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 James G._ life is a war.

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James Grey
James Grey

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MessageSujet: James G._ life is a war. James G._ life is a war.  Icon_minitimeLun 25 Oct - 5:55

James G._ life is a war.  Shizuoizayadurarara1232


James G._ life is a war.  Sanstitre2hy


  • NOM : GREY.
    PRENOM : James Thomas Avery
    SURNOM(S) : Souvent surnommé "idiot", "abruti" et d'autres petits adjectifs aussi adorables, le jeune homme est surtout appelé "Nounours", par sa cerisette préférée. Quelques fans addict de lui le surnomment Jamesounet.
    ÂGE : Dix huit ans déjà.
    LIEU D'HABITATION : Intégré à l'âge de six ans, James habite dans un orphelinat environnant la grande ville de New-York. Paisible et joli, c'est un établissement qui ressemble beaucoup à une école. Il est tenu par Delilah Hopkins depuis quelques années, à la mort du fondateur.
    DATE DE NAISSANCE : Le treize mars 92 d'un vendredi particulièrement pluvieux, à Chicago.
    PURETE DU SANG : Sang-mêlé, et franchement, il en a rien à faire.



James G._ life is a war.  Swel


  • ANNEE : Septième année.
    MAISON : Cohary.
    BAGUETTE MAGIQUE : La première baguette magique dont a hérité James était celle de son père. Cependant, il a insisté pour en vouloir une à lui, et il la obtenue : bois de cerisier et crin de licorne, rigide, vingt huit centimètres. Le vendeur lui avait raconté que son grand-père, qui l'avait fabriqué, avait reçue un coup de sabot dans le nez lorsqu'il avait pris le crin. Il lui avait dit que la licorne reviendrait se venger. Delilah l'avait presque agressé, le qualifiant d'infâme petit bonhomme, mais James, malgré sa réticence, l'avait gardé.
    MATIERES PREFEREES/DETESTEES : Il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises matières pour James. En fait, il les regroupe toutes dans un même sac : matières où je suis décidemment trop nul.
    ANIMAL DE COMPAGNIE : Il possédait un rat nommé Ted, qui squattait sa chambre à l'orphelinat. Mais il est mort. D'une overdose de graines. James s'en veut beaucoup.
    PATRONUS : Un énorme chat mince et argenté. Sachant qu'il ne supporte ni l'eau, ni les oiseaux, c'est avec plaisir et complicité qu'il a accueilli son patronus corporel.


James G._ life is a war.  Charac


  • QUALITES/DEFAUTS : A l’écoute, généreux, courageux, sympathique, franc, persévérant, ambitieux, marrant / Rancunier, parfois très possessif, jaloux, sarcastique, horriblement fier suivant la situation, un brin susceptible, solitaire quelques fois, lourd, paresseux, gourmand, maladroit, impulsif, indifférent parfois, amoureux.
    PHYSIQUE : Si on peut appeler ça un physique.

    Non, j’exagère. James n’est pas moche. Il est… banal. Que dis-je ? Plutôt simple. Il n’est pas particulièrement beau, ni horrible. Mais il possède un charme. Ce charme. LE charme. Discret.

    James a un visage fin. Il a perdu toutes les rondeurs du visage d’enfant. Il a des traits agréables. Son teint est pâle, ses sourcils fins et ses yeux d’une couleur extrêmement sombre, d’un marron profond, ainsi que des cils épais. Ils ont quelques fois l’air endormis ou blasés, mais la plupart du temps, ils sont rieurs. On lui a dit un jour qu’il avait presque un regard féminin, mais captivant. Cependant, ça l’a vexé énormément. Son nez est un peu pointu, qui rougit facilement au froid, pour ne pas dire directement au moindre petit coup de vent. Mais ça ne gâche rien. Ses lèvres sont fines, malgré une légère protubérance sur celle inférieure, douces et rose. Ses cheveux sont noirs, en bataille, rarement coiffés… De nombreuses mèches viennent boucher sa vue. Ils détestent qu’on les ébouriffe. Ni qu’on les touche d’ailleurs. Ils sont fins et raides, avec un certain volume.

    L’ensemble du corps de James Grey paraît frêle sous ses vêtements. Non, ce n’est pas le modèle musclé et ravageur auprès des filles. Le jeune homme a cependant subi quelques changements très positifs. Non seulement il est beaucoup moins mince qu'avant, mais le monsieur se trouve presque bien foutu. James ne prendra pas plaisir à se balader torse nu seulement pour que l'on remarque cette nouvelle carrure. Il est discret. Il a CE charme, celui dont je vous parlais. Peut-être ce charme qu’il ignore justement. Un charme mis de côté, un charme ignoré, un charme dont on ne profite pas. C’est ce charme qu’il a. Un charme d’indifférence. Mais qui n’indiffère pas. Enfin, qui n’indiffère pas ceux qui le remarquent. Et ceux qui le remarquent sont peu nombreux ! En fait, peut-être même personne. Il s’en fiche, James, de plaire. On le prend comme il est ou rien. Il n’aime pas changer pour les autres. Pour revenir à son aspect global, on peut dire qu’il porte bien les chemises. Ça lui va bien. Il n’aime pas les arranger d’ailleurs. Il est sans arrêt débraillé, parfois même la braguette ouverte, la cravate de travers – ça c’est fréquemment, puisqu’il n’est pas très habile de ses mains-. D’ailleurs, parlons-en, de ses mains ! Elles sont très douces. Très grandes. Très fines. Oui, ses mains sont belles. Mais il s’en fiche. Après tout, il est maladroit avec elles. Il ne sait pas vraiment quoi en faire, parfois.

    James a des manies. Beaucoup de manies ! Ça exaspère ou ça adoucit, très rarement ça agace. Quand il est nerveux, il bat du pied, comme sur une musique. Ou alors il joue avec une plume entre ses doigts. Il ne se ronge pas les ongles, il déteste ça ! Quand il a honte, il rougit fortement et il se racle la gorge. Et ça, ça agace beaucoup de ses proches ! Ce bruit-là, c’est insupportable ! Il le fait pourtant, James ne peut pas l’arrêter. Ou alors il ravale bruyamment sa salive. Ou lorsqu’il desserre sa cravate d’écolier. Enfant, il avait l’habitude d’enfouir son visage dans une éternelle écharpe, pour cacher son teint cramoisi. Eh bien, aujourd’hui, c’est pareil. Sauf qu’il délaisse les vêtements pour ses mains. C’est mignon, ça apaise les autres. C’est comme pour montrer qu’on est éternellement un gamin… surtout James.

    James n’aime pas le sport. Il n’en pratique pas. Il aime le regarder, mais il se fiche d’en faire. Il mange comme douze convives, mais il ne prend pas un gramme. Peut-être parce que, malgré qu’il soit paresseux comme jamais quelques fois, il aime être en mouvement. On a du mal à le suivre. Il change et rechange d’idées. Alors cette énergie là, ça doit l’aider à brûler les calories.

    • En somme, à retenir : Grand, débraillé. MAAIS, doté d’un charme léger.

    Petit détail : Il a une grande cicatrice dans le dos, souvenir de la guerre.
    CARACTERE :
    Si James vous paraît intelligent, adroit et cultivé, c'est qu'il a deux explications : soit vous êtes en plein rêve, soit vous êtes aussi illusionné que lui.

    Car non, James ne possède pas un QI très développé. Il a autant d'équilibre sur ces deux pieds qu'un bébé de deux semaines et ne connaît que des choses qui semblent inutiles. C'est ça, qui décrit peut-être le mieux James : inutile. Au premier abord, pour quelqu'un qui insupporte les enfantillages, il sera très dur de pouvoir s'encadrer le jeune homme. Homme ! Gamin plutôt. James passe son temps à s'amuser et à faire de mauvaises blagues. Il a un humour particulier et on ne rit pas toujours avec lui. Par contre, il possède le don de faire rire les gens par ses mimiques. James est en effet très sensible, et il est facile de voir qu'il est très gêné ou qu'il ment. Ca a tendance à provoquer le rire... ou la colère.

    Et c'est inouï chez James. Il ne peut PAS vous laissez indifférent. Au pire, vous le détesterez, ou vous l'aimerez. Mais il est très rare que James ne provoque rien en vous. Extrêmement sociable, il va avec plaisir vers les gens et se révèle être quelqu'un d'attentionné et de plus mâture qu'on ose se l'avouer. Au fond, ça rassure de voir ce petit énergumène s'agiter dans tous les sens. De voir qu'il y a toujours cet imbécile pour s'esclaffer, s'énerver ou rougir jusqu'aux oreilles. Il est imparfait et cette imperfection là apporte forcément quelque chose. Au final, on ne peut plus vraiment dire que James est inutile. Car bien même il est rancunier, impulsif et paresseux, un James peut en cacher un autre.

    Franc, sympathique, persévérant, James n'est pas non plus une grosse larve et quand il a une idée en tête, il est dur de lui enlever ! Buté, déterminé, il a tendance à réfléchir après avoir agi, ce qui lui vaut cette mauvaise réputation de sans cervelle. Et s'il est la plupart du temps poli, James peut se montrer carrément imbuvable et sarcastique, ce qui peut déstabiliser les gens qui ont l'habitude de le voir bafouiller quelques répliques sans incidences. Jaloux, susceptible, Grey dernier du nom n'est pas un exemple et ne le sera jamais. En fait, ce serait presque un rebelle dans sa head s'il n'était pas aussi gentil (oui parce qu'il l'est).

    James n'est pas si idiot que ce qu'il affiche. Il peut très bien avoir de meilleurs résultats, mais tout son mécanisme est régit par sa paresse légendaire. S'il peut dormir entre deux cours, il le fera, si ce n'est pour récupérer un peu d'énergie. S'il peut se passer de faire quelque chose, il croisera les bras et s'allongera confortablement dans un des fauteuils de la salle commune. Il aime ce genre de petits plaisirs simples autant que ceux qui sont exceptionnels. Généreux, altruiste, il aime venir en aide aux autres lorsqu'il le peut. Cependant, James se révèle être quelqu'un de solitaire pendant certaines périodes où, si vous allez vers lui, il se montrera plus sérieux et réfléchi.
    James est quelqu'un d'extrêmement possessif. En fait, dès qu'il voit que ses proches s'intéressent à quelqu'un d'autre, il ressent une certaine peur. Alors il se met à détester l'abruti que les autres adulent et n'arrête pas de le discriminer. C'est mal vu mais James sent comme une menace. Cependant, c'est très rare qu'il se mette à haïr quelqu'un sans raison, car il en trouvera toujours une.

    James est le stéréotype parfait du mec maladroit. Gaffeur, rougissant, il est très mal à l'aise avec les filles depuis son entrée à Malwen mais gagne de plus en plus d'assurance au fil du temps. En effet, avec la guerre, James a apprit à grandir et à profiter un peu plus de la vie. A la limite du philosophique, il sera plus posé et mâture.


James G._ life is a war.  Storygp


James G._ life is a war.  Jammmmmmes

    La main se tend mais ne se referme sur rien. Rien que du vent, du vide, du néant. Elle est encore petite, innocente, elle veut, elle cherche. Mais rien ne vient, rien ne l'attrape. Et puis elle tombe, comme cet espoir.

    "Que faisaient tes parents dans la vie, James ?". Il ne répond pas, se contente de sourire et de refermer la porte. Il soupire et songe à la question. Que faisaient-ils au moment où il avait eu le plus besoin d'eux ? Parlaient-ils encore de cette petite maison en France qu'ils voulaient acheter ? Parlaient-ils de ce joli dessin que leur avait fait Neven ? Parlaient-ils de lui ? Ils parlaient d'avenir sûrement, comme font tous ces couples, construisaient un futur impossible, inexistant. Comme cet espoir.

    Nous l'appellerons James Thomas Avery Grey, déclara madame Grey en repliant avec soin les quelques vêtements qu'on lui avait offert. C'était une femme indépendante, aimable et sympathique. Elle était infirmière dans un hôpital moldu et avait un rêve. Un rêve mélodieux que tout le monde souhaitait lui voir réaliser. Après, tout, pourquoi ne profiterait-elle pas d'une vie de famille légère et d'un bonheur sans fin ? Elle était quelqu'un de bon, d'altruiste, de généreux. Son mari ne dérobait pas non plus à cela. C'était quelqu'un de drôle, d'enfantin et d'intelligent. Ils formaient tous deux un couple parfait, et avaient déjà un petit garçon de deux ans. Il s'appelait Neven, il était joyeux, quelque fois capricieux, un peu téméraire, très maladroit. Et lorsque sa mère accoucha de son petit frère James, il s'accrochait au landau comme s'il avait peur qu'il s'en aille. Il le regardait d'un regard brillant, rêveur. "Je ne jouerais plus jamais au foot tout seul !". Et ils riaient, dans ce tableau parfait à en faire envier Da Vinci.


    "Elle est jolie cette photo, James ! C'est toi, là, au milieu ?"
    L'interpelé se contenta de tourner la tête vers la petite fille. Assis sur la balançoire, il avait été surpris par sa voix fluette et naïve, qui regardait avec intérêt l'image que tenait ce grand gaillard dans sa main. Il hocha la tête en signe d'approbation, un peu gêné, tandis qu'elle souriait à son "grand frère". Oui. C'était lui là, dans les bras de cette femme. Cette petite tâche sur la toile que l'artiste n'a pas su enlever.

    "Le premier dans le hall a gagné !". Du haut de ses quatre ans, James dévisagea pendant une seconde son grand frère qui dévalait déjà à toute vitesse les escaliers qui menait au salon. Sans arrêt la compétition, sans arrêt la course. Il en avait assez, surtout qu'il perdait souvent. C'était fatiguant, inutile. James savait déjà que Neven était plus rapide. Il était plus grand que lui, c'était facile. Et puis, pourquoi se presser ? Prendre son temps, c'est plus agréable. On ne va qu'au zoo, après tout ! Maman insiste pour qu'on y aille. Voir des animaux en cage, quelle occupation ! Il soupira et glissa sur la rambarde.
    "Regarde cet ours, James !" criait Neven. "Il est grand, il pourrait te manger". James soupira et répliqua qu'il préférait les blonds bavards et enquiquinants, ce qui eut l'effet immédiat de faire taire son grand frère. Madame Grey était juste derrière lui, lui caressant avec amour ses cheveux bruns. Il aimait sentir son odeur et l'entendre dire qu'elle préférait son ours en peluche à celui-ci. Et puis son regard chocolat rencontra celui de l'animal. Il ne sait pas exactement combien ce duel dura, mais lorsqu'il prit fin, James était chamboulé. "Dis Maman, pourquoi l'ours il est en cage ?". Elle hésita. "Pour ne pas qu'il s'en aille, mon chéri.". Il renchérit. "Et pourquoi il ne pourrait pas partir ? Pourquoi il est enfermé ? Pourquoi il ne pourrait pas aller voir sa maman ?". A force de question, sa voix légère s'élevait, attirant le regard curieux des passants. Et dans une énième interrogation, les barreaux de la cage de l'ours se plièrent.

    "Ton fils est comme toi ! C'était pas prévu, tu m'avais dis qu'il y avait très peu de chances qu'il fasse parti de... de cette racaille !". Madame Grey faisait face à son mari, pris au dépourvu. Et dans un élan de colère, il éleva la voix. "Qu'est-ce que ça change que ton fils soit différent, exceptionnel ?". Une gifle partit, et James, spectateur, se promit d'être le plus sage possible pour ne jamais en recevoir de telle. "Neven aussi est exceptionnel !" et elle se dirigea vers sa chambre, ignorant son plus jeune fils. Son père l'appela doucement, l'enlaça et lui dit de regarder la télévision. L'ours qui s'était échappé avait été renvoyé dans un meilleur endroit.


    "James, range cette baguette. Les enfants vont vouloir jouer avec et je n'ai pas spécialement envie de devoir leur raconter des salades."
    Le jeune homme soupira, l'air ennuyé, en marmonnant qu'il avait hâte d'être à septembre. "Tu dois être un des seuls à vouloir rentrer à l'école. Tu m'enverras des lettres, hum ?". Chaque semaine, comme d'habitude, à mademoiselle Delilah. Et il ajouta "Tu devrais peut-être ranger la tienne aussi, non ?"

    La porte se claque et James la contemple. Une fois de plus, Madame Grey est sortie entraîner Neven au foot. Monsieur Grey est là mais travaille, il essaie de lancer son entreprise magique. Il l'a déjà dérangé pour qu'il lui montre encore des étincelles avec son bâton, maintenant, il doit s'occuper tout seul. Il monte, lentement, dans la chambre de Neven. Elle brille de milles feux, à cause des reflets que provoquent le soleil contre toutes ses petites coupes. Il envoie des ballons dans une cage et James sait faire plier des barreaux d'acier, mais c'est Neven le plus fort. Toujours et encore. Madame Grey est froide, distante avec James, comme s'il allait lui faire du mal. Pourquoi approche-t-elle Monsieur Grey ? Peut-être parce qu'il a une emprise sur son pouvoir. Peut-être parce qu'elle l'aime. Et puis...
    "James ! On va à la rivière !"
    Maudite rivière.

    Les parents Grey discutent, et Neven a entraîné James au bord de la rivière. Le courant est fort, mais on distingue ces petits têtards qui flottent tout proche. "On fait un concours !" James se renfrogne, mais s'il gagne, peut-être que Maman le félicitera ! Ca fait deux ans qu'elle ne lui a pas dit qu'elle l'aimait très fort. Elle lui a fait quelques baisers, ici et là, mais rien de plus. Nourri par cette volonté nouvelle, James accepte. Il est certain de gagner, cette fois-ci, c'est la bonne ! Mais si Neven est aussi motivé que lui, ce n'est pas pour rien. Adversaire jusqu'au cou, il voit se faufiler sous une très grosse pierre une grenouille. Le plus têtard ? Trop facile ! Une grenouille, assurance de victoire et de gloire ! Il met un pied dans l'eau, se cambre un peu, tire de toutes ses forces et parvient à faire bouger ce fichu roc. La grenouille est partie. Son équilibre aussi.
    Neven tombe dans un cri et James accourt. La main se tend mais ne se referme sur rien. Rien que du vent, du vide, du néant. Elle est encore petite, innocente, elle veut, elle cherche. Mais rien ne vient, rien ne l'attrape. Et puis elle tombe, comme cet espoir. Le corps frêle de son frère et inanimé se laisse bercer par la rivière qui l'emporte dans un long lit rouge. Trahi par son envie de gagner, Neven s'endort. Comme cet espoir qui s'était éveillé quelques temps chez James. Il disparaît de nouveau, et sa promesse est brisée. La main sèche de sa mère s'abat lourdement sur sa joue, sous le ciel obscurcit, illuminé par les sirènes des pompiers.

    C'est triste à la maison. Même la chambre de Neven ne brille plus. Il n'y a plus de soleil, plus de lumières, plus de rires. Monsieur Grey travaille tout le temps et Madame Grey reste allongé sur le lit de son fils désormais décédé. Mais un jour, elle est partie. Sans rien dire, en laissant un simple bout de papier sur la table. Et quelques mois après, Monsieur Grey est allé rejoindre Neven.
    Alors c'est ça, la solitude. Perdre espoir. Orphelin. A tout juste six ans.

    "Je m'appelle Delilah." Elle est grande, gentille, chaleureuse et elle a le même parfum que Maman. La main se tend et se referme sur la sienne. L'équilibre est reprit. L'espoir renaît. Il a une famille maintenant.
    Assis sur la balançoire qui grince, le petit garçon ne bouge pas, se contente simplement de fixer le ciel qui commence à se dégager. Il a beaucoup plu, le vent a soufflé et a même déraciné un arbre. Il est tombé, comme l'espoir de Delilah, qui espère trouver une famille à James. Il s'en fiche, il n'en veut pas. Sa vraie famille, elle est ici, depuis cinq ans maintenant. Une forme se dessine dans le bleu du ciel. Un oiseau. Instinctivement, James ravale sa salive et pâlit. Encore ces satanés rapaces.
    Mais c'est un hibou qui se pose sur ses genoux. Monsieur Grey en avait un aussi. Il était blanc, il était beau. Lui paraît fatigué. Il tient une lettre dans son bec. Une lettre qui lui ouvre de nouvelles portes.
    Celles de Malwen.
    Il grandit paisiblement aux côtés de Moly et Cherry, ses meilleures amies. Se fera des ennemis, des connaissances. En ignorera certain, rencontrera un homme extraordinaire et combattra contre lui, pour finalement se retrouver face à une horreur à laquelle il ne s'attendait pas. Désordre, colère. La guerre est déclarée. Elle arrive, semblable à une tornade. Violente, sanglante. Et ce regard qui croise le sien, pour se fermer devant lui. Il fut sa dernière image.

    Que faisais-tu ?


    "JAMES REVEILLE TOI !"
    Il se réveille en sueur, la tête qui lui tourne, l'écho de sa propre voix hurlant qu'il n'a rien pu faire résonnant encore dans ses oreilles et l'engourdissement inévitable de cette cicatrice dans son dos lui valant un petit gémissement de douleur. Ses yeux rencontrent ceux de Delilah, qui trahissent son inquiétude, de nouveau sur le rebord de son lit. Encore ce rêve, ce putain de rêve. Foutue guerre, foutue vie. Toutes ses certitudes s'effondrent, en même temps que Malwen.

    Et puis, il y a eu Swelty. Nouvel espoir. Nouvel horizon.
    "Tu n'as pas peur ?" Il se contente de sourire timidement, car il n'a pas de réponse à sa question. Il continue simplement de faire rouler sa valise sur les marches et d'adresser un simple au revoir de la main à l'orphelinat avant de se retourner définitivemnt. En montant dans le taxi, son dos lui fit horriblement mal.


James G._ life is a war.  Thebossj


    Mon pitit nom c'est MEL, je SURKEEF ce forum, je l'ai connu par son fondateur et si j'devais mettre une note je la mettrais quand y'aura plus de trucs ! Ha, et le design rox sa mémé sur skateboard.


Dernière édition par James Grey le Mar 26 Oct - 20:26, édité 20 fois
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Grey Nox
Grey Nox
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MessageSujet: Re: James G._ life is a war. James G._ life is a war.  Icon_minitimeLun 25 Oct - 8:55

J'ai envie de dire: J'aime ._.
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James Grey
James Grey

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MessageSujet: Re: James G._ life is a war. James G._ life is a war.  Icon_minitimeLun 25 Oct - 9:14

    Merci Grey xD
    Bon, c'est nul, caca, burk pouah, c'est bâclé mais c'est trop fatiguant et j'laisse du suspence. Soo, fiche FINISH mes bichons : D
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Cherry Colven
Cherry Colven
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MessageSujet: Re: James G._ life is a war. James G._ life is a war.  Icon_minitimeLun 25 Oct - 15:41

* Cherry qui se pointe avec son compte aucunement muni d'un avatar ou d'une signa ( la honte ) [Bwahaha plus maintenant] *

MON GROS NOUNOURS!
MON BEAU FORUM!
Comme j'ai eu peur de vous perdre...
Sinon, j'ai pas lu je suis trop fatiguée pour mais demain ce sera la première chose que je ferais =3!
J'ai très hate de re-rp avec toi!
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Emma Rosefild
Emma Rosefild
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MessageSujet: Re: James G._ life is a war. James G._ life is a war.  Icon_minitimeLun 25 Oct - 23:55

J'adore ta fiche et te souhaite la bienvenu ! *j'dis ça mais j'ai toujours pas fini ma fiche, la honte ._.*
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Darren Swelty
Darren Swelty
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MessageSujet: Re: James G._ life is a war. James G._ life is a war.  Icon_minitimeMer 27 Oct - 4:47

Superbe fiche Very Happy
Bienvenue à Swelty...

*donne la cape noire à James qui se transforme en marron...*

COHARY !
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James Grey
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MessageSujet: Re: James G._ life is a war. James G._ life is a war.  Icon_minitimeMer 27 Oct - 4:53

    MERCIII <3
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MessageSujet: Re: James G._ life is a war. James G._ life is a war.  Icon_minitime

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