Nom : Bastien.
Prénom : Julie.
Âge : 17 ans.
Date de naissance : 08 mars .

A Swelty, Ecole de sorcellerie.

Année : Septième année.
Maison : Nissena
Baguette magique : 28,3 centimètres; bois de saule, écaille de dragon.
Matières préférées : La divination et la métamorphose.
Matières détestées : Les potions, la défense contre les forces du mal.
Orientation sexuelle : « Je n’aime pas les étiquettes, donc inutile de me poser la question. » vous dira-t-elle. C’est surtout pour vous cacher que les seuls hommes qu’elle a embrassé dans sa vie sont son frère jumeau Dominic Bastien (sans perversion hein!), et le soi-disant petit ami de ce dernier, Rupert Yaxley, mort dans l’ancienne Malwen. C’est pas forcément très glorieux comme résultat.
Animal : Un chat gris appelé Merlin.

Mais qui est vraiment Julie Bastien ?

Physique :
Julie descend tranquillement les escaliers du château pour se rendre dans la Grande Salle. « Elle est pas vilaine Julie! » « Ouais tu m‘étonnes! » « Boaf, elle est pas si grande! ». Là, elle se retourne et vous contemple, vous et votre petite bande ridicule de joyeux sorciers. Joyeux ? C’était avant, ça. Avant qu’elle ne s’aperçoive que vous la reluquiez, mais en plus, c’était avant qu’elle ne vous entende parler de son physique et que l’un d’entre vous ose dire qu’elle n’était… quoi déjà ? « Pas si grande » ?? Elle se dirige vers vous, un regard de furie, la démarche assurée; tout dans ses mouvements vous montre que vous allez passer un mauvais moment. Son élégance, la légèreté de ses pas (même si elle vient toujours pour vous tuer), elle remue la tête de gauche à droite, ses cheveux virevoltent délicatement; ses cheveux blonds, soyeux, splendides. Assassine, elle vous stupéfixe du regard, de ses beaux yeux bleus (de glace actuellement). Vous aimeriez vous y plonger, vous y perdre, vous en oubliez qu’elle va vous démonter. Elle approche et enfin, se pose devant vous, lève un peu la tête. En effet, elle n’est pas si grande, peut-être environ 1,63m. C’est déjà pas mal. Vous ne l’écoutez pas parler, vous n’êtes qu’un homme, et rien que ça. Vous bavez, c’est tout. Ses lèvres fines s’articulent (vous n’écoutez toujours pas), elle porte un rouge à lèvre, quelque chose de sauvage, « mures sauvages » exactement. Vous voudriez l’embrasser, mais ne le faites pas (n’osez surtout pas maintenant!). Vous ne l’écoutez toujours pas, elle s’agace, vous jette un sort, et s’en va. Vous tombez, continuez de la regarder, toujours, et puis vous appelez à l’aide, vous avez subi un sortilège de ligotage. *elle s‘impose, et ose se mettre devant son divin créateur* « Je pense que j‘aurais été moins gentille quand même! » Oui Julie, mais c‘est moi qui décide, alors tu restes dans ton coin et tu te coiffes!
Julie Bastien, c’est une jolie chevelure dorée, soyeuse, dans laquelle vous souhaiteriez sans arrêt pouvoir y glisser vos doigts. Geste que vous n’oserez jamais faire, sous peine de mort. Mais dans le cas où vous oseriez faire ce geste (avant de vous retrouver la tête en bas, suspendu à un lustre) vous ne coinceriez jamais votre main dans un nœud indémêlable. Julie c’est une éternité passée à coiffer ses cheveux! Ce n’est pas une obsession, c’est juste un soin qu’elle pense important pour son bien être personnel et pour celui de ses cheveux. Ils « respirent» voyez-vous!
Julie Bastien, c’est aussi des sourcils fins, blonds également, qui donnent un peu de douceur à son caractère, une nuance de chantilly sur un très beau gâteau! MIAM! Un nez tout à fait raisonnable, assez petit, pas de proéminence chez les Bastien!
Pour le restant de son corps, comme nous l’avons déjà dit, Julie n‘est pas très grande * « Oui bah c’est bon, ils ont compris je crois! » *. Contrairement à son frère, elle n’a pas eu une poussée soudaine de croissance quand elle était plus jeune. Sous ses vêtements * « Tu garderas quand même une part d‘intimité hein! Merci. » * (on sait tous, messieurs que c’est-ce que vous attendez depuis tout à l’heure), la jeune sorcière a la peau un peu bronzée, un teint sans doute de famille, et elle-même voue un petit culte à son corps qu’elle tente de rendre le plus agréable possible. Elle prend soi d’elle, et vous le comprendriez rien qu’en voyant la multitude de lotions, crèmes et produits de beautés sur ses étagères. Peu grande * « OUIII, ils ont tous SUPER bien compris! » *, elle tente de sauver les choses en s’entretenant. Il n’y as pas vraiment de cellulite. Hors de questions de voir ça, ça va pas ? Non, elle fait du sport de temps en temps… de temps en temps… bon okay, elle en faisait, avant. *Tout bas à mon oreille « tu veux quoi là ? Me décrédibiliser ? C’est ça que tu veux ?? De toute façon tu me détestes!!! » , part en courant* Sa peau est douce, tellement que vous aimeriez la caresser. « Si tu veux, je te laisse embrasser ma cheville, mais d’abord, tu devras me rendre un petit service! ». C’est une fille, c’est comme ça. Vous êtes un garçon, vous êtes perdant.
Deux piercings à l’oreille droite, un seul à l’oreille gauche. Chacune porte un bijou en forme d’arête de poisson, jaune.

Caractère:
Quand on est jolie, on se doit bien d’en jouer, sinon, c’est pas lucratif comme « business ». Un sens pour les affaires? Affaires de cœur, de manipulation surtout oui. « Fais tout ce dont j’ai envie, et après, peut-être que tu auras le droit de me baiser la main». En gros, c’est un peu ça oui, merci Julie! Ce n’est pas qu’elle se fiche des sentiments d’autrui, elle y porte beaucoup d’attention. Grand cœur, elle aime le monde entier, et arrivera à trouver une once de gentillesse chez les plus méchants, les plus sadiques. Pour elle, tout est beau. Bon, okay, disons les choses telles qu’elles sont; Julie est assez niaise de ce côté-là *Elle déboule et m’assassine de son regard. « Non mais attend! Tu veux qu’on parle de toi un peu?? Ben moi j’vais vous dire, il est pas mieux que moi! Il est même pas capable de détester qui que ce soit cet ahuri. Les bisounours c’est has been mon chéri, réveille-toi! »* Merci Ju’, mais c’est ta fiche qu’on fait là, pas la mienne, donc déguerpit! Excusez-nous, vous savez ce que c’est. Elles se rebiffent ces ptites bêtes là!
Julie est niaise donc, un peu comme moi (SU-PER). Elle aime rire et profiter de la vie. Si elle ne va pas bien, jamais vous ne la verrez s’effondrer devant vous, et la tristesse ne reste jamais longtemps. Besoin de vous remonter le moral, vous pouvez compter sur elle. Et lors des moments sérieux, violons qui pleurent, musique tragique, elle sait garder la tête froide, et vous consoler en employant les bons mots.
Julie est extrêmement brillante. Le travail est important si l’on veut arriver a quelque chose plus tard! Et puis si on veut pas vivre uniquement de l’argent de la famille, il faut bien se faire soi-même un ptit pécule d’argent! Et pour ça, il faut étudier! C’est nécessaire hein! Alors à vos bouquins jeunes étudiants! En tout cas, intelligente, elle l’est plus que son frère Dominic, et lorsque que celui-ci se trouve dans de sales draps, il y a toujours la grande sœur (de quelques secondes son ainées seulement hein, ne l’oublions pas!) pour réparer et limiter les dégâts. Ou alors, elle est là pour les accentuer, rendant une situation cocasse, insurmontable et irréparable. Mais ça, c’est uniquement lorsqu’elle s’ennuie, ça pimente un peu l’atmosphère et ça la fait drôlement rire!
Avec son frère, c’est une mère poule. Pas étonnant, elle a quasiment pris soin de lui lorsque leurs parents et leur sœur sont partis pour ne jamais revenir. C’est normal de veiller avec autant d’attention qu’elle le fait sur son jumeau préféré aux mille et unes gaffes. Quand on est un boulet, on est sans cesse obligé d’être suivi d’un limiteur de dégâts!! Cette sagesse qu’elle a de plus que lui, permet d’instaurer une autorité sur le géant blondinet. C’est avant tout grâce à elle que le jeune homme aux neurones épuisés de tant d’idées folles a réussi à passer en septième année. Si elle ne l’avait pas pousser à ouvrir un tantinet ses livres, il serait encore au stade inférieur, peut-être même serait-il toujours en première année. Cet instinct maternel qu’elle a développé pour son jeune et géant frère la pousse souvent à le protéger des méchants vilains qui abusent parfois de lui.

« Quoi? Qu’est-ce qu’il à mon frère? Je te signale pauvre atrophié du cerveau, que ce garçon que tu vois tombant de son arbre puis rampant dans la boue avant de se frotter à un arbre et se précipitant dans l’étang pour attraper les petites grenouilles, ce garçon là, il vaut bien mieux que toi! Lui au moins il ne passe pas à côté des gens en les critiquant entre copains juste pour se donne un semblant d’importance et une once de rébellion de quoi alimenter un égo sans doute sous-développé ! Alors si t’as quelque chose à redire de mon frère, tu es gentil, d’abord tu rassembles le peu de neurones qu’il te reste en usage pour te demander si t’as vraiment envie de parler de lui et dans le cas où, trop bête, tu persisterais dans ta bêtise, tu comprendrais que c’est à moi que tu aurais affaire. Maintenant, baise-moi les pieds et va-t-en sans me tourner le dos. *Se tournant vers Dominic* Chéri? Il y a une autre petite grenouille toute verte là-bas au milieu de l’étang, regarde, elle te nargue! Éh éh » {sourire perfide}

Avec les autres, et bien c’est assez simple. Plutôt chaleureuse (trempée dans le même moule que son frère) elle pourrait être considérée comme étant adorable si… (il y a toujours un « si » pour tout gâcher!)… si seulement elle n’avait pas cette habitude de dire tout ce qu’elle pense de tout le monde, en face de la personne concernée, c’est tellement mieux que dans leur dos * « Ben quoi ? Je suis honnête, on ne va pas me le reprocher quand même! »*. Au moins, elle peut observer leur face déconfite en l’écoutant énumérer ce qu’ils devraient cacher.

« Par Merlin, mais t’es nul en magie! T’aurais pas ramassé une branche dans le Parc en guise de baguette ?»

« Ashley voici Newton, Newton voici Ashley. Ashley est encore vierge est rêve de perdre ce qu’elle considère comme « les affres de sa pureté » avec toi Newton! Newton, lui, te trouve tout a fait niaise comme fille Ashley et ne voudra jamais ne serait-ce que te baiser la main! Bon ben , moi c’est pas tout mais j’ai cours dans dix minutes dis donc! Bonne journée les tourtereaux! Vous me raconterez» *Clin d’œil*

« Tiens, c’est marrant! Ta robe, elle ressemble presque à mes rideaux. C’est fou, ça! »

Bref, vous l’aurez compris, tout ce qu’elle a en tête, Julie n’hésitera pas à vous le faire savoir. C’est comme ça qu’on se fait des ennemis tu savais pas Miss Bastien? Et des ennemis, elle en a sûrement, un certain nombre, c’est normal. Et quand vous le lui faîte remarquer elle prend un air ahuri en rétorquant qu’elle ne comprend vraiment pas pourquoi!
Et puis les choses ont changé. Après les évènements dans le souterrain, après la guerre civile qui envahit tout le monde de la magie, après la destruction de Malwen, après la mort de Rupert, après tout ça, son comportement a quelque peu changé. Elle demeure presque la même, mais son sourire est un peu fatigué parfois.
Phobie : (et après je ne m’étends pas plus, promis)
les lapins. C’est mignon pourtant un lapin. Mais pas pour elle. Ne serait-ce que deviner la présence d’une telle bestiole la rendrait totalement folle. Elle grimperait sur les meubles, se jetterait dans vos bras en criant. Les choses sont simples, mettez un lapin sur son chemin et Julie ne sera plus qu’une simple moldue terrifiée. Elle doit cette phobie à une chanson pour enfants moldus qu’elle aurait entendu un jour et parlant d’un lapin tuant des chasseurs. A quinze ans, elle découvrit avec horreur que son patronus prenait en fait la forme de son pire cauchemar (oui, le sortilège fonctionne à l’inverse avec elle), celle d’un diabolique et sans pitié petit lapin.

Son passé.

La famille :
Richard Bastien: De sang pur, Richard Bastien n’avait aucune raison de cacher sa rigidité et sa sévérité. Riche et ambitieux, il est peu accroché à la notion de famille. Ses enfants sont sans doute le fruit d’une erreur de calcul, un moment d’égarement, une faiblesse. Désireux de voyager, il décide finalement de quitter le foyer familial, accompagné de sa femme et de leur enfant le plus grand, Lavande. Il persuade sans problème son épouse de l’accompagner, et laisse aux domestiques le soin de s’occuper des deux derniers rejetons.

Joséphine Bastien: De sang pur également, Joséphine avait tout pour devenir une mère aimante. Souriante, joyeuse, respirant la joie de vivre, elle rencontra un jour le riche homme d’affaires Richard Bastien qu’elle épousa sous l’œil attentif des membres des deux riches familles. Et puis elle prit le pli, et devint un peu plus dure, sèche, moins aimante. Lorsqu’elle accoucha de Lavande, elle se promit que se serait le premier et le dernier enfant qu’elle mettrait au monde. Elle l’éleva en sorte d’en être fière. Et puis vinrent les jumeaux, Julie, puis Domi (dans l’ordre d’apparition). Regrettant cette mésaventure, elle ne chercha pas vraiment à choyer les deux petits. Lorsque plus tard son époux lui fit part de son envie de voyager, elle le suivit rapidement, sans aucun remord, et laissa là, Julie et Dominic.

Lavande Bastien: La plus aimée des enfants Bastien. Elle passait son temps à martyriser Dominic, son souffre-douleur favori, et puis Julie aussi parfois, lorsque celle-ci baissait sa garde. Elle quitta le foyer en même temps que les parents.

Le majordome Georges et la Nourrice Berta restèrent dans le grand manoir familial, vivant de l’argent que leur laissèrent les Bastiens pour s’occuper des deus gamins. Ils leurs donnèrent tout l’amour possible, et la plus grande attention, tout en prenant soin du manoir.

Enfance :
Si Julie doit se souvenir de son enfance, elle ne garde pas beaucoup d’images de son père et de sa mère. Seule avec son frère, et les domestiques, elle apprit rapidement à devoir adosser le rôle de mère. Dominic était beaucoup trop insouciant des règles de vie, et enchainait les catastrophes chaque jours. Elle le choya autant qu’elle pouvait le faire, un peu comme avec une grande poupée animée. Elle se souvient de ces parties de cache-cache dans l’immense manoir, ou chacun des deux jumeaux finissait par s’endormir dans leur cachette, tandis que Georges ou Berta les cherchaient dans les moindres recoins du domicile.
A sept ans, Georges les accompagne en ville. Ils passent dans la rue, envahie de moldus, elle entend une chanson. Celle du lapin, celui qui hantera désormais ses nuits anciennement paisibles. Il est malin, diabolique ce lapin, intelligent, sournois, sadique. Il a un « fussi ». Julie ne sait pas ce qu’est un « fussi ». Elle demande à Georges, plus renseigné sur les coutumes moldues. Un « fusil », c’est une arme mortelle. Elle se crispe, tremble. Le soir même, elle rêve qu’un énorme lapin la poursuit avec un « fussi », massacrant tout le monde sur son passage. Elle en restera à jamais marquée.
Elle se souvient aussi de la fois où Dominic la poursuivit avec un lapin qu’il avait réussi à attraper (lorsqu’il s’agissait d’embêter sa sœur, il faisait preuve d’une grande imagination et était capable de tout). Elle avait couru dans tous le manoir, le grand jardin, hystérique.
Elle se souvient de soirs d’orage où Domi venait se blottir contre elle dans son lit, terrorisé.
Lorsqu’elle repense à son enfance, elle ne voit pas grand-chose. Ses parents n’étaient pas restés longtemps, elle était seule, mère d’un enfant d’une minute plus jeune qu’elle, mère et sœur d’une catastrophe ambulante.

Réception de la Lettre:
Et puis vint le jour tant attendu. Il était certain qu’elle serait prise à Malwen (il était moins certain pour Dominic). Elle avait déjà lu beaucoup de livres sur l’Ecole de Magie. Pour embêter son frère, elle lui cacha la lettre qui lui était destiné. Ouvrant la sienne avec fierté, elle lu à haute voix l’objet du courrier, elle allait rejoindre Malwen à la prochaine rentrée. Dominic pleura toute la journée. Toute la semaine pour dire vrai. Julie avait pris un malin plaisir à lui dire qu’il en recevrait peut-être également une s’il lisait tous les livres qu’ils avaient dans leur bibliothèque à propos de Malwen. Il y passa ses jours et ses nuits, une semaine durant, puis, prise de remord, elle lui tendit un matin sa lettre. Ils iraient tous deux à Malwen.

A Malwen.

Le soir de son arrivée, sa cape était devenue vert-olive, elle irait à Nissena. C’est-ce qu’elle espérait. Elle prenait suffisamment parti pour défendre ses opinions pour être à Cohary, et elle aimait beaucoup trop les gens pour se retrouver à Nasteen. Elle apprit beaucoup de choses à Malwen, qui s’avéra un peu comme une maison pour elle. Elle se fit des amis, certains ennemis. Pas de petit ami, jusqu’à sa courte rencontre avec Rupert Yaxley, le copain de son frère Dominic (dont elle avait toujours suspecté l’homosexualité). Avec Rupert, s’était étrange, ils ne pouvaient pas, ce n’était pas possible. Et pourtant elle avait eu des sentiments pour lui. Elle les cacha. Lui-même en avait eu. Il s’étaient embrassés un jour où ils avaient trop bu (peu d’alcool, ils ne supportaient tous deux pas ça), allongés dans le Parc, en pleine nuit. Et puis une autre fois dans un placard. ‘était marrant ce petit jeu, mais ça devait n’en restait qu’un jeu, rien de plus. Elle s’amusait, lui aussi. Et puis le souterrain. Un souterrain dont on disait qu’il était maudit. Un ancien élève y serait mort et l’aurait hanté. Elle s’y retrouva, sans vraiment savoir comment, tout était trop flou pour elle. Elle failli mourir, seule, au beau milieu de la nuit, dans ce souterrain, entourée de fantômes, la mort. Comment elle avait été sauvée, elle ne le savait pas. Elle avait fait comme un rêve, alors qu’elle se croyait perdue, déjà sans vie. Dans son rêve, Malwen disparaissait, ses amis aussi, le directeur, plus rien. Un peu comme si l’Ecole s’éteignait. Rupert était là, dans son rêve. Elle comprit, elle l’aimait. Elle allait mourir, mais elle l’aimait. Et puis elle se réveilla. Des bruits de pas, de faibles lumières, des voix. Rupert était là, dans le souterrain, des professeurs aussi. Elle était sauvée. Non, personne ne sut expliqué son sauvetage. Rupert avait su où elle se trouvait, il dormait lorsqu’il avait fait un rêve bizarre. Il parla du château qui disparaissait, quelque chose de vague. Après ça, Rupert quitta Dominic, qui accepta sans broncher, il était bien trop populaire, courtisé et insouciant pour ça. Elle dût attendre de se rétablir.
Dehors, la crise faisait rage, déjà. On parlait de possibilité d’une Guerre Civile dans le monde des sorciers. Les Troubles. Elle ne tarda pas à éclater. Il y eut des morts, Malwen elle-même entra en guerre, envahie, folle. Les élèves assistèrent à la destruction de leur deuxième maison, la mort d’un grand homme, Sean O’Malwen. Julie vit Rupert mourir à son tour, en un instant, pas d’au revoir.

A Swelty.

Swelty ouvrit, comme une seconde Malwen, une seconde chance, un nouveau départ…


D'où avez vous connu le forum? : Anciennement sur Malwen (merci Dawn!), et puis Darren est venu avec sa frimousse de dirlo « j’ai envie de reprendre le forum! ». Cool!!
Comment trouvez vous le design ? : Ben mon ordi est en surchauffe, mais sinon, je l’aime bien. On retrouve bien notre bonne vieille Ecole de magie!
Notez le forum sur 10 : je vais lui mettre un 10. Parce que jsuis tout fou depuis qu’il est revenu dans ma vie, parce que je viens de passer une bonne partie de ma nuit sur ma fiche (03h31 du matin quand même) et puis j’ai oublié ma dernière raison (mais on s’en fout).

Bienvenue sur Swelty, tu es évidemment validé

et bien sûr.... NISSENA pour ta maison !