Quand cette porte va s'ouvrir ? Je parie qu'elle a des yeux. Tout comme les balais ! Et qu'ils nous observent, je les entends rire ! Coucouche panier Matthew... Je deviens paranoïaque. Mais c'est l'impression que j'ai. Vraiment ! En plus, le plancher n'est vraiment pas confortable, je préférerais même des toilettes. Le mieux quand même, c'est un lit hein. Non car la, j'ai un peu mal partout, dos contre le placard, assis sur le plancher dur comme de la pierre, et froid en plus ! La pièce est gelé, ce n'est pas a la hauteur de l'établissement ! … Bon en même temps, c'est un placard hein. Je vois pas pourquoi je m'attends a du luxe. Mais quand même, il pourrait mieux être entretenue. J'ai vue, brièvement, des toiles d'araignées au plafond ! Je déteste ces insectes. J'en ai peur. Bon, chut. Je déteste les insectes, c'est ma plus grande phobie je pense. J'ai du mal a la contrôler, je sors a tout le monde que j'y suis allergique. C'est complètement absurde, mais ils me croient. Tous, sans exceptions ! C'est ca qui est bon. Bon, aller, on s'en fiche de mes phobies après tout, non ? Je suis pas trop la pour expliquer ca. Mais c'est un secret, d'accord ?... Hey. Mas imaginer un peu ! Si une araignée, me tombe dessus. Déjà, je hurle. Après, ce sera la honte... Et... Roh. Puis pourquoi je vous en parle ? C'est pas vos affaires ! J'ai peur de ce que j'ai peur. Mais entre nous, je préfère que tout le monde pense que je n'ai peur de rien. Mon image est déjà assez abîmée rien qu'en me voyant soumis a Jun, alors, si quelqu'un vient a savoir cette phobie, je n'ai plus qu'a me pendre. Je n'ai rien a perdre de toute façon, et la mort, je n'en ai pas peur... Qu'est ce que je raconte ? J'ai que dix sept ans, je vais pas mourir ! Et encore moins me pendre !... Je suis sacrément contradictoire en ce moment quand même. Non ? C'est a cause de Jun ca. Tout est sa faute ! Si j'en suis la, c'est aussi sa faute ! Et c'est même a cause de ses fréquentations qu'on se retrouve la dedans ! Décidément, il fait rien de bien aujourd'hui hein !

    Enfin... rien de bien. J'exagère un peu. Je suis complètement perturber par sa faute... VOUS VOYEZ ! C'est encore SA FAUTE. Pfff. La honte, vous imaginez ? Un peu plus de six ans de rivalité, et la, je déclare forfait. Il est plus fort a ce jeu la que moi ! Après tout, pour Jun, dominer est une passion. Pas forcément pour moi... Je ne suis pas un accro de la domination. Mais j'ai tout de même toujours dominer dans mes couples ! Enfin. Mes « faux-couples ». Mais peu importe. C'était moi le dominant !... Donc. DONC voilà. Il n'a aucune raison de se sentir aussi fier, car il est au dessus de moi, et parce que je suis paralysé sous la vue de ses intentions. Enfin, a sa place, je serais comme ca aussi... MAIS ON S'EN FOU ! On s'en fou... On s'en fou. On s'en fiche !... BOUHOUHOUHOUHOU ! J'ai... J'ai déclarer forfait quoi ! Je suis soumis a un, c'est le combien du comble mes amis. Je venais de perdre une petite bataille la. Donnez moi un gun ! Un GUN ! Je ne voyais pas cela... Comme ca. Je ne pensais pas que c'était si grave. Mais ca l'est ! C'est grave ! Je...Je l'aime. C'est vraiment grave l'amour, c'est pire qu'une drogue, c'est... Ca rend complètement fou. Je sais même plus ce que je dis ! Hallucinant quoi. Revenons-en au fait. Jun... Jun va parler, je crois bien.

    « Te faire… ? C’est une bonne question. Si je te demandais ton avis, tu ne serais probablement pas d’accord. Alors… je ne te dirais rien… »

    Bingo, il a parler. Et, il a raison. Je serais probablement, pas d'accord. Mais je veux savoir quand même ! Je suis curieux ! Qu'est ce qu'il a dans la tête a la fin ? Ca me donne envie de savoir. Mais pour savoir, il va falloir que je subisse, et la, c'est une grande hésitation qui s'offre a moi. Je lui dis...Enfin, je gémis, plutôt. Que je voudrais qu'il arrête. Je lui dis même, d'une voix faiblarde « s'il te plait » comme si j'en souffrais énormément. Mais, il n'en prit pas vraiment compte, que je le pensais. Il détacha ma chemise, entièrement, j'avais un peu froid, mais je resta silencieux. Tous mes boutons de chemise étaient défait. Tous, sans exception. Il avait une vue entière sur mon torse, c'était plaisant. Pour lui, je souligne. Moi, j'étais gêné, je le laissais faire, il aventurait ses mains, expérimentés,je présume... Rrah. Je bouillonne en pensant a ca. Quel corps a bien-t-il pu toucher ? Ca me consterne ! Vraiment. Rien qu'en y pensant, mon coeur se brise. Je l'aimais tellement ? Il faut croire. Jun me titilla un peu, puis s'arrêta, laissant tomber ses mains... Qu'est ce qui lui prenait au juste ? Il tourna la tête vers les balais, joues légèrement gonfler, air râleur, pour pas changer...

    « Arrêter ? …Je vois… Si ça ne te plait pas, tu peux me le dire… dans ce cas, j’arrêterais… même si… »

    Son regard se reposa sur moi, et mes prunelles violettes regardèrent attentivement le geste qu'il faisait. Son index s'approcha de mon torse, et il y dessina,lentement, en me chatouillant un peu... un coeur. Puis dit.

    « Ton cœur et ton corps ne me disent pas d’arrêter… »

    Hyaaa... Il me fait craquer. Une fois son coeur lentement terminé, je me redressa un peu, puis approcha mon visage du sien, effleura ses lèvres, puis les posa sur sa joue toute chaude, et légèrement colorer d'une couleur rougeâtre. J'enchainais avec un grand sourire, des petits yeux pétillants, et une voix provocante, malgré moi.

    « Je n'ai pas dit que ça ne me plaisait pas ! Bien au contraire. Mais, je suis un peu hésitant… »

    Mon visage s'approcha a nouveau du sien, mais cette fois, je ne l'embrassa pas, mais lui lécha les lèvres, puis recula un peu. Sourire angélique, air innocent... C'était... De la provocation. Mais... Je n'avais pas pu m'en empêcher... Oh. Shit. C'était pas DU TOUT une bonne idée. DU TOUT DU TOUT DU TOUT. Jun me lance un regard... Un regard ! Vous savez, ce regard qu'il me jette depuis tout a l'heure. Mais ne fait rien, enfin, pas encore. Je souffle un peu, toujours souriant, profite de ce moment ou Jun ne parle pas, et ne fait encore rien... Pour lui piquer sa casquette. C'était aussi de la provocation, mais pas dans le même sens. Je la jeta a l'autre bout du placard, perché sur un carton ou deux. Ce geste me démangeait depuis un long moment, et j'avais enfin réussit a l'exécuter sans que Jun ne m'en empêche. Je termina mes (petits) actes, courts, certes, par une phrase.

    « Tu es aussi super mignon sans ta jolie casquette, tu sais. »
Revenir en haut Aller en bas
Jun McStree
Jun McStree
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitimeMer 3 Nov - 1:11

    Je m’étais reculé, après m’être légèrement amusé. Disons que je ne pouvais continuer alors qu’il m’avait demandé d’arrêter. J’aurais été mal, je le savais. Mais ce, seulement parce que c’est lui. D’un petit côté, peut-être que je lui étais soumis. …Rien que d’UN petit côté. Ok ?! J’y crois pas. Oulala… non non ! Je ne veux PAS. C’est pourtant simple. Alors pourquoi je me raconte ce genre de choses, maintenant ? …Je ne vais décidément… pas bien. Je deviens taré. Comme je dirais en anglais « I won’t change my mind ». Hop ! Donc… VOILA ! (ne cherches pas plus loin, il essaye de s’auto-convaincre, il est comme ça, notre petit Jun.) Je ne suis PAS petit ! Je venais d’avouer à Matthew ce que je pensais, qu’entre autres, si ça ne lui plaisait pas, si ça le gênait, je n’allais pas continuer. Même si… pour moi, c’était clair, au fond de lui, il ne semblait pas vouloir me dire non. Je traçais doucement un cœur sur son torse, le chatouillant certainement au passage. Dans ce cœur, toute mon affection, toute ma douceur lui avait été offerte. Ce dessin était en quelques sortes… important. Je le regardais intensément, Grand sourire aux lèvres. Avait-il compris ? Certainement… je ne doutais plus de lui. Enfin… il faut dire, je n’ai jamais vraiment douté de sa personne. Même si j’évitais le plus souvent de lui faire confiance.

    Je venais de finir le grand cœur. Fier de mon œuvre, je le vis doucement se relever, se rapprocher de mon visage. Mes paroles l’avaient certainement atteintes. Et c’était que j’attendais. Pas plus, ni moins. Ça me suffisait. Il m’effleura les lèvres, je rougis de plaisir. Puis, il posa par la suite ses lèvres sur ma joue, pour finalement me regarder, avec des étoiles dans les yeux. Raah. Trop ADORABLE. Jun tout de même… je ne te savais pas aussi fort pour résister à la tentation. Tu m’étonneras toujours. A la vue de son agréable sourire, je sentis mon cœur faire un bond. Par pur réflexe, je portais à ce dernier ma main blanche. Rahh… ça me fait mal… c’est… terrible… je froisse ma chemise de ma main, plutôt irrité par le fait qu’il ne veuille point en faire plus. Je le regardais tout de même tout sourire, sentant cette pointe de désespoir au fond de mon cœur. Jamais… je n’eus autant mal, je le confirme. En fait… je n’ai jamais eut mal, c’est tout. Bon… à part quand je perdais ma sœur… mais ! Ce n’est PAS la même chose ! Les deux sentiments sont très différents ! L’un est de la pure protection, un lien familial dont l’on ne peut se détacher ! Et… et l’autre… c’est… de l’Amour. Et… ce n’est donc… pas la même chose. Je me sentis rougir, confrontant ces deux idées. Allé Jun, sort de tes pensées… ce n’est pas le moment. Matthew est en train de te parler, et je ne te vois pas lui demander de répéter ce qu’il venait de dire. Soit sérieux, attentif, comme tu l’as toujours été.

    « Je n'ai pas dit que ça ne me plaisait pas ! Bien au contraire. Mais, je suis un peu hésitant… »

    Bien… bien au contraire ? Mes joues se teintèrent un peu plus. Si ça avait été quelqu’un d’autre, je me serais certainement mis à rire, lui avouant que c’était parfaitement normal, me vantant de mon expérimentation. Mais là… je n’en avais pas spécialement envie. C’était comme si… ça me faisait énormément plaisir, qu’il me dise ça. Enfin… voilà. Et je n’avais pas envie de lui parler de mes anciennes conquêtes, en réalité, pour le moment, il n’y avait que LUI qui m’importait. Alors, je ne voyais pas l’utilité de ramener « les autres » sur le tapis. Ça ne servirait strictement à rien, à part peut-être à voir la tête qu’il me tirerait, étant jaloux. Mais je n’ai pas envie de gâcher l’ambiance. Nous avions mis tellement de temps à la forger, ce serait débile de ma part de tout faire sauter par une seule phrase. (Même si… je l’avoue, c’est vraiment tentant.) Il était donc hésitant… je m’en doutais. Une mine déçue s’afficha sur mon visage. Mais j’étais curieux. Curieux de savoir ce qui le gênait. Le pourquoi il hésitait. Alors que pour moi… c’était quelque chose de tout à fait normal. (…Jun, au panier ! Vite ! ) Je lui lançais donc un regard intéressé, et à la fois déçu, ne pouvant me résigner à l’idée de lui demander.

    « Hésitant… ? Puis-je savoir ce qui te fait hésiter… ? »

    J’espérais simplement qu’il n’allait pas mal le prendre. C’était juste une question, pour que je sois un peu plus renseigné. Enfin… c’était quelque chose de normal quoi… Il rapprocha une nouvelle fois son visage du mien, je crûs sur le moment qu’il allait une nouvelle fois m’embrasser. Mais… non. Il… il… il me lécha les lèvres ! OMG ! Il y avait finalement… tant de choses que j’ignorais de lui. Tant de choses que je ne l’aurais jamais imaginé faire. Comme… ça. Je rougis un instant, le laissant faire ce qu’il désirait. Je le vis se relever, un air innocent collé à la peau. Provocation ! Encore…on se cherchait, je le trouvais, il me repoussait. C’était un train, quelque chose de long, qui ne se terminera jamais. Une routine parfaite. Je répondais à sa provocation, grand sourire aux lèvres, lui lançant à mon tour un regard bien expressif. Jun… tu es un démon… un démon sous le minois d’un ange. Un hypocrite, un menteur. Oui, je l’étais. Je l’assume. Je le vis bien. De toutes façons, on ne peut que finir par s’accepter. Hum… ? Attendez… qu’est-ce qu’il fait là ?! Ma… ma casquette ! Non ! Matthew ! Je ne plaisante pas avec ça ! S’il te plait, ne me l’enlève pas, ne me regarde pas alors que je me sens aussi impuissant sans celle-ci. Je le regarde, mains sur la tête. Visage rouge.

    « Ma…Matthew ! Rends-moi ma casquette ! Je… »

    Impuissant, c’était bien le mot, je le reculais de sa personne. Lui tendant mes mains, afin qu’il puisse me la rendre. Mais… au lieu de faire ça, il la lança à l’autre bout du placard. Je… je ne me sentais pas bien. Je baissais doucement mes mains, découvrant mon visage… rouge, rongé par la gêne. …Il ! Il n’avait pas le droit ! Pas le droit de me faire ça !

    « Tu es aussi super mignon sans ta jolie casquette, tu sais. »

    Mignon ? Sans ma casquette ! HAHA ! Non. Je ne crois pas. Tu rigoles j’espère ?! T’as vu la tête que je tire sans elle ? Je suis… perdu. Je me rapproche soudainement de lui, visage rougissant, ne sachant plus spécialement ce que je faisais, puis, je lui avouais, voix tremblante, ce qui était… TRES étrange chez moi.

    « Je… Tu… Ma casquette ! Je… je suis pas du tout mignon sans ! »

    Sourcils froncés et forcés. Je ne savais qu’en dire, quoi rajouter. Raaah ! Personne n’avait jamais osé me l’enlever. Peu m’importait où j’allais, j’avais toujours un truc sur ma tête. A part lorsque je vais me coucher. C’est bien le seul moment où je l’enlevais. Mais j’étais caché de tout le monde, du coup, ça ne me dérangeait pas. Mais là… je ne pouvais me montrer comme ça face à lui… face à Matthew ! Ma casquette, je dois… la reprendre ! Sinon je sens que… ça va mal finir. Pour moi je veux dire.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Vide
MessageSujet: Re: Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Enfermés dans le placard.... MAIS LOL. [Pv Matthew]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Matthew Lewis } Finished ♥
» ♣ Lewis Matthew } Relationship
» Livres poussiéreux (Pv Matthew)
» (( Willem )) Un moment dans le Parc
» Errance dans les cachots [Libre]
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Swelty, école de magie ::  :: Rez-de-Chaussée :: Placard à balais-