Noms} First
Prénoms} Leonard Armand Desmond
Surnom} Lulu
« Sullivan ! Je t’interdis de m’appeler ainsi ! »
Age} Quatorze ans
Date de naissance} 1 Juin
Groupe sanguin} A+
Nationalité} Américaine
Origines} Américaines

{°II Au sein de l'école°}

Année} Quatrième année
Maison} Nasteen
« Oserais-tu dire que je suis un être terrible à cause de cela? Regarde toi avant de me parler ainsi, Clound. »
Baguette magique} En bois de saule pleureur, elle mesure vingt-deux centimètres et possède un crin de Sombral. Elle est particulièrement efficace pour les duels.
Matière préférée} L’Histoire de la magie
« Tu remarqueras, Sullivan, que moi je ne m’endors jamais pendant ce cours. D’ailleurs, tu as bavé sur ma veste. »
Matière détestée} La divination
Ce qui explique sans doute qu’il ait abandonné pour arithmancie cette année.
Patronus} Un labrador
Qui a tendance à l’agacer plus qu’autre chose.

{°III Informations complémentaires°}

Couleur préférée} Violet
En même temps, ce n’est pas vraiment un choix. Tout dans son existence l’amène à cette teinte.
Régime alimentaire} Normal.
Phobie} La foule
Agoraphobe, il ne supporte pas la grande salle ni même les cours où il y a trop de monde.
Relations}
~ Clound, ce sale gosse insupportable.
~ Mint, guère mieux.
~ Sullivan, qui explose les records de pénibilité.
Orientation sexuelle} Hétérosexuel.
« Ah? Sullivan est véritablement une demoiselle? Je suis choqué. »
Animal favori} Aucun
Les bestioles sont bien trop pénibles pour lui.
Position dans laquelle il dort} Roulé en boule dans son lit.
Saison préférée} Le printemps
Les allergies au pollen qui font que les élèves ne sortent plus du dortoir. Le bonheur.
Piercing} Aucun.
« Je ne suis pas un dépravé, moi. Clound! Ne me frappe pas! »
Tatouage Aucun
Cigarettes} Jamais.
Il lutte d'ailleurs fermement pour que ses deux meilleurs amis cessent. Cela le fait tousser.
Lunettes, verres de contact} Lunettes de lecture
Qu'il ne porte pas souvent.
Animal} Aucun.

{°IV Caractère°}

Il n’y a pas de bien ou de mal. Nous naissons de manière fondamentales avec les deux. On ne peut pas juste être tenté en grandissant, non… Tout est en nous, nous sommes au centre de la balance et chacun la fait tomber du côté qu’il souhaite. Leonard n’a pas vraiment eut le choix dans l’effet qu’il donne. On le décrit comme froid et sérieux. Comme s’il n’était qu’un affreux personnage vivant dans une noirceur répétée. C’est cela que de vivre dans les apparences. Le jeune garçon n’a pas vraiment grand chose à dire, alors il ne parle pas beaucoup, se contentant de regarder dans l’ombre. Son expression pourrait parfois faire penser à de la colère, mais ce n’est pas aux autres qu’il en veut tant. Bien sûr, ses derniers lui tapent parfois sur le système mais celui envers qui il a le plus de rage, de chagrin aussi, c’est lui-même. Pour plier sous les ordres de son paternel sans la moindre hésitation… Lulu vit dans son monde à lui souvent… Il est heureux quand il est derrière un piano, malgré la torture mentale qu’il a subie avant de savoir en jouer parfaitement, une passion qui le calme et qui lui permet de s’exprimer un peu. Ses doigts, lorsqu'ils parcourent les touches noirs et blanches, donnent à celui qui écoute, même si ce n’est personne en général, une vision de ce qu’il ressent. Ses mélodies sont calmes et douces, jouées avec un certain apaisement apparent. Le changement l’effraie. Il semble être le petit garçon qui se cache derrière un arbre et regarde ses camarades jouer sans jamais approcher. Le prince sombre n’est pas tellement timide, il n’a juste rien à faire avec les autres. On l’a habitué à penser qu’il est supérieur… Dans son esprit, les libertés se brisent une par une. Objet usant uniquement la fonction d’héritier, rien d’autre n’intéresse sa famille que ça. La confiance ? Il ne peut pas l’accorder et refuse de se l’approprier. Un ordre, un souffle, une pensée… C’est interdit. Les autres ne méritent pas ça. Ils ne doivent pas avoir de lien avec lui… Clound et Mint, eux qui défient cette règle, sont différents. Ils n'ont rien à voir avec les autres. Trop égocentriques, trop pénibles. Sullivan aussi est pénible. C'est sans doute pour cela qu'il les apprécie. Ils ne sont pas faux. Le rejet leur semble plus agréable que le mensonge et c'est une preuve de courage que First aimerait posséder.

Il compte dans sa tête tandis qu’il recule d’un pas dès que quelqu’un le frôle. Oui, parce que Lulu est phobique. De quoi ? Des autres. Dès que quelqu’un le touche, son premier geste est de reculer, de vouloir fuir. Ne le touchez pas… Vous lui feriez peur… Ne l’approchez pas, vous l’empêcheriez de respirer. Les gens sont sales… Il ne faut pas les laisser près de lui. Son père le lui a dit, trop souvent répété ces mêmes mots… Et puis, il y a eu l’incident quand il était petit. Il a du mal avec la présence des autres élèves et doit parfois courir loin de tout quand il se sent mal. La peur ne se soigne pas si facilement. L'année précédente, l'effort monstrueux d'aller au bal l'a presque rendu fou. Mais peut-être que son cœur qui battait si vite ne frémissait pas que sous la présence de la foule.

Ce n’est pas que le jeune garçon soit quelqu’un de bien. On lui a en effet enseigné des manières d’agir qui sont mauvaises au regard de la plupart des gens. Un gamin qui toise avec froideur, dont les mots gelés blessent les cœurs, un enfant vêtu de noir dont l’âme vacille entre deux manières d’agir et de penser… Chaque jour qui passe, son cœur devient un peu plus sombre et ses prunelles mauves se durcissent un peu plus. La jalousie et la colère sont mauvaises conseillères pour quelqu’un de trop faible et il semblerait que le jeune First en fasse particulièrement bien les frais. Après tout, c’est juste parce qu’il n’a pas assez de volonté tout ça. Et pourtant, à présent, il a l'impression que l'espoir n'est peut-être pas un étranger perdu au loin. Il est encore trop tôt pour promettre son avenir au drame après tout.

Compliqué aussi bien dans sa tête que dans son assiette, l’adolescent est une malédiction pour tout cuisinier de ce nom. Refusant catégoriquement œufs, carottes, bonbons, chocolat, fruits de mer et pommes, il est un cas assez complexe… Malgré tout cela, c’est un fervant mangeur de caramel, qu’il ne prend jamais à trop fortes doses, ordre paternel, mais c’est un réel plaisir gustatif pour lui. Mâchouiller des caramels mous, à l’abri des regards indiscrets bien sûr. Les animaux l'agacent, sa phobie se traduisant également à leur égard. A force, il s'était cependant habitué à se servir de coussin pour le chat de Rain. De toute manière, la sale bête le griffait s'il refusait.

L'on ne peut croire à tout ce qui se déroule sous nos yeux. Pourtant, la guerre n'est pas une illusion. Cela, Leonard l'a remarqué. Il a le souvenir de la peur et de l'injustice. Les mains des enfants s'accrochant à lui dans l'espoir d'un secours qui ne viendrait jamais. Les corps d'autres, étendus plus loin, preuve que la mort frappe sans distinction. Cela lui a donné envie de réfléchir par lui-même, de cesser de suivre des idées qui n'étaient pas les siennes. Pas directement, jamais directement. Le regard de son père pèse bien trop. Cependant, il s'est renseigné sur l'état du monde, il a commencé à lire les journaux tout en comprenant où était le mensonge. First n'a pas de rêve autre que la liberté. Mais il comprend que ce n'est pas le cas d'autres personnes. Et lui aussi, il aimerait voir plus loin. En être capable. Peut-être même, qui sait, vivre avec Sullivan plus tard. You're hopeless, Leonard~

{°V Physique°}

Son regard attirera votre oeil, de façon évidente. Une sorte d'obligation. Vous savez que l'on ne vous contraint pas à le faire mais vous ne pouvez vous retenir. Une anomalie génétique de la pigmentation fait que les yeux de Leonard sont d'un violet brillant. Tous les hommes sont ainsi chez les First. Une tare qui est, d'après les plus âgés, un présent merveilleux. Ainsi, cela prouve qu'ils sont membres de la noble famille de sang-pur que le garçon abhorre tant. C'est presque de la honte. Tapie dans son ventre à chaque fois que quelqu'un grimace ou lui demande 'pourquoi'. Ce mot, il ne le supporte plus. Qu'il vienne de son père , qui est incapable de voir que son enfant n'est pas sa réplique, de ses deux amis, qui ne voient pas que la guerre a tout détruit... Ou même de Sullivan. Ils savent tous les deux Pourquoi est-ce qu'ils ne peuvent Pas être ensemble. Ça ne sert à rien de continuer à demander pourquoi. Si ce n'est cela, l'on remarquera que la poussée de croissance tant attendue n'est pas encore venue. Quoiqu'il se console en se disant qu'avec son mètre soixante-cinq, il dépasse tout de même largement -ce qui n'est pas tellement difficile par ailleurs - Clound. Son poids est correct. Il est assez fin de toute manière, sans doute parce qu'il est pénible en ce qui concerne la nourriture. Heureusement, il est loin de ressembler un squelette. Cependant, ne vous attendez pas à le voir faire preuve d'une quelconque force. Il serait bien incapable de renvoyer un cognard comme le fait Sullivan. Ou de porter une pile de livres aussi facilement que Cassandre ou Rain en sont capables. En fait, lui s'assommerait sans doute. Sans être terriblement maladroit, il a tout de même du mal avec les choses simples parfois.

Sa chevelure sombre lui vient de sa mère. Au lieu de la couper comme cette dernière le souhaite, il la laisse pousser, l'observant prendre de plus en plus d'importance sans oser y toucher. C'est une sorte de provocation. Il veut voir jusqu'à où on le laissera aller avant de lui couper de force en disant que ce n'est pas convenable. Rien ne l'est jamais de toute manière. Ses expressions sont le plus souvent calmes, parce qu'il le haut. De la neutralité forcée doit être présente en permanence, ne pouvant être remplacée que par de la colère. En théorie tout du moins. Il a expérimenté le sourire, forcé ou vaguement amusé, la peur et tellement d'autres à Malwen. Rien ne semble plus pouvoir se raccorder aux anciens schémas. Pourtant, le calme domine toujours. Avec cette pointe de supériorité présente dans son caractère et là pour embêter Sullivan. Ses traits fins sont la preuve de sa jeunesse encore présente, tout du moins dans son corps. Ses doigts sont ceux d'un pianiste et il porte des gants à la moindre baisse de température pour leur assurer une certaine protection. Même s'il ne l'avouera jamais, il aime sentir la paume de sa batteuse favorite contre la sienne. Leurs peaux sont aussi différentes que leurs personnalités. Le jeune garçon se sent presque fragile lorsque la poigne déterminée de sa condisciple le guide au travers des couloirs. Sa voix est encore assez androgyne, vaguement hautaine et acide. Ce qui fait que la majorité de ce qu'il dit devient forcément une provocation aux yeux de ceux qui l'entourent. Qu'importe, ce n'est pas loin de la vérité après tout.

Les autres élèves lui semblent toujours un brin étrange avec leurs jeans, baskets et t-shirt. Leurs couleurs flashy, qui témoignent par ailleurs d'un manque de goût évident pour First, tellement bizarres. Lui, forcé à vivre avec des chemises, souliers et simples pantalons semble vivre dans un autre temps par rapport à la mode. Enfin, à ses yeux, il est parfaitement normal. Cette année, il a décidé qu'il mettrait moins de noir, plus de pâle. Qu'importe qu'il faille honorer les morts en utilisant la couleur des ténèbres. Il estime que pleurer ne changera rien. Et s'en souvenir non plus.


Il n’y a aucun choix. Aucune liberté ni réalité. Tout a été réduit en poussière, Sullivan. Je ne veux pas revenir. Pas quand des pierres neuves ont déjà remplacé les anciennes. Je ne peux souffrir la vue de l’herbe où le sang s’écoulait lorsque nous tentions de fuir, moi, Mint et Clound. Personne ne devrait vivre ça. Surtout pas moi. Mon jeune âge devait me protéger. Les autorités le devaient. Aucun individu n’est venu à notre secours. Nous nous sommes retrouvés avec la responsabilités de plus jeunes encore que nous. Perdus au milieu d’un lieu connu devenu cauchemar. Il m’est impossible d’y retourner. La peur est tellement présente.Mint m’a dit que tu avais survécu. A ce propos, mon géniteur et moi avons parlé de ce qui s’était passé. Il est, d’après lui, dommage que tu sois vivante. Toi et tous les autres enfants de moldus. Vous auriez… Il aurait été plus simple pour le monde sorcier que vous disparaissiez. Quelle hérésie que de tenir de quels propos… Accuse moi, Sullivan. Décrète devant tous que je suis foolish, insupportable mais, je te prierai de ne jamais m'associer à des horreurs aussi flagrantes. Même si t'exprimait ainsi, de toute manière, ce ne serait que mensonges. Tu ne connais rien de ma personne. Pas une once de mon passé et de mes raisons.

Pas que tant de choses soient bonnes à être racontées en ce qui me concerne. Je suis né First et First je demeure. Mon père me fait frémir et je crois que la réaction qu'il t'inspire est plus ou moins équivalente à la mienne. Cela a été visible lorsque je t'étais dit qu'il m'avait blessé l'année précédente. Ma génitrice n'a pas été présente. Trop de choses à découvrir. Une absence de temps regrettable. Je suis l'héritier, Sullivan. C'est ma seule raison d'être. Je ne peux pas fuir cela ; Personne ne prendrait ma place si détestée. Des gouvernantes m'ont élevées, des précepteurs m'ont enseignés. Je n'ai jamais eu autre chose à faire qu'obéir, me plier à la ce qui était le mieux pour moi, d'après eux. Les ordres de mon père étaient stricts. Il n'y avait pas d'alternative. Mes relations avec le milieu parental étaient simples. Ma mère ne s'est jamais intéressée qu'à elle-même. Mon côté superficiel que tu aimes tant critiquer vient sans doute de là. Je ne sais pas ce que je tiens de mon père autre que mon regard et j'espère ne jamais le savoir. Pourtant, je n'étais pas malheureux. Juste prisonnier. La liberté est venue par les leçons de piano. Je les trouvais terrifiantes à l'époque. Mon professeur était d'une sévérité agaçante. Peut-être que je jouerai pour toi un jour. Quoique... Il m'étonnerait que tu saches apprécier la musique classique que je joue avec tant de grâce.

Tant de choses me viennent tandis que j'écris. Tu pourrais savoir, enfin, pourquoi les autres me font si peur. Cependant, tes moqueries sont agaçantes et pour cette raison, tu ne sauras que le minimum. Mon cher cousin m'a effrayé alors que j'étais enfant et j'ai chuté du rebord de fenêtre sur lequel j'étais assis. Mon bras s'est cassé, nous étions tout de même au premier étage et à l'hôpital, tout ce monde qui bougeait et qui m'oppressait m'a fait perdre l'esprit. Ceci est arrivé un peu avant Malwen, il me semble. Le simple contact, les bactéries, le mal. Cela me rend malade depuis. Peut-être que tes coups sont trop violents, et mal-élevés, pour que je le réalise mais la sensation de dégoût est bien moins forte lorsque je suis en ta présence. Ce qui, nous sommes d'accord je présume, ne signifie rien du tout.

Malwen. Qu'en dire? Envoyé à l'infirmerie quelques jours après la rentrée pour crise d'agoraphobie j'ai rencontré Cassandre Mint et Rain Clound. Je n'avais rien en commun avec eux, si ce n'est que je semblais bizarre. Non, que je l'étais, tout simplement. Même si cela ne contredit absolument pas mon statut de sang-pur, dont je tire une légère fierté presque invisible que tu n'auras sans doute pas remarqué. Des rumeurs circulaient sur moi, parce que j'étais, et c'est toujours le cas, l'héritier First. A l'époque, je crois bien que je me disais que n'importe quelle autre stupidité vaudrait mieux que ces histoires sur moi et ma famille si pure et parfaite. J'avais tort. Après avoir repoussé dix invitations, ma foi charmantes, d'amitié avec d'autres personne de mon rang social, il a fallu que je fasse une crise d'agoraphobie juste devant une Nissena écervelée et violente. Toi. Une mauvaise fortune évidente qui m'a amenée à avoir cet étrange lien, absolument non-désiré, avec ta personne. En plus, tu osais dire que j'étais prétentieux. Ma chère Sullivan, si aveugle à ses propres défauts. Nous avons évolué, lentement. Les années ont passé et la guerre est arrivée. Je ne l'ai pas remarqué, au début. Les signes sont restés dans l'ombre. Ta présence était déjà un tel trouble. Plus par la faute de mon père que par la tienne.

Tout cela me terrifie encore Pour l'instant, il m'est impossible de te raconter ce qui s'est passé. La... Le doute qui nous a traversé, alors que nous cherchions à fuir. Les sorts lancés. Mint qui a lancé un sort impardonnable pour nous protéger, sans ciller. Pendant quelques secondes, aussi stupide que cela paraisse, j'ai pensé qu'il allait nous achever ensuite. Cela ne s'est pas produit. Nous sommes tombés. Avons été rattrapés, uniquement pour chuter de nouveau. Je me souviens des hurlements de Rain, de sa frayeur. Des enfants qui pleuraient en le regardant. Et du calme de Cassandre, de sa capacité à gérer la situation. Je ne suis pas ainsi, il n'y a pas la moindre once de courage en moi. J'ai pensé m'évanouir lorsque l'on m'a demandé d'aider. A l'hôpital, trop de monde était présent. J'ai attendu mon père. Il ne s'est pas donné la peine de se déplacer. Un employé a fait l'affaire. Le sort de son unique enfant importe donc aussi peu à ses yeux? Je ne sais pas ce qui s'est passé pour toi. Comment tu t'es sortie de tout ça.

Ce courrier est une erreur. Une anormalité étonnante dans mon existence. Jamais je ne devrais te dire tout cela. Et pourtant, je sais que vais t'envoyer cette lettre. Juste... Pour que tu saches que la vérité n'existe pas selon moi. Je ne sais pas ce que j'attends de tout cela. Peut-être ta réaction sera t-elle un rire. Au final, quelque soit nos choix, nos routes semblent toujours finir par se croiser, Sullivan. Et... Si je reviens cette année, j'espère que tu seras encore là pour me torturer mentalement et physiquement. Bien sûr, ma pauvre personne ne se laissera pas faire par tes remarques souvent dénuées de sens.

Prends soin de toi.
First Leonard.