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 Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus]

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Sarevok Eirswatsein
Sarevok Eirswatsein
Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Vide
MessageSujet: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeMer 17 Nov - 5:41

La journée avait était plutôt bien entamée. Le matin les élèves c’était levé pour commencer une nouvelle journée de cour au sein de Swelty. Sarevok c’était levé ce jour là avec la ferme intention de crée un nouveau maléfice ou plutôt mettre en pratique un maléfice qu’il avait imaginer sur un niveau théorique.

Il avait d’abord du allez en cours des défense contres les forces du mal. Il y était aller avec son meilleur ami Grey Nox, pour eu la majorité des cours de septième année était du déjà vue surtout ceux du premier trimestre. Donc c’était plus par plaisir qu’ils y allaient que par nécessité. Pendant le cours Sarevok essayer de voir quel mouvement il pourrait effectuer avec sa baguette pour son nouveau sortilège, il lui fallait quelque chose de simple qui finirai dans un geste brusque significatif de force. Oui son nouveau sort qu’il tenter de mettre au point était plutôt du genre dangereux. Il consistait à transpercer l’ennemie d’un flux magique puissant afin d’infliger un maximum de dégât, donc un sort qui pourrait éventuellement être mortel surtout si on visait mal ou dans le cas de Sarevok si on compter justement visé à des endroit mortel. Le sort n’était pas fait pour être à effet immédiat mais plutôt pour faire lentement souffrir, laissant un laps de temps d’environ 5 à 7 minutes avant une mort définitive si l’on visait un point vital, sinon crée une belle hémorragie si l’on visait un endroit non mortel. Grey avait déjà pu le voir à l’œuvre pendant la guerre civil et savait que ses sorts si il aboutissait… et bien disons qu’il savait à quel point il n’était pas fait pour être des sorts sympathique ou l’on se permet de cueillir les pâquerettes quand on les reçois.

Une fois le cour fini il avait un petit trou car c’était une matière optionnels ou l’on était pas obliger de se présenter pour chaque leçon. Donc Sarevok alla dans un coin de la grande salle où il inscrivit dans son journal le mouvement qu’il avait trouvé pour son sortilège. Il lui fallait un nom…


*Hum je me demande bien comment je pourrais le nommé ! Si je trouve pas sûrement que le nom viendra de lui-même pendant que je l’essayerai…*

Oui il essayer tous ses sorts pour être sur de leur efficacité et avant toutes chose pour s’assurer de leur fonctionnement histoires que si il veuille en utiliser celui-ci ne fonctionne pas. Il serait effectivement fâcheux que lors d’un combat ou d’un duel il lance des sorts au final inutilisables. Il en avait testé sur des adversaires pendant la guerre civile. Pour ceux qu’il ferait au cours de l’année il les essayerait en sortant de Swelty.
Il parcourait alors les couloirs se rendant à son cours suivant de la matinée… Les potions c’était bien s’en l’être, il avait toujours était d’un avis mitigé au sujet de ce cours, car il y en avait des inutiles comme des vraiment utiles. Alors dans ce cours il se contentait d’être au niveau requis pour l’obtention du diplôme à la fin de l’année. Un des avantages du redoublement c’est qu’on avait moins de travail à fournir pour être un élèves compétent et avoir un bon niveau.
Après le cours il était l’heure du repas, il alla donc dans la grande salle. Il rejoignit Grey et ils ressassèrent le passé surtout une anecdote en particulier. L’année précédente ils c’était amuser à s’introduire dans les cuisines de l’ancienne école. Usant de ruse et de mesquinerie il avait subtiliser les repas avant qu’ils arrivent sur les tables de la grande salle, les envoyant loin du château et ne gardant que ce dont ils avaient besoin pour manger…Comme il y avait toujours quelques retardateur ils avaient pu arriver de façon non suspecte dans la grande salle et s’amuser de voir tout le monde mécontent de ne pas avoir de quoi manger. Surtout qu’ils y avaient l’après-midi de cours à faire et l’estomac vide ce n’est pas très plaisant. Ils avaient aussi joué les énervés pour ne pas être soupçonné. Un bon souvenir qu’ils se rappelèrent joyeusement pendant le repas. Une fois fini il restait un peu de temps libre avant de devoir reprendre les cours. Sarevok alla donc seul au parc car quand il raté ses tests il ne savait jamais les effets que ses maléfices raté pourraient avoir et il ne voulait pas blessé Grey.
Il était au bord de l’étang, la pluie commencer à tomber.


*Parfait sa évitera d’être vue par des curieux incompétent et ignare qui ne comprendrai de toute manière rien à ce que je fait !*

Il commença donc à s’entraîner à faire les mouvement qu’il c’était imaginé pour son maléfice, en début de matinée pendant le cours de Défense Contre les Forces du Mal. Le mouvement était des plus simple. Pointer la baguette magique vers le sol, ramener sa main au-dessus de son épaule du côté contraire à celui de la main utilisatrice de la baguette tout en longeant son torse puis envoyer la main droit devant baguette pointée vers l’endroit ciblé le bras droit en finalisant ainsi l’on devais le faire de façon rapide et violente.
Tout en s’exerçant il pensée au nom qu’il pourrait donné.


*Transpecto ! Exoctus ! …*

Il essayait de rester dans une recherche purement pensé mais trop prit dans sa réflexion il ne s’entendit pas murmurer les noms qu’il penser. Et même un murmure suffi à déclancher un sortilège, imaginer quand dans un seul geste vous en sortez plusieurs. La réaction est assez fulgurante.

« Fulgorato ! Vitalum ! Mortis ! Transprectum !... »

Du bout de la baguette jaillit une couleur verdâtre qui sembla être de la fumée puis cela se matérialisa en plusieurs piques qui explosèrent et en projetèrent plusieurs autres un peu partout et malgré sa rapidité à réagir !

« Protégo ! »

Malgré la vitesse à la quel il avait lancer le sort de protection il avait déjà était touché un peu partout et il s’écroula au sol. En tournant mal le sort c’était transformer en une explosion projetant des aiguilles empoisonnées magique. Certes pas mortel mais à resté plonger dans un coma temps que l’on avait pas retirer toute trace du poison. Un bon personnel médical le verra assez vite, le retrait du poison prend du temps mais c’était assez simple.
Un surveillant qui faisait le tour du parc pour s’assurer que tous les élèves étaient en cours trouva Sarevok environ trois minutes après son accident. Il était en sang plein d’aiguille dans le corps et inconscient. Le surveillant le porta et l’amena direction l’infirmerie.
A l’infirmerie le surveillant frappa deux fois sur la porte et entra affolé.


« Monsieur Sylfean j’ai trouvé cet élèves près de l’étang ! Je l’ai trouvé couvert de sang et parsemé d’aiguille suspecte ! J’ai donc préféré vous l’amené comme je l’ai trouvé ne sachant pas trop quoi en pensé !»

Il portait un élèves d’environ 1m90 mince, les cheveux coloré en orange et taché de sang, habiller d’un haut de kimono noir, un tee-shirt imprimé comme si c’était des bandages, un jeans noir et une cape mauve, donc un Nasteen, de plus il avait une quadruple cicatrice… Sans aucun doute une griffure d’une créature magique… Sur la partie gauche de son visage, cicatrices moyennement profonde et assez large. Mais sortit de ses détails très flagrant il était couvert de sang et d’aiguille entouré d’un liquide verdâtre qui sembler couler et s’insinuer dans le corps de l’élève.
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Amadeus Liv Sylfean
Amadeus Liv Sylfean
InfirmierInfirmier
Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Vide
MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeMer 17 Nov - 8:55

Quelle journée épuisante que celle-ci ! Amadeus courrait partout depuis ce matin. A croire que les satanés élèves avaient mijoté un plan diabolique pour faire mourir de fatigue le pauvre infirmier. Il était passé douze élèves depuis le début de la matinée, dont quatre en même temps. Voyez-vous donc le travail ardu que l'on imposait au pathétique Amadeus. Enfin sonna quatre heure, heure de repos. Et du goûter. Les derniers enfants qui souffraient d'un léger mal de gorge _ étonnant les amis, nous sommes en automne, le rhume rode ces temps-ci ! _ ou d'un nez qui coule s'en allèrent en trainant des pieds, reniflant au passage, tout en saluant et remerciant leur guérisseur. C'était assez jouissif de savoir que sans lui, les petits seraient perdu. Mais fatiguant. Le métier de super héros était épuisant, Amadeus s'en rendait bien compte.
Après avoir adressé l'ultime signe de tête, le jeune homme se laissa choir sur une chaise. Soupir. Soupir. Gros soupir. Il avait adopté la posture du gars las. Les fesses bien avachies sur le siège, les jambes paraissaient démembrées, les bras longeait les côtés de la chaise et la tête était tombée en arrière sur le dossier. Ses cheveux formait un rideau de velours. Ses yeux pâles observaient le plafond blanc. La bouche légèrement ouverte lui permit de murmurer quelques mots.

« Mon dieu qu'on est bien, seul, reposant.. Sieste. Repos. Plaisant. »

Nouveau soupir de bonheur. Qui tendit ses lèvres en un vague sourire. Je dis vague car dans cette position, il était assez difficile de former quelque chose ressemblant à un sourire. C'était plutôt une grimace étirée qui se voulait souriante si vous voulez mon avis. Quoi qu'il en soit, le silence se faisait entendre, laissant les oreilles d'Amadeus respirer. En fait, le vacarme qui avait régné dans l'infirmerie depuis ce matin, incessant, résonnait encore au fin fond des oreilles de garçon. C'était comme un bourdonnement lointain, mais bien présent et qui heurtait le calme dans le crâne d'Amadeus. Il se releva donc, énervé de ne pas réussir à trouver la paix intérieure en ce moment qui le nécessitait tant. Il mit ses mains sur ses oreilles. Rien ne changea. Il appuya encore plus fort. Il crut que le son passait. Alors, pour ne pas perdre le silence, il se déplaça très lentement vers le lit le plus proche. Un pied devant l'autre, en douceur. Il dut mettre une dizaine de minutes pour faire sept mètres, veillant à le pas bouger le moindre muscle de ses mains. Il s'assit sur le matelas moelleux _ il s'assurait lui-même du confort de ces lits. Et là.

TOC TOC.
Deux énormes coups à la porte, faisant sursauter Amadeus. Il glissa du lit, n'ayant pu poser que délicatement une fesse. Il se rattrapa comme il put au lit, s'appuyant sur ses jambes aussi tôt que possible. Il grogna. Son moment de répit, à peine commencé, prenait déjà fin. Oui, FIN. Combien de temps il avait pu se reposer ? Si on enlève les longues minutes de marche qui étaient très intenses, si on omet les instants sur la première chaise où ses oreilles sifflaient, cela fait... Deux minutes et trente huit secondes. GENIAL.
Une voix s'éleva dans l'air, traversant la porte, frôlant les oreilles meurtris d'Amadeus. Il reconnut le son vocal d'un sordide surveillant. Ce qui l'étonna. Aucun membre du personnel ne venait jamais le déranger pendant ses heures de travail. Sauf Aaron, mais lui était une exception. Il aimait venir déranger l'infirmier en plein travail alors qu'il se la coulait douce. Il se moquait gentiment de lui et le provoquait souvent. Amadeus s'amusait de ça, et il aimait les visites de son ami. Mais là, la voix n'annonçait pas les blagues stupides du psychologue. Que lui voulait-on ..? Il tendit l'oreille, toujours dans cette position stupide, à demi sur le lit, à demi écroulé.

« Monsieur Sylfean, j'ai trouvé cet élève près de l’étang ! Je l’ai trouvé couvert de sang et parsemé d’aiguilles suspectes ! J’ai donc préféré vous l’amener comme je l’ai trouvé ne sachant pas trop quoi en penser ! »

Oh non, encore du boulot. La vie n'était pas facile. Amadeus soupira encore. Il devait en être à son cent sixième soupir de la journée. Il reprit son équilibre pour faire plus professionnel et lissa sa blouse blanche. Ses mésaventures précédentes avaient froissé ses vêtements. Il remit aussi ses cheveux en place, passant rapidement ses deux mains dedans, les passant derrière ses oreilles. Il sortit de sa poche sa jolie baguette vermillon et ouvrit la porte grâce à un sort enfantin. Un once de malheur dans la voix, il répondit :

« Bien bien, laissez-le moi, j'vais m'en occuper. Posez-le sur un lit. Dépêchez-vous, il va peut-être mourir si vous attendez trop. Et s'il se passe quoi que ce soit de mauvais, je vous remettrez tout sur le dos. Aller zou. »

Il replaça violemment sa baguette dans sa poche, la tête ancrée dans les épaules de lassitude. Il expira bruyamment par le nez avant de faire demi tour. Il ne regarda même pas qui entrait, il se fichait de ce surveillant inutile. Il était coupable de son désespoir. Il prit son temps pour aller se laver les mains. Il resta quelques minutes à savonner, et laissa couler l'eau alors que le rinçage était fini. Il les sécha et se retourna.
Quel ne fut pas son étonnement, sa surprise, sa plainte de voir CE gars là allongé dans le premier lit. Quel vil garnement. Il était toujours là pour le mettre en rogne. Amadeus le détestait. Enfin, il ne l'aimait pas beaucoup. La seule chose qu'il appréciait en ce Sarevok était qu'il connaissait son secret. Et qu'il pouvait se jouer de lui à cause de ça, le menaçant de tout révéler, où d'évoquer par hasard devant un élève son sombre secret. C'était la seule chose qu'il trouvait amusante avec ce garçon. Il ne savait pas pourquoi tout son être lui était répugnant. D'ailleurs, à ces côtés, l'homme qui l'avait amené trônait. Un froncement de sourcil naquit sur le visage d'Amadeus. Fichez lui la paix bon sang.

« C'est bon, c'est bon, je n'ai pas besoin de vous. Allez-vous-en, je sais faire mon métier tout seul. Partez. SUR LE CHAMP. »

L'homme s'en fut. Et Amadeus s'approcha du gamin. Il eut un haussement de sourcil froncés. C'était assez étrange comme combinaison. Il observa le visage du garçon, ensanglanté, balafré. Outch, c'était pas beau. Et c'était quoi ses épines là qui étaient implantées partout son corps ? La tête de l'infirmier se balada à quelques centimètres du corps du blessé, le parcourant de long en large, analysant les plaies. Une envie le prit. Et s'il le laissait là, agonisant, et qu'il rejetait la faute sur celui qui lui avait apporté ce colis empoisonné ? Un rictus s'échappa de ses lèvres. Quelle idée !
Il reprit la raison en quelques secondes. C'était mesquin d'incriminé les autres. Son professionnalisme le lui interdisait. Il entreprit donc ses observation habituelles. Il vérifia la conscience du garçon. Main posée sur son poignet pour percevoir son pouls, il lui demanda :

« Sale mioche, m'entends-tu ? Si tu es là, fais bouger le lit. »

Il stimula un mouvement de lit.

« Ha, ta présence est à l'appel. Maintenant je vais te poser une question. Si tu bouges vers la gauche ce sera oui. Si tu bouges vers la droite, ce sera non. Compris ? »

Il se marra. Il se prenait pour un invocateur d'esprits. Mais en attendant, il avait senti les battements du cœur du gamin. Et il savait qu'il devait être inconscient sinon il aurait déjà rétorqué quelques choses d'indignant face au discours du grand blond. Connaissant le caractère de Sarevok, il savait que celui-ci ne serait jamais resté de marbre et aurait pris un malin plaisir à rabaisser le pauvre Amadeus. Mais là, c'était lui qui avait la meilleure carte. Pas pour longtemps, mais il en profitait. Il aimait détendre l'atmosphère en ayant des propos complètement décalé pour animer ses entrevues moroses avec les malades, et pour qu'ils retrouvent le sourire contre la maladie. Là, il se détendait lui même, étant le seul à entendre ses absurdités.
Il lâcha le poignet de l'élève et sortit sa baguette. En un tour de main et quelques minutes d'attente, il le sortit de sa léthargie. C'était vraiment un super héros.

« Qu'as-tu encore fait comme ânerie pour encore te retrouver devant moi ? Peut-être débordes-tu d'amour pour moi, être si merveilleux !? Et bien saches que .. »

Il parlait d'un voix mielleuse, se moquant de son patient. Puis, approchant son visage du sien, il murmura :

« .. que MOI, je ne t'aime pas. T'as de la chance que c'est mon boulot de t'aider, sinon tu te serais déjà récolté un pied dans le derrière. »
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Sarevok Eirswatsein
Sarevok Eirswatsein
Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Vide
MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeMer 17 Nov - 10:48

Le surveillant qui avait amené Sarevok jusqu’à l’infirmerie le déposa sur le premier lit quand Amadeus lui parla.

« Bien bien, laissez-le moi, j'vais m'en occuper. Posez-le sur un lit. Dépêchez-vous, il va peut-être mourir si vous attendez trop. Et s'il se passe quoi que ce soit de mauvais, je vous remettrez tout sur le dos. Aller zou. »

Il restait la à regarder l’élève se demandant ce qui avait pu lui arriver, c’est qu’il n’avait jamais vue d’accident similaire dans sa carrières enfin en tout cas aucun ne lui venait à l’esprit.

« C'est bon, c'est bon, je n'ai pas besoin de vous. Allez-vous-en, je sais faire mon métier tout seul. Partez. SUR LE CHAMP. »

Le surveillant partit donc laissant l’élève au soin de l’infirmier.
Sarevok ne se réveilla qu’après le petit jeux d’Amadeus, il se réveilla assez lentement, enfin surtout le temps d’ouvrir les paupières c’était le plus dur une fois cela fait il pouvait de nouveau avoir de la répartit et en le voyant là ! Lui ! A côté du lit où il était installé il finit par esquisser un sourire mesquin et sournois à la fois.


« Qu'as-tu encore fait comme ânerie pour encore te retrouver devant moi ? Peut-être débordes-tu d'amour pour moi, être si merveilleux !? Et bien saches que .. »

Lui dit-il d’une voix mielleuse déplaisante aux oreilles de Sarevok car cela signifier que l’on se payer de sa tête et il n’aimait pas sa. Puis l’homme se baissa, ramenant sa bouche près de l’oreille de l’élève et il lui murmura :

« .. que MOI, je ne t'aime pas. T'as de la chance que c'est mon boulot de t'aider, sinon tu te serais déjà récolté un pied dans le derrière. »

Sarevok due contrôler une folle envie d’étrangler ce prétentieux qui sans le chantage qui lui faisait ne pourrait nullement faire autant d’affront. Sarevok comptait bien trouver de quoi pouvoir menacé l’infirmier. Il était nouveau et ne se doutais sûrement pas à quel point l’élève qu’il tenter de manipuler par un chantage si dérisoire pouvait en outre creuser là où il fallait pour faire lui aussi du chantage, on ne jouait pas impunément avec Sarevok Eirswatsein dit « La Terreur ». Si Sarevok cédait au chantage c’était juste par pure plaisir, bon même si au final sa l’embêté pas mal que son petit cercle de fréquentation apprennent ce qu’il était en réalité. Il n’y en avait que deux à qui il avait dit qu’il était un loup-garou. La première était son ex petite amie morte dans un accident de voiture, d’où un début de haine envers le mode de vie des moldus et ensuite son meilleur ami Grey. Il avait les yeux plongés dans ceux de l’infirmier. Ses yeux jaunes dont le blanc des yeux était teinté de rouge sang tellement les petites veines était ressortit, cela c’était montré avec la guerre civil. Son regard de psychopathe assuré et fier, en plus de sa il y avait les cernes et l’encre noir des tatouages qui entouraient les yeux afin de bien faire sortir la couleur de ses pupilles. Son sourire sadique bien visible.

« Sa te ferais plaisir que je t’apprécie ? Oui tu aimerais sa au fond de toi ! Sa se lie dans tes yeux ! Serais-tu du genre Double Personnalité ? Cela expliquerai bien des choses. »

Et voilà celle là il ne l’avait pas volait, après tout il le cherchait il fallait bien lui donne rune petite réponse cinglante histoire de le déstabiliser ou de le faire sortir de ses gongs, si ça ne marché pas Sarevok en aurait bien d’autre en réserve. Mais parfois il regrettait de ne pas avoir eu de séjour à l’infirmerie pendant les pleines lunes. Ce type se sentait tellement mieux que les autres qu’il aurait sûrement oublié de cacher la lune du regard de Sarevok et là sous sa forme la plus puissante et bestial il l’aurait déchiqueté voir dévorer.

*Oui comme pendant la guerre je ne me saurais pas cacher ! Et je t’aurais…*

Il se souvint que si il avait pu faire usage de cette malédictions que au final lui avait pue voir tel un don l’année qui avait précédé, si il avait pue se transformer les soirs de pleine lune c’était justement grâce à la guerre civile, les gens étaient trop occupé pour pouvoir faire attention à ce genre de détails. Certes il n’avait pu le faire à chaque pleine lune mais il avait pu s’en amuser plus d’une fois, à chaque fois c’était Grey qui le retrouver et Sarevok n’osait pas lui dire ce qu’il avait fait de peur que son meilleur ami le renie. Bref des souvenirs toujours des souvenirs.
Pour l’heure il n’avait toujours pas changer son regard envers Amadeus, il n’avait pas enlevé son sourire sadique. Il attendait patiemment une réponse, une réaction.


*Amuse toi ! Profite bientôt je trouverais comment contrer ton chantage !*

Oui sa lui occupé les pensées à chaque fois que ce type était face à lui. Il le tiendra lui aussi à sa merci et ainsi il n’y aurait plus de réel problème. Il pourrait donc tenir en laisse la menace qui pèse sur lui. D’ailleur c’était le seul membres du personnel qui avait osé les autres pensant trop à garder la réputation de l’école de Malwen n’avait rien dit et il avait supposé que pour se faire une bonne réputation cette école ne dévoilerai pas ce lourd secret que garder Sarevok. Au final il y avait même des personnes peu recommandable au sein du personnel, Swelty pour avoir une sale réputation des la première années…


[H.j: désolé pour ce post encore plus court que le précédent Sad ]
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Amadeus Liv Sylfean
Amadeus Liv Sylfean
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Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Vide
MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeJeu 18 Nov - 8:28

Amadeus attendait qu’il se réveille. Il savait que cela ne tarderait pas. Sarevok ouvrit doucement les paupières. Mais malgré son retour parmi les vivants, son patient souffrait toujours. Il avait toujours ces étranges pointes vertes enfoncées dans le corps. Vu leur couleur, elles répandaient certainement un poison infâme dans son sang. L’infirmier s’en doutait, mais ne s’en préoccupait pas. Il était doué, il saurait le guérir. Mais voir cet homme si prétentieux souffrir le martyre pendant quelques instants, même quelques millième de secondes faisant plaisir à Amadeus. Rien que de voir passer le cri de la douleur dans ses yeux le mettait de bonne humeur. Il fallait qu’il soit aux aguets car l’élève, orgueilleux comme il l’était, ne risquait pas de se faire surprendre par le grand blond dans un tel moment de faiblesse. Alors ils se fixaient dans le blanc des yeux, guettant le moindre mouvement de l’autre.

Toutefois, bien qu’Amadeus soit en position supérieure par rapport au gamin, son visage se fixa en un instant. Son teint blêmit. Il se mordit les lèvres intérieures afin de réaliser qu’il était dans la vraie réalité. Son corps resta immobile, ses membres n’osèrent tressaillir. Dans sa tête, les mots de Sarevok résonnaient. Ce n’était désormais plus le bourdonnement incessant du bruit, mais maintenant le murmure du silence qui comblaient les oreilles du jeune homme. Le silence de la salle.. De longues minutes blanches, laissant planer le doute et la confusion.

Double personnalité. Double personnalité. DOUBLE PERSONNALITé ! C’était quoi ce merdier là ?! Bien sur que non, il n’était pas schizophrène ! Bien sur que non, qu’il n’était pas double. Alors pourquoi ce mot le gênait-il tant ? Son cerveau se mit à pédaler à une allure folle. Il cherchait au fin fond de sa mémoire ce qui aurait pu lui faire dire un truc pareil. Peut-être l’avait-il surpris avec sa carotte dans son bureau, la prenant pour un fou à prononcer des mots imaginaires et sans doute s’était-il retrouvé une fois avec une carotte transformée en poupée gonflable ? Ou alors il l’avait aperçu avec Aaron, en train de rigoler comme un fou, ce qui ne lui arrivait pas beaucoup ici. Ou encore il l’avait croisé dans un excès de tendresse envers il ne savait qui. Il s’imagina tout et n’importe quoi. Les choses les plus probables jusqu’à celles totalement impossible. Non, non. Il ne se souvenait pas que de tels événement avaient pu se produire..

Soudain, une idée encore plus folle lui traversa l’esprit.. Et s’il avait remarqué son petit manège nocturne avec ces infortunées jeunes élèves ? Héhé, complètement irréaliste. Et de toute façon, ce n’était pas lui. Enfin, c’était quelque chose de compliqué dans sa personnalité. Il savait que le soir il se transformait. Mais il n’agissait pas en son âme et conscience. C’était comme Sarevok, qui, les soirs de plein lune devenait un démon et dévorait tout sur son passage. Ils étaient dans la même galère, mais pour Amadeus, l’enjeu était moins important. Il ne tuait pas, n’avait pas envie de massacrer. Il avait juste des envies plus étranges qu’à l’ordinaire. Et de toute façon, il se cachait. Il prenait soin de ne pas se montrer, et d’agir en douce. Cette solution à la remarque de Sarevok n’était pas plausible du tout.

Le jeune garçon relâcha les muscles de son visage qui étaient restés tirés d’effroi pendant tout le temps de ses pensées. Ce n’était que quelques mots pris au hasard par le garnement, et par malchance il avait choisit ceux qui déstabilisaient le plus l’infirmier. Ce n’était décidément pas son jour. Il souffla un coup, versant hors de lui la panique qui lui avait envahit le cœur une minute auparavant. Il se dirigea gaiement vers la grande armoire à mystères où étaient rangés tous les flacons, tous les médicaments, toutes les pommades. Il eut d’un coup une vision d’horreur. Et si un vil enfant, guidé par la haine du merveilleux infirmier s’en prenait à cette superbe étagère, noyau de son métier. Qu’adviendrait-il de lui ? Et qui sait quel poison horrible se répandrait sur le sol et imprégnait tout le château de son venin, par la mégarde que l’ingrat avait commise ? Oh non, jamais de la vie cela ne devait arriver. Dès ce soir, il scellerait à double tour les serrures des portes et personne, personne, ne pourrait s’en prendre à cet outil si précieux et dangereux.

Il ouvrit l’une des portes, enfouit son visage entre deux planches de bois qui formaient les étages et chercha des yeux son produit. Un splendide pommade jaune qui sentait l’anis à appliquer sur toutes les plaies. Amadeus avait choisit ce remède alors qu’il y en avait tant d’autre pour le plaisir que cela lui procurerait de révulser Sarevok en lui précisant qu’il allait devoir poser ses mains sur son corps. Mouhaha. Ca lui apprendra. Et s’il refuse, on le menacerait de révélation. Comme d’habitude. Sauf qu’aujourd’hui, le supplice que voulait lui infliger l’infirmier dépassait les limites de l’entendement.

Sauf que. Car toujours les mais coupent les gentilles pensées. Faute de mais, car il y en a déjà trop, voici un sauf que.

Je disais donc. Sauf que dans le crâne perturbé d’Amadeus, une autre phrase de jeune patient avait pris place. Cela expliquerait bien des choses. Comment ça ? Quels choses ? IL SAVAIT. Ca y est, le pauvre homme presque schizophrène en était certain. Sarevok savait. Pour lui, et pour toutes les choses qu’il avait pu faire dans sa double vie. Quelle horreur.. Non non, même s’il savait, il n’y avait aucune preuve. Et Amadeus lui même n’avait aucune preuve de la connaissance du Nasteen. Qu’il arrête de se torturer l’esprit à cause d’un imbécile de son espèce. De toute façon, il était trop sot pour faire le lien et pour comprendre quoi que ce soit. Ou pas.

Amadeus ne savait plus en que croire. Il aurait aimé que Sarevok déballe son sac, comme ça, devant lui. Même s’il aurait été frappé d’horreur, il aurait eut tous les éléments dans les mains. Dans ce cas, il ferait flancher le garçon. Il lui dirait quelque chose qui l’obligerait à tout dévoiler, à lui apprendre ce qu’il savait. Ce sombre stratagème germé dans son esprit, le jeune blond, pommade en main, retourna doucement vers le lit du malade. Il allait se servir de ce qu’il croyait avant amusant _ la pommade _ contre lui-même. Il signait peut-être cet après-midi son arrêt de mort. Rapidement devant ses yeux s’inscrivit la liste des gens à qui il voulait léguer un petit quelque chose de ses affaires personnelles. Un soupir de désespoir s’empara de lui. Il était fichu. Pourtant, devant Sarevok, il ne devait rien laisser voir. Il arbora son plus grand sourire hypocrite et lança avec un enthousiasme irréel :

« Mon petit Sarekov, j’ai une surprise pour toi ! »

Il tendit de ses deux bras le flacon jaune, comme promouvant un produit publicitaire miracle.

« Tes plaies sont graves , il n’y a qu’une solution. Une seule, tu as bien entendu ? Il va me falloir glisser mes mains sur la peau afin de faire pénétrer la pommade dans ton corps. Je suis certain que tu n’y vois pas d’inconvénient. »
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Sarevok Eirswatsein
Sarevok Eirswatsein
Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Vide
MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeJeu 18 Nov - 14:08

Suite à sa petite phrase qui se voulait vexante la réaction de l’infirmier se fit par des expressions faciales. Son teint blêmit puis il mordit ses lèvres inférieures et le reste du corps était immobile. Ainsi donc il avait touché un point sensible ? C’était une bonne chose mais Sarevok se demander pourquoi Amadeus réagissait ainsi… Il chercha ce qu’il avait dit de si troublant, de si interpellant mais il ne voyait vraiment pas c’est alors quand cherchant le floue qui régner dans son cerveau s’évanouissait peu à peu au fur et à mesure que celui-ci reprenne un fonctionnement normal. Oui sa y est pourquoi il pensait chercher un moyen de faire du chantage, il en avait un …


~~~~~~~~Flash Back~~~~~~~~


La nuit était tombait sur Swetly, la majorité des élèves était dans les dortoirs car au vue de l’heure ils devaient logiquement y être voir même en train de dormir. Pourquoi la majorité ? Car il y avait toujours quelques exceptions, comme Sarevok un expert vadrouilleur qui arrivait à passer au travers de la surveillance. Oui des années de pratique. Cette nuit là il était en balade afin de préparer une petite surprise dont il avait le secret pour le petit matin.
Quel ne fut pas sa surprise en voyant une élèves, Cohary semblait-il au vue de la couleur de la cape, en train de prendre la direction de l’infirmerie.


*Hum elle ne ma pas l’air malade que va-t-elle faire ?*

Il se dit qu’il fallait absolument la suivre, son instinct de prédateur sûrement… En tout cas la direction qu’elle prennait l’intriguait. Amadeus lui ferait-il aussi du chantage à cette élève ? En plus une nouvelle, enfin pas une ancienne élève de Malwen, non Sarevok reconnaîtrais n’importe quel élève si il avait était à Malwen. Oui quand on veut faire des sales tours on examines et analyse les proies potentiels. Il la suivit donc discrètement à distance raisonnable, elle semblait faire attention à ne pas être suivit ou être vue de quelqu’un.

*Ce n’est pas normal ! C’est même louche !*

Il devait savoir ce qu’il se tramait donc il ne la lâcherait pas et ne se ferait sûrement pas distancer, après tout il était un peu le roi quand la nuit tomber et personne ne se baladait pendant ses petites vadrouilles sans qu’il ne le remarque.
Quand elle arriva enfin à l’infirmerie l’adolescente frappa doucement à la porte et attendit un petit moment. Par pure précaution Sarevok se faufila dans le coin le plus sombre du couloir.
Monsieur l’infirmier vint ouvrir la porte avec un petit sourire à ce que pouvait voir Sarevok.


*Mais il se passe quoi à la fin !*

Malgré son désirs de savoir il resta patient, l’infirmier fit rentrer la jeune fille et verrouilla la porte derrière eux. Sarevok à pas de loup se dirigea vers la porte et plaqua délicatement son oreilles contre la porte. Il semblait y avoir des rires ou plutôt des gloussements puis d’autres choses. Alors il amena son œil jaune à la serrure pour essayer de voir, l’éclairage était tamisé mais il espérait vraiment que ses yeux, qui comme ceux des loups renvoyaient bien la lumière, ne le trahisse pas. Ce qu’il vit le fit doucement sourire d’un sourire des plus sadique et sournois. Mais il devait mieux y voir pour s’en assurer.

« Alohomora » chuchota-t-il.

La porte se déverrouilla et par la serrure Sarevok vérifia que les deux personnes à l’intérieur de la pièce n’est rien entendu…Il semblait qu’elle était trop occupé pour avoir remarqué le petit bruit de porte qui se déverrouille. Il ouvrit donc délicatement la porte et pu enfin mieux y voir.

*Oh ! Mais ne serait-ce pas notre Infirmier adoré en train de s’amuser avec une élève ? Intéressant*

Il referma donc aussi délicatement la porte que lorsqu’il l’avait ouverte après avoir observer pendant quelque minute pour s’assurer de ce qu’il se passait. Il ne prit pas le soin de verrouiller la porte afin de faire réfléchir Amadeus et de prouver de sa présence à ce moment précis lorsqu’il lui balancerai au visage.
Il tenait enfin un moyen de contrer le chantage que lui faisait l’horrible infirmier.



~~~~~~~~Fin de Flash Back~~~~~~~~


Amadeus alla à son armoire chercher quelque chose… Et revint vers Sarevok aves un grand sourire hypocrite en lançant.

« Mon petit Sarekov, j’ai une surprise pour toi ! »

Mon petit était un terme bien trop familier au goût de Sarevok mais à ce moment précis il tendit ses deux bras tenant un flacon jaune.

« Tes plaies sont graves , il n’y a qu’une solution. Une seule, tu as bien entendu ? Il va me falloir glisser mes mains sur la peau afin de faire pénétrer la pommade dans ton corps. Je suis certain que tu n’y vois pas d’inconvénient. »

Ah il espérait donc énervé Sarevok en agissant ainsi…Sa ne se passerait pas comme cela et Sarevok se doutais bien que c’était par pure vengeance que Amadeus faisait ça. Mais il allait encore le perturbé pour le torturé psychologiquement, donc il arbora son sourire sadique et fixant dans les yeux l’infirmier d’un regard à la lueur de sadisme.

« Je suis sur que tu as d’autres remèdes qui éviterai sa ! Mais bon après tout il est vrai que tu aimes glisser tes mains sur les élèves et faire pénétrer… »

Il stoppa la reprise des mots d’Amadeus afin de laisser plané une interprétation même si il avait un but précis dans sa façon de faire. Son sourire et son regard empli d’un sadisme s’adresser à l’infirmier. Il l’avait maintenu en laisse et désormais Sarevok pouvait lui rendre la monnaie de sa pièce en faisant ce qu’il savait faire de mieux… Manipuler, torturer psychologiquement et instauré la peur par sa façon de faire, d’être et de parler. Oui il le ferait se tordre mentalement de douleur, l’obligeant à se perdre dans sa réflexion tout en le tenant à sa merci en ne lui disant pas ce que l’infirmier voudrait tellement vérifier ! Savoir si Sarevok était au courant pour son petit vis lorsque là nuit tombe où si c’était des phrases lancé et dite ainsi par pure hasard. Oui il n’aurait jamais due faire du chantage à cet élève en particulier !

*Et oui pauvre idiot toujours se renseigner avant d’agir !*

Il s’imaginait bien que malheureusement pour l’infirmier, celui-ci avait vue un secret croustillant sur un élèves et y avait vue un moyen de pression et tout sa sans même se renseigner sur l’élèves en question. Sarevok l’aurait bien… Mais la guerre civil étant finit il ne pourrait pas couvrir ses actes.
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Amadeus Liv Sylfean
Amadeus Liv Sylfean
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MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeVen 19 Nov - 2:38

« Mes rêves s'égarèrent un peu plus loin.. »
~______________Triste Sire.

Ce jeu devenait dangereux. Très dangereux. Amadeus aimait de moins en moins la tournure que prenait les choses.. Les petites réflexion du gamin, qui auparavant n'avaient rien de fourbe et qu'Amadeus prenait plaisir à contrer devenaient une arme puissante. Deux fois en quelques minutes qu'elles laissaient planer le doute. Ce ne POUVAIT PAS être l'effet du hasard. Ou alors celui-ci avait fait un pacte avec le diable pour emmener l'infirmier dans les basfonds des enfers. Non, Satan n'était pas assez fou pour désirer la présence de cet homme, qui n'avait pas fini de louer ses services au Mal. Le hasard n'avait rien à voir. Sarevok avait tout manigancé lui même. Le blond se laissa tomber sur le lit, tenant toujours d'un main la pommade miracle. Il semblait dépité. Résigné à perdre cette manche. Avant d'abattre une carte, il devait connaître le jeu de l'adversaire. Il ne pouvait se permettre de laisser filer sa meilleure main. Il leva la tête au ciel, qui était caché par le plafond blanc, ses yeux ressassaient les évènements précédents. La dernière fois qu'Il était sortit.. Amadeus s'en souvenait vaguement. Mais il creusa au fin fond de lui pour avoir l'avis de son compagnon d'infortune. Cela lui apparut comme une révélation.

Flash. Back.
Cette nuit était belle. Magnifique. Parfaite pour agir.
Le Marquis attendait sagement dans sa chambre que l'heure arrive. Il se préparait, se pomponnait. Il prenait soin de son être. Il arborait ce soir là un magnifique costume. Chemise de soie blanche, gilet de coton vermillon, veste en queue de pie noir corbeau, pantalon noir. Et son éternelle montre à gousset coincée dans la petite poche du gilet. Il avait laissé le chapeau haut-de-forme trôner sur son grand coffre pour ne pas attirer l'attention. Il brossa ses cheveux blonds afin qu'ils soient resplendissants et se résolut à colorer ses yeux pâles d'un léger trait noir. Cela renforçait le caractère désenchanté de ses iris. Il se regarda en tout sens plusieurs fois dans le miroir de sa maquilleuse et il se plut. Il avait autant de charisme qu'il voulait en avoir. Un Marquis ne sort pas sans son accoutrement d'aristocrate.
Lorsque sa montre afficha l'heure de partir, il murmura un petit « lumos » à sa baguette qui émit une faible lueur. Il ne lui en fallait pas plus, il connaissait le chemin. Il referma derrière lui la porte des mystères et tel Dorian qui se hisse jusque son portrait, il s'en fut vers son infirmerie. Sans bruit. Il pénétra dans son antre avec la plus grande discrétion. Il éteignit sa baguette et attendit. Il n'avait pas de longues minutes d'attente, mais il en profita pour fouiller dans son grand coffre qui prenait toute la largeur de son bureau. Pour ce faire, il alluma le chandelier qui se trouvait dessus et ouvrit les grands tiroirs. Il déterra un énorme livre relié, qui semblait avoir parcourut des siècles. Cherchant la page 2010, il tomba sur quelques anciennes années. Il eut un rictus de victoire quand il se remémora certaines jeunes filles. Pandora D. Elle lui était tombée dans les bras encore plus rapidement que toutes les autres et s'était suicidée lorsqu'il l'avait lâchement abandonnée. Melody A. Celle-là était drôle. Elle avait fait semblant de pouvoir résister à ses charmes mais lorsqu'elle s'était donnée à lui elle avait avoué tout son amour et tout le mal que cela lui avait fait de le repousser d'abord. Pauvre enfant, si violemment rejetée. Sybil V. Qu'il avait beaucoup apprécié et qui avait failli lui faire de la peine lorsqu'il ne donna plus de nouvelles. Partie elle aussi. Noyée. Il avait d'abord versé quelques larmes, immortalisant dans ses souvenirs l'eau meurtrière. Puis il en avait rencontré d'autres et il riait désormais de cette mort stupide. Il en avait fait tourné des cœurs. Et il ne comptait même plus le nombre de ses victimes. Après tout, ce n'était pas Ses victimes. Elles avaient, de leur plein gré, choisit leur voie. Mais il se plaisait à se sentir responsable. Bien qu'il n'ait pas, de ses mains, tenu le couteau assassin ou plongé le corps dans la Tamise..
Il cessa de rire et de se souvenir lorsqu'il perçut un infime coup sur la porte de bois. A pas de loup il se dirigea vers celle-ci et fit entrer sa proie. Un jolie jeune fille, blonde comme les blés avec des yeux d'ange. Elle n'était vêtue que de sa robe de nuit, juste au corps, à demi transparente. Elle avait bien écouté les instructions de son bourreau. Il étira ses lèvres en un immense sourire. La demoiselle ne semblait pas apeurée. A croire qu'elle connaissait son destin. Comme la plupart des filles du château, elle fantasmait en secret sur l'élégant infirmier. (Oui, il est irrésistible, que voulez-vous ?) Mais pauvre enfant, elle ne savait pas à qui elle avait affaire. Sous ses airs sympathiques, le Marquis était un homme abject. La fille s'étonna pourtant de quelques éléments. Pourquoi s'être habillé de la sorte ? Pourquoi avoir donné rendez-vous dans l'infirmerie ? Pourquoi avait pris autant de risques ? Le Marquis mit un doigt sur les lèvres de l'enfant en signe de silence. Il la poussa vers un lit, le plus éloigné de la porte pour ne pas ameuter tout le couloir. Il la fit asseoir, et commença à discuter. Il s'était assis aux côtés de la fille, et lui racontait des anecdotes inimaginables à propos des membres du personnel. Ou alors à propos de gens étranges de sa famille. Ou alors sur lui. Mettant ainsi la confiance de la demoiselle dans sa poche. Il la touchait parfois, posant une main sur son visage, remettant quelques cheveux en place, lui disant qu'elle était jolie, la faisant rougir, posant une main sur sa cuisse..
(Si Aaron sait ça, il va tuer Amadeus.... u_u)
La gamine riait aux éclats. Le faux infirmier la fit taire en lui barrant la bouche d'un main. Elle ouvrit de grands yeux l'air désolée. Il fallait la faire taire, et quel meilleur moyen que de combler ses lèvres frêles de celles bien confiantes du Marquis ? Un baiser. Suivi d'un autre. Et un autre. Et arriva ce qui devait arrivé. Ce qui était programmé. La jeune fille se laissa aller face au désir entreprenant du grand blond. Et cette nuit, elle fut souillée.
[…]


Flash. Back. End.

Quelle sombre pensée. Quel ignoble souvenir. Lui qui s'était juré d'arrêter ses idioties pour profiter de sa profession, il se trahissait lui même. Il haissait cette folie nocturne. Qui, en ce jour, lui ferait perdre beaucoup. La fureur traversa son visage. Il jeta son regard menacant vers Sarevok qui semblait se réjouir de ce spectacle pitoyable. Il lui attrapa rageusement les joues entre ses doigts et approcha de nouveau son visage du sien.

« Sale petit morveux… Si tu dis un mot. UN SEUL MOT. Je te promets que je ferais de ta vie un enfer. Un véritable enfer. Ne JOUE PAS avec Amadeus Sylfean. »

Il relâcha sa pression. Il aurait voulu lui cracher au visage, là, mais il n'en fit rien. Il n'avait pas le droit. Il dut se retenir intérieurement pour ne pas le gifler aussi. S'il faisait quelque chose de mauvais contre Sarevok, désormais, il le regretterait amèrement.
Un début de lien secret était prêt de se former..
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Sarevok Eirswatsein
Sarevok Eirswatsein
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MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeVen 19 Nov - 9:53

Il avait réussi, Sarevok était un grand manipulateur jouant avec le mental comme un enfant joue avec ses jouets. L’infirmier se laissa tomber sur le lit et il avait le visage du perdant, dépiter. Sarevok eu alors un petit ricanement sadique tel un démon ayant piéger sa proie. Ses yeux reflétés alors de cette fameuse lueur, la lueur d’un être totalement mauvais en pleine satisfaction. Son visage pourtant restait neutre, seul ses yeux et son ricanement démontraient à quel point il était foncièrement mauvais. Amadeus leva la tête au plafond et sembla chercher, fouiller ses pensées, ses souvenirs.

*Oui cherche, cherche donc et comprend alors ton erreur !*

A cette pensé son rire se fit démoniaque. Puis il se calma, enfin se contrôla et laissait alors le blond revoir la scène que Sarevok avait vue. Il était si satisfaisant de le tenir ainsi et de pouvoir se venger. Oui souffrance et torture, si seulement il avait pu en prime les lui infligeait physiquement, il s’en serait donné à cœur joie. Il se voyer bien l’enchaîner lui lançant plusieurs de ses sortilèges et aussi un petit Endoloris par ci et par là. Un Sectusempra et bien d’autres. Oui le voir pleurer et crier de douleur. Mais bon ce n’était pas possible, rien ne pourrait cacher ou couvrir un tel acte alors il devait se contenter de le torturer psychologiquement.

Soudain l’infirmier sembla sortir de ses pensés, il avait trouvé. Enfin il était bien moins apte à la réflexion que ce que l’avait juger Sarevok. L’homme eu le visage empli de rage donc Sarevok était sur d’avoir matière à chantage. S’en suivit un regard plein de menace, il ne savait donc pas se contrôler ! Pitoyable ! Et pour finir l’infirmier lui attrapa les joues tout en approchant son visage de Sarevok.


*Je te tiens mon petit ! Quand on joue avec plus fort que soie on y perd sa santé !*

« Sale petit morveux… Si tu dis un mot. UN SEUL MOT. Je te promets que je ferais de ta vie un enfer. Un véritable enfer. Ne JOUE PAS avec Amadeus Sylfean. »

Et voilà la confirmation finale. Il le tenait, il avait accroché les ficelles sur le pantin.

« Tu croyais quoi ? Que je serais aussi manipulable que tes conquêtes ? Pauvre fou ! J’ai peut-être une réputation de Terreur des couloirs parce que je fais des coups fourrés à tout le monde ! Mais sache avant tout que je suis bien pire encore ! Quand on veut s’en prendre à quelqu’un on vérifie qui il est ! Ce qu’il fait ! Quelle réputation il a ! Et les rumeurs à son sujet ! Tu fais un bien piètre maître chanteur il ma pas fallu longtemps pour contrer ton petit chantage ! »

Voilà comment rappelé à l’ordre un abrutit supplémentaire qui s’en était prit à Sarevok. Il était une fois de plus redevenu maître de la situation. Oui en ayant lui aussi un moyen de pression il arrêtait d’office le petit jeux de l’infirmier. Il devrait donc agir comme un infirmier envers son patient même si il se permettrait sûrement de s’en prendre à Sarevok par la parole. Il ne le contrôlera plus. La cruauté de Sarevok se réveiller, le plaisir vicieux qu’il éprouver à avoir briser cet homme.
Il affichait un sourire malsain et ses yeux exprimer une joie sadique.


« Maintenant nous sommes à égalité alors voilà ce que je te propose…Tu ne dis rien pour mon secret, et puis le dire nuirait à la réputation de Swetly et je ne dis rien pour le tiens qui nuirai aussi à la réputation de Swetly. Sauf que j’ai un léger avantage. Les loups-garous sont tolérérer au ministère de la magie, les membres de personnel d’une école de magie qui abuse des élèves eux perde travail et ne revoient plus la lumière du jour il me semble ! Alors on fait comme sa ? Chacun garde le silence ? »

Il l’avait vaincu, battu dans un jeux que l’infirmier avait eu le malheur de lancé de son propre chef. Mais à ses jeux là on ne battait pas Sarevok et ses proches pouvaient le confirmer et le démontrer.

* Je t’ai eu misérable larve ! *
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Amadeus Liv Sylfean
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MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeVen 19 Nov - 11:41

« Je vis dans le faux rempli d'angoisse. Les temps sont durs, la fin est proche. »
~______________Triste Sire.


Dans quel pétrin il s'était mis ? Il n'avait jamais été en si mauvaise posture. Et cette défaite faisait beaucoup parler l'orgueil de son rival. Il n'aimait pas cette sensation d'être dominé, manipulé. D'être mené à la baguette par un idiot. Quoi de plus effroyable ? De plus, son attitude n'était pas la sienne. Il n'avait pas l'habitude de s'emporter pour un rien, d'expliciter son ressentit, de montrer ouvertement sa défaite. Mais ses incompréhensions nocturnes, dirigées par un personnage étrange qui ne vivait pas avec son temps le mettait hors de lui. Il ne pouvait pas empêcher cela, c'était comme une maladie. Et certaines maladies ne se soignent pas. Même avec ses pouvoirs de super-infirmier, il ne pouvait lutter contre la nature. Il savait que tout à l'heure, il s'en voudrait. Mais actuellement, il ne contrôlait plus ses pensées ni ses actes. Pendant ces deux mois, il avait fait attention à ses paroles. A ne pas dépasser le seuil de mots. La limite. Il avait un peu changé, depuis qu'il était là. Il ne fallait pas que tout son travail sur soi régresse à cause de cet imbécile de fouineur. Il serra les dents et les poings.
Il se leva et à grands pas retourna vers la grande armoire. Il y déposa la pommade et chercha que prendre d'autre. Son esprit essaya de se concentrer sur le choix du produit plutôt que sur les âneries de Sarevok. Âneries bien réelles d'ailleurs. Il écoutait d'un oreille distraite les propos du garçon. Il eut un rire nerveux, qu'il stoppa quand il s'en aperçut. Mais il n'arrivait vraiment pas à actionner lui-même son corps. Même les dents compressées l'une à l'autre dans sa bouche ne l'arrêtaient pas de rire. Rire mauvais. Rire stressée. Il essayait d'envisager ce que ça signifiait, tout ce bazar. Tous ces secrets, ces jeux mortels, ces apparences. Tout ceci lui faisait tourner la tête, et l'obsédait désormais. Il regrettait d'avoir débuté ces histoires stupides. Et à l'heure actuelle, il s'en voulait presque d'avoir un jour décidé de venir ici, à Swelty. Remise en question intense. Qui était-il ? Que faisait-il ? Où allait-il ? Et à quoi bon tout ce théâtre avec Sarevok ? Cela ressemblait à un mauvais film à suspense. Et ici se jouait la scène centrale. Les spectateurs se mordaient les doigts derrière leur écran, se demandant comment ce pauvre Amadeus allait s'en sortir face au grand Sarevok. Les rôles s'inversaient et le public, qui avait d'abord admiré l'infirmier pour ses prouesses pleines de ruse, retenait son souffle en observant les sévices psychologiques qu'on infligeait à leur chouchou. Celui-ci, désespéré, devait réfléchir à un nouveau plan d'attaque. Y arriverait-il ? Comment contrera-t-il les menaces affligeantes de ce bougre d'élève ? Vous le saurez dans quelques instants, le temps que les battements du cœur d'Amadeus redeviennent normaux.

Amadeus perdit pied. Il se retint contre l'armoire, d'une main lourde il l'accrocha. Ses pieds ne le supportaient plus. Ils flanchaient. Ils se plièrent sous le poids du désespoir. Dans un dernier geste, il porta sa main libre à son cœur, enfonçant ses ongles dans l'épaisseur de sa blouse afin d'essayer d'atteindre l'organe. Il ferma les yeux inconsciemment. Il posa sa tête ballante sur le bois froid de l'armoire. Ce contraste de chaleur fit frissonner le peu de son corps qui répondait encore.
Ah, quel comble pour un infirmier de se retrouver dans une telle situation. Aussi fébrile qu'une fillette. Il se trouvait pitoyable. Les yeux perlaient. Les joues rosissaient. Le cœur brûlait. Il se sentait vidé. Il était en train de se vider de son être. Son fluide vital bouillait en lui mais paradoxalement ses poils se hérissaient de froid. Il respira à vive allure, avec de grosses expirations. Il resta ainsi quelques longues minutes.

Durant ce temps, il voyait diverses choses.
Son rêve quotidien défilait devant lui, en vitesse accélérée. Entrecoupé d'image de la nuit fatale. Il voyait cette soirée, avec ces étranges amis. Et l'image suivante était lui penché sur une fillette. Retour à la soirée, on toque à la porte. Il se lève. Il pose ses lèvres sur celles de la jeune fille. Il voit son regard émerveillé. Un agent. Est-il un assassin ? Surprise. Il ôte désormais la petite culotte de la demoiselle. Est-il un assassin ? Il la touche. Est-il un assassin ? Il la..
CRI.

Son cœur battait la chamade. Il le sentait à travers ses vêtements. Quelques gouttes se dessinaient sur son front. Ses paupières s'ouvrirent d'un coup. Il se rendit compte trop tard qu'il n'avait su retenir son cri. Il déplia ses jambes pour qu'elle acceptent de le soulever de nouveau. Il se frotta les yeux, n'ayant plus besoin de son appui sur l'armoire. Il répondit aux protestations de son ennemi, d'une voix faible mais déterminée.

« Ne crois pas.. Ne crois pas t'en tirer comme ça, nigaud. Tu as peut-être appuyé sur un point sensible. Tu as peut-être.. appris quelque chose d'étrange et qui me met mal à l'aise.. Mais cela ne veut pas dire que je me rabaisse à toi. »

Ils liaient le pacte. S'il prononçait les paroles unificatrices, ils aurait un point commun. Une dette l'un envers l'autre. Un secret commun. Son ennemi se transformait en objet indispensable. Il se devait de le surveiller, mais était lui-même épié. Il n'aimait pas cette position. Mais son état ne lui permettait pas d'y renoncer. Il attrapa au hasard une flasque d'anti-poison et retourna au chevet du malade. Le pas lent, l'air las, les pieds se prenant parfois l'un dans l'autre, ses jambes feignant de lui faire perdre l'équilibre.
La promesse se fit entendre. Sarevok énonçait les termes du contrat. Mais il ne se contentait pas seulement de les énumérer. Il ajoutait à sa guise des remarques désobligeantes, abaissant de nouveau Amadeus. Comme s'il n'était suffisamment pas dans un état de détresse..

« La folie n'est pas condamnable, Sarevok. La tuerie, si. »

Il n'avait que ça à ajouter. Il jeta presque le flacon de verre sur la table de chevet puis tourna le dos à cet être infâme qui lui volait sa liberté. Toutes ces révélations allaient changer totalement la façon de vivre d'Amadeus. Il veillerait à retenir son soi intérieur en rentrant dans sa chambre après le repars du soir. Il veillerait à ne plus faire de sous-entendus suspect, même à Aaron. Il ferait attention à où il mettrait les pieds et où il glisserait ses oreilles.
Il se dirigeait vers le rideau étrange qui bloquait l'accès à son bureau. Il enfouit ses mains dans ses poches, le plus profondément possible. Il se remettait difficilement de son mal être.

« Bois ça, tu si veux pas crever devant moi. » lança-t-il froidement par dessus son épaule.
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Sarevok Eirswatsein
Sarevok Eirswatsein
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MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeVen 19 Nov - 23:30

L’infirmier était en grande remise en question personnel, cela se voyait dans sa façon d’être. Il alla vers son armoire s’agrippant à l’une des portes, il était si pitoyable. Sarevok était tel Satan ayant acheté l’âme du blond. Oui au sein de Swelty, comme pour Malwen, il était ainsi. Le DIABLE , son incarnation, un être maléfiques au multiple facette, un être se jouant des autres à sa guise, les manipulant. Au final c’était bien plus son terrain de jeux qu’autres choses, il était le roi. Mais comme pour Malwen au final il n’avait qu’un réel obstacle. Le Directeur. Oui l’ancien directeur avait recadrer plus d’une fois notre Terreur. Sûrement que Darren Swetly en serait autant. Les chaînes limitant Sarvok. Mais la majeur partit du temps les chaînes avaient beaucoup de leste. Comme dans le cas présent. Il avait du coup beaucoup de liberté. Maître de l’ombre. Fantôme du château. Seigneur des couloirs. Empereur secret de Swetly. Il savait tout et voyait tout ! Les tableaux, les fantômes, les objets…il en avait amadouer beaucoup ou avait passé des petits contrats secret avec. C’est ainsi qu’il pouvait surveiller tout ce qu’il se passait dans l’enceinte du château. Mais sa personne ne le savait. Sauf ses amis, les seuls qui savaient que si il leur arrivait quoi que ce soit leur amis serait au courant tôt ou tard si il ne leur disait pas. Mais bon par respect eux il ne les surveillait pas pour leur intimité.

Alors que l’infirmier essayait de se remettre de ses émotions si violente ! De cette torture psychologique qu’il venait de subir. De cette défaite inattendue. Pendant ce temps là il retirait les aiguilles qu’il était planté sur son corps déjà plein de cicatrices. Un peu plus un peu moins il n’était plus à ça près ! Amadeus poussa un grand cri, ainsi donc la victoire était définitivement acquise !


*Oh joie quand te présente !*

Il sourit à cette pensée. Décidément il avait fait une mise en scènes si magnifique. D’abord laisser un légère avantage à sa proie. Ensuite il l’avait troublé en laissant planer un doute sur les possibilités qu’il soit au courant de ce vis de l’infirmier. Puis il l’avait achevé en scellant un pacte. Au final ce fut beaucoup plus simple et moins amusant et jouissif que ce qu’il l’aurait imaginé. Quelle déception, c’était trop rapide lui qui aurait voulut continuer à s’amusait avec le jouet qu’il venait d’acquérir.

« Ne crois pas.. Ne crois pas t'en tirer comme ça, nigaud. Tu as peut-être appuyé sur un point sensible. Tu as peut-être.. appris quelque chose d'étrange et qui me met mal à l'aise.. Mais cela ne veut pas dire que je me rabaisse à toi. »

Alors comme ça il venait d’avouer clairement que Sarevok avait trouvé quelque chose de compromettant. Il était vraiment dans un état de faiblesse. Sarevok était fier de le voir si faible, enfin il révélait la faiblesse de l’être qu’il était.

« Non tu ne te rabaisserais pas si tu étais à mon niveau ! Tu ne ferais que augmenter le tiens ! »

Il n’avait pas tort, il n’avait jamais montré de faiblesse moral à Amadeus et l’infirmier lui venait de trouver sa force mentale détruite en un laps de temps très court. La deuxième phrase du blond interpella Sarevok.

« La folie n'est pas condamnable, Sarevok. La tuerie, si. »

Il était si stupide offrir une nouvelle ouverture à Sarevok… Plutôt que tenté de fermer les portes il les ouvrait encore plus grandes, laissant pénétrer le démon loin dans le jeu de la destruction psychologique de l’infirmier. Après un moment pareil il devrait sûrement aller voir son confrère Psychologue pour s’en remettre, ce qui satisfaisait pleinement Sarevok.

« Tuerie ? Je n’es pas parlé de tuerie…Avouerais-tu être un tueur en plus d’un pervers qui aime passer ses nuits en compagnie de jeune élèves ? Hé bien que de révélation ! Que de révélations ! Dit m’en plus sa m’intéresse. »

Et paf, une nouvelle phrase pour cassé le pauvre infirmier s’engouffrant plus profond dans les abîme du démon qu’était Sarevok. Il allait le briser ! Oui à cette idée si…tellement…EMERVEILLANTE… Sarevok eu un grand sourire démoniaque, son regard en disait long sur ses intentions.
L’infirmier était à son bureau, plus ou moins caché par un rideau.


« Bois ça, tu si veux pas crever devant moi. »

Sarevok bue alors le remèdes car il avait enfin fini de retirai les aiguilles de son corps.
Il le laisserait répliquer à ses nouvelles attaques, si il le pouvait encore… Mais pour lui il avait fini de s’amuser. Enfin pour le moment.


[Hors Rp : fini pour ma part ^^… désolé de cette réponse courte T.T ]
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Amadeus Liv Sylfean
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MessageSujet: Re: Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Un prêté pour un rendu! [PV Amadeus] Icon_minitimeSam 20 Nov - 1:29

« Souviens toi d'oublier. »
~______________Triste Sire.

Ce n'était plus vivable. Il avait perdu tout son être. Et avait perdu son intimité. Sa vie. Son secret. Son lui. Il ne regarda pas derrière lui et souleva le rideau de perles menant à son chez lui. Enfin, ce qui restait de son chez lui. Ce n'était désormais plus qu'on bureau sordide. Plus qu'une pièce sans intérêt où n'y était plus concentrée son âme. Il eut un regard circulaire afin de déterminer ce qu'il pouvait maintenant abandonner. Il ne toucherait à rien, tant que Sarevok ne serait pas parti. Il attendit, impatiemment, son départ.
Il entendit, ou crut percevoir, les gestes de l'ennemi. Il semblait être en train de s'extraire du corps les aiguilles. Amadeus n'avait pas eu le courage de le soigner complètement. Il était assez grand, assez intelligent apparemment et assez autonome pour se débrouiller seul. Et quand il reviendrait quérir de l'aide dans son infirmerie, il ne s'occuperait de son cas qu'au strict minimum. Après tout, être capable de déjouer un adulte, être capable de toucher aussi bien le seul point faible d'un être si certain, si confiant, si orgueilleux, signifiait qu'il était capable de s'en sortir seul. Une réflexion cinglante de plus et une gorgée du liquide amené par l'infirmier après, Sarevok se leva du lit, et sans mot dire quitta les lieux. Il prit son temps. Le temps de savourer sa victoire. De faire comprendre à Amadeus qui était le maître. Il délimitait son territoire. Et semblait-il que l'infirmerie même lui appartenait. NON. Il en était hors de question. Amadeus redessinerait son antre par la suite. Quand il serait d'attaque. Quand il reprendre le dessus sur lui même. Quand il sortirait de sa déprime d'absence d'identité. Il murmura, plus pour lui même qu'autre chose :

« Il me tarde de te revoir ici.. La discussion ne peut pas se finir ainsi.. »

En effet, il y avait des points à éclaircir, qui n'avaient pu l'être en ce jour. Mais pour le moment, la défaite était poignante. Écrasante. Complète. La porte se referma lentement. Immolant de rage son cœur. Offrant au diable son âme.
Lorsque le petit clic annonça sa fermeture totale, Amadeus se jeta littéralement sur les dossiers qui trônaient toujours sur son bureau et y sema la zizanie. Il poussa les piles les unes après les autres au sol. Les papiers volaient, se perdaient les uns dans les autres sur cette surface préalablement vide. Il renversait tout, déferlant sa haine hors de lui. Puis ses gens tremblotèrent, l'obligeant à s'agenouiller. Les mains appuyées au sol, chacune sur une hauteur différente suivant le nombre de feuilles sous elles, le dos rond tel un chat. Il resserra ses mains, formant un poing qu'il frappa au sol. De sa bouche s'élevaient des râles d'agonie interne. De ses yeux, la pluie inondait ses joues. Il souffrait. Comme jamais il n'avait souffert.


La douleur est telle qu'elle se répand dans tout le corps. Dans l'âme complète. On ne peut pas l'arrêter, elle nous envahie comme sur un champ de bataille. Elle nous écrase, nous soumet. Connaissez-vous cette sensation d'impuissance, ce retour à la vie, où on se sent vivant, mais où l'on préfèrerait être mort ? N'avez-vous jamais possédé à l'intérieur de vous cette plainte, cette complainte ? Elle vous tord le foie, vous meurtri les boyaux. Elle vous assomme de questions, de réflexions, de remises en question. Elle vous condamne.

Amadeus était prisonnier de sa propre mise en scène.
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