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 Salade de pensées étranges et inavouées sauce maladresse {Seth & Ethan} [TERMINE]

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Seth Ezekiel
Seth Ezekiel
Prof. Sortilèges et EnchantementsProf. Sortilèges et Enchantements
Salade de pensées étranges et inavouées sauce maladresse {Seth & Ethan} [TERMINE] - Page 2 Vide
MessageSujet: Re: Salade de pensées étranges et inavouées sauce maladresse {Seth & Ethan} [TERMINE] Salade de pensées étranges et inavouées sauce maladresse {Seth & Ethan} [TERMINE] - Page 2 Icon_minitimeDim 15 Mai - 7:04

    Il y a des brûlures, sur le corps, qui ne se cicatrisent jamais. Elles ne forment ni cloques sur la peau, ni dommages dans l'épiderme. Ne ruinent pas la santé, ne défigurent pas. Tout au plus pigmentent-elles la peau dans un rouge plus foncé encore que celui d'une banale rougeur. Des brûlures qui apparaissent sans feu. Juste peut-être causées par une flamme qui lèche sa proie en un délicat baiser, une douce caresse.
    La peau de Seth s'embrase. Elle se consume exactement là où Ethan pose ses doigts, dans ce contact léger, ce papillon qui se pose sur lui et le force à s'enfoncer davantage dans l'inconnu. Il a le coeur qui bat plus vite que des ailes. Dans son corps, il parcourt des milliers de kilomètres, il quitte la Terre pour un monde éloigné que seul lui peut imaginer, les yeux fermés.
    Il y a, dans sa gorge, une respiration qu'il bloque, qui se bloque et dont il se fiche éperdument. C'est la fumée créée par cette flamme, par ces longues brûlures qui parcourent à présent son dos tout entier. Là où Ethan laisse glisser sa paume, là où il laisse s'avouer un amour interdit. Mais ce contact douloureux, Seth semble vouloir s'en approcher. Plus la main de l'autre s'appuie, plus il se laisse tomber dans le brasier allumé sous lui. Un buché. L'autre est un buché.
    Soudain, il se considère comme hérétique. Sorcier. Dans un sourire dément, il se laisse dévorer par l'incendie qui se déclare en lui. Il l'avoue, il est fou, fou à lier.

    « Oh Seth, je t’en supplie, ne m’abandonne pas. Tout est fini de moi, Seth, je… tout ça s’est bien plus fort que je n’aurais pu l’imaginer. Je t’en supplie, reste avec moi, ne me laisse pas, je t’en supplie… »

    Il le serre dans ses bras, agenouillé de part et d'autre de ses jambes. Il voudrait, étrangement, s'éloigner quelque peu, décoller son torse de celui de l'autre professeur. Mais il ne parvient pas à se déserrer de ces bras où il se sent soudain si bien, à sa place. Pourtant il le faut. Dans un relent de force et de courage, Seth se défait de l'emprise d'Ethan. Le regarder, juste poser ses yeux dans ceux de l'autre et tenter de comprendre ce qu'il y lira. Comme s'il avait un quelconque don pour ce genre de choses. Mais il s'en fout. L'amour, même lui peut le comprendre.
    Et si ce n'est pas ça?
    C'est plus douloureux que tous les incendies de monde, que tous les ravages qu'ils peuvent causer. Mais l'idée qui lui étreint le coeur et le fait se reculer de l'autre le force aussi à clore ses yeux, à retenir la tristesse qui pourrait s'y dévoiler.
    Ses lèvres quant à elles restent entrouvertes, et il ressent les baisers, ces souffles tièdes qui viennent raviver en lui la flamme qui vacillait. Ces papillons, à nouveau, qui se posent sur ses joues et lui causent milles tourments. Lui aussi, saisit le visage de l'autre, avec l'unique désir de ne pas le lâcher.

    « Seth… je… »

    Et celui-ci ouvrit les yeux. Il ne fallait pas qu'Ethan dise cela. Pourquoi? Pourquoi soudain cette peur de l'amour revenait lui contracter l'estomac comme l'aurait fait un coup de poing ressurgit du passé?
    Il s'était déjà brûlé les ailes, papillon décharné et mourant. Il ne voulait plus connaître cela, il l'avait promis, et Ethan ne devait pas briser ça. Il ne devait pas le forcer à infliger cette torture à son tour. Le passé était ce qu'il était.
    Une dernière fois, le professeur aurait aimé poser ses lèvres sur celles de l'autre. Peut-être aussi pour l'empêcher de parler, le faire taire à tout jamais, et garder ce moment comme il était. Comme il devait rester dans leur mémoire. Comme un instant de magie, pur, parfait. Sans les larmes que Seth effaça du visage de l'autre en parcourant ses joues de baisers.

    « … je crois que m’être fêlé la cheville. »

    Son visage contre celui de l'autre, sa bouche contre son oreille, Seth ne pu retenir un rire doux, qui venait de faire éclater l'étrange boule qui obstruait sa gorge. Cela fit même partiellement exploser son coeur, mais l'important n'était pas là. Bien sûr, il ne fallait pas qu'il entende l'autre dire ces mots. Et puis il ne les pensait pas. Donc il ne les dirait pas.
    Il n'y eut pas de larmes dans ses yeux. Pourtant, quelque chose en lui semblait avoir fondu en larmes.

    « Je-J'espère que ce n'est pas à cause de moi. Je suis désolé, Ethan...»

    Dans sa bouche, le tintement du prénom de l'autre semblait avoir changé. Il y avait une douceur revigorant, un peu de sensualité qui le poussa à se mordre la lèvre, regrettant d'avoir été trop loin.
    S'il le désirait? La question ne se posait même pas. Ses mains, tremblantes, quittèrent le visage de l'autre pour se poser sur son torse, l'espace d'une seconde. La seconde d'après, elles étaient sur le mur, servant d'appui, tandis que son front, collé à celui d'Ethan, établissait un nouveau contact.
    Il ouvrit ses paupières, si près de l'autre, l'observa et se permit un nouveau sourire. Avec ses joues et ses yeux rouges, Ethan n'avait jamais été aussi beau qu'en ce moment. Force était de constater que si son coeur battait si fort, il finirait par ne plus résister à ce qui s'offrait à lui. Le torse de l'autre semblait appeler ses baisers, remontant vers lui pour s'éloigner à nouveau, dans un cycle infernal que Seth ne quittait pas du regard.

    « Ethan. Ethan, je pense que...Je vais te faire porter, et t'emmener à l'infirmerie. »

    Il éloigna alors son visage de celui de l'autre. Par la force des bras et des jambes, il se redressa, posant un baiser sur le front du professeur toujours assis par terre. Ezekiel, tu vas trop loin. Mais il lui était impossible de s'arrêter, sauf en se faisant violence. Ses lèvres subirent un assaut répété de ses dents. Il détestait ce qu'il ressentait, il s'en voulait, se déchirait de l'intérieur.
    Et relevait sans difficulté l'homme qui lui procurait tant de sentiments contraires pour le forcer à s'asseoir sur une caisse en bois. Lorsque ce fut fait, il passa sa main droite dans ses cheveux, les repoussant en arrière pour dégager son visage fatigué. Il était las.
    Las de lutter contre ce qu'il était, jour après jour. Las de se battre contre des sentiments, des gens, des faux semblants. Las de de voir échouer dans cette guerre, en se retrouvant, guerrier au pied du mur, à implorer son adversaire de ne pas l'achever.

    Oh Seth, je t’en supplie, ne m’abandonne pas.
    Debout, face à Ethan, il se répétait cette phrase, sans la comprendre. Bien sûr, il aurait pu demander à l'autre de s'expliquer.
    Tout est fini de moi, Seth, je…
    Mais il ne fallait pas. Sans être plus malin que la moyenne, il avait eu peur de comprendre dès la première seconde. Il avait, bien sûr, eut encore plus peur lorsque son corps lui avait intimé de répondre à ces paroles. Il avait eu peur, luttant contre lui-même.
    Tout ça s’est bien plus fort que je n’aurais pu l’imaginer.
    Lui aussi. Le premier jour, pourtant, dans cet escalier, dans ce décors, il avait imaginé un baiser, une accolade, un bonjour timide. Il s'était vu monter les marches, s'excuser de ne pas s'être présenté, lancer une légère blague et oublier l'impression qui l'avait planté là, comme un enfant prit sur le fait. Cette impression d'être perdu, d'être tombé dans la gueule du loup. Et voir Ethan monter les marches, ne pas lui jeter le moindre regard. Faire comme s'il n'existait pas. Il avait eu peur, ce soir-là, le jour de son arrivée, ses cheveux encore humides de la pluie qui s'était abattue sur le chemin. Peur de n'avoir l'air que d'un pauvre chien trempé, abandonné, face à un être si pur. Son âme toute entière en avait été secouée. Il l'avait vu, pour la première fois, ce fantôme régurgité par son passé qu'il voulait repousser le plus possible. Et qu'il n'avait fait qu'attirer à lui, par la force des choses, par volonté, par désir. Par égoïsme.
    Je t’en supplie, reste avec moi, ne me laisse pas, je t’en supplie…

    « Il...Vaut mieux qu'on en reste là. Ethan...Je. J'ai peur de toi. De ça. De nous. »

    Sa voix tremblait. Est-ce que l'autre comprenait? Il le suppliait.
    Ne m'abandonne pas, reste avec moi, pardonne moi ma bêtise. Pardonne mes peurs, pardonne ce que je suis, ma lâcheté. Ethan, embrasse moi, ne me laisse pas partir.
    Frappe moi s'il le faut, hurle, pleure encore. Utilise les pires bassesses, ne craint pas mes mots. Et si je te demande de partir, reviens. Si je te demande de mourir, vis. Si je te dis de disparaître, sois à chaque coin de rue, dans chacune de mes pensées. Sois là.
    Ethan, sauve-moi.


    Il se lança dans ses bras, maintient ses paupières fermées à en avoir mal. Dans un dernier baiser, qu'il voulu être le plus douloureux de tous, il attrapa la main de l'autre et la posa sur son coeur.
    Il y eut un éclair. Puis le vent qui balaya une feuille, secoua un sac en plastique. La ruelle était à nouveau vide.
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Ethan McLorgan
Ethan McLorgan
Directeur de Nasteen - Potions MagiquesDirecteur de Nasteen - Potions Magiques

Identifiant Joueur
Âge: 22 ans
Sexe: Masculin
Localisation: Sur un tabouret.
Salade de pensées étranges et inavouées sauce maladresse {Seth & Ethan} [TERMINE] - Page 2 Vide
MessageSujet: Re: Salade de pensées étranges et inavouées sauce maladresse {Seth & Ethan} [TERMINE] Salade de pensées étranges et inavouées sauce maladresse {Seth & Ethan} [TERMINE] - Page 2 Icon_minitimeMer 18 Mai - 6:57

Ils étaient là, tous deux effondrés sur le sol, dans cette ruelle sombre et vide. Au loin, on pouvait entendre encore quelques cris de joie que poussaient forains, foraines et villageois heureux. La petite musique de certains manèges n’avait plus que l’aspect d’un murmure. Ils étaient loin, ces deux sorciers, loin de tout et pourtant, si proche l’un de l’autre.

Ethan se sentait bête de cette soudaine douleur. Seth, lui, s’en excusa. Entendre sa douce et belle voix prononcer son nom le fît frémir. Son cœur battait si fort qu’il aurait pu lui exploser la poitrine et le laisser sans vie ; une mort qui n’aurait rien d’affreuse, rien de douloureuse, elle ne se ferait que garante de ce nouveau bonheur, ce nouvel amour, le premier, cet espoir de nouveaux jours pour lui, bien plus ensoleillés que les précédents.
Seth et Ethan, ce serait une belle histoire, de l’amour à chaque seconde, des baisers, des caresses ; oui, il serait heureux, il n’attendait plus que ça. Ne plus jamais le voir s’éloigner car désormais sans lui, il n’était plus rien, plus absente encore son ombre, plus malheureux que tous les martyrs, la torture ne trouverait de fin, ni dans cette vie, ni durant son repos éternel. Il serait condamné à souffrir son absence, s’il cessait de l’aimer. Et pourtant… l’aimait-il ? Lui-même n’avait pas prononcé ces mots porteurs de tant de sens et de beauté. Seth non plus n’avait rien dit, ne disait rien. Peut-être n’étaient-ils pas fait l’un pour l’autre, peut-être était un de ces amours à sens unique qui vous martèle le cœur de coups féroces et inépuisables chaque jour pour vous rappeler que jamais vous ne serez aimé. Non, Seth ne les dît pas, pas même en murmure.

Puis il sentît sa main contre son torse. Un tel geste, il l’avait déjà provoqué une fois dans la bibliothèque, un soir. Mais tandis que le passé n’avait qu’un goût de pure fraternité, le présent se voulait, lui, beaucoup plus tendre, amoureux. Il y avait dans ce contact bien plus qu’il ne pouvait en accepter, en garder pour lui. Tout cet amour, cette chaleur soudaine qui s’emparait de lui, qui le rendait esclave d’un autre, il aurait pu le partager avec le monde entier. C’était bien trop pour un seul être. Et en même temps, il désirait tout garder pour lui, voler à ce beau sorcier tout ce qu’il pouvait ressentir, lui voler son parfum, sa voix, son regard, sa peau, son corps tout entier, il aurait aimé en être le propriétaire. Puis il réalisa que si Seth était sien, il ne saurait quoi faire, beaucoup trop maladroit et ignorant de ces choses. Non, c’est lui qui s’offrirait une fois encore à son amant, qui le laisserait le dévorer, se revigorant de toute parcelle vitale de son corps. Il en était le sujet, il en était la nourriture.

Cette main, il aurait aimé la garder contre lui, et il sentait bien que Seth tentait difficilement de s’en séparer.
Pourquoi vouloir le laisser ainsi ? Pourquoi vouloir se défaire d’une si belle étreinte ? Ethan s’inquiéta, à nouveau, son monde sembla se détruire, son bonheur à s’effriter.

« Ethan. Ethan, je pense que...Je vais te faire porter, et t'emmener à l'infirmerie. »

Il y avait quelque chose dans la voix de son aimé qu’il ne parvenait à identifier. Il y avait quelque chose, mais quoi ? Ces tourments semblèrent revenir à l’assaut, comme pour le poignarder une fois encore. Non, quelque chose n’allait pas, n’allait plus. Seth devait s’être rendu compte de son erreur, de cette soudaine folie dans laquelle il refusait de se laisser plonger par un égoïste tel qu’Ethan. A nouveau, son cœur se souleva ; il n’aurait su dire si c’était pire ou non que la première fois. Un léger baiser déposé sur son front, c’était doux, dévastateur. Non, ce n’était plus pareil. Il ne dît rien, il ne savait pas quoi dire d’ailleurs, rien n’aurait été utile. Puis son prince charmant et torturé l’aida à se relever, le faisant s’asseoir.

Son visage avait quelque chose de triste. Son amour souffrait, cet ange se brûlait les ailes, par sa faute. Le professeur de potion sentît une boule dans sa gorge. Pleuré ne servirait plus. Tout recommençait, à nouveau. La peur de la mort, de souffrir, de ne plus être là que physiquement, d’errer de rêveries en rêveries, sans ne plus jamais toucher le sol, ne plus se réveiller, s’éteindre. Oui, c’était la même chose, ce pressentiment.
Au fond, Seth n’avait rien dît, peut-être était-il charmant, mais cela ne le rendait pas plus femme, pas plus objet de désir. Jamais Seth ne l’aimerait, c’était certain. Il n’attendait plus qu’une chose maintenant, ou qu’il l’achève complètement, ou qu’il ne le rassure et le couvre encore de baiser.

« Il...Vaut mieux qu'on en reste là. Ethan...Je. J'ai peur de toi. De ça. De nous. »

Le monde qui s’effondre. Qu’est-ce que c’est que de vivre pour ça ? Pour voir les choses vous glisser entre les doigts. La peur, de quoi ? C’était pourtant si simple, Ethan n’était qu’un monstre, il ne méritait pas une telle histoire. Les rêves ne touchent que ceux qui les méritent, les autres, ces immondes créatures, s’ils leur prenaient de rêver, c’était pour prendre conscience de ce qu’il n’aurait jamais, afin qu’ils deviennent plus vils et froids, plus repoussants. Le demi-dieu, c’était Seth, l’immondice, c’était Ethan. Il n’aurait jamais dû se laisser envouter, se laisser croire à quoique ce soit. Ça avait été idiot, au départ, maintenant ça ne prenait la forme que d’un pur suicide.

Il avait peur, Ethan ne pût baisser la tête, il le regardait, fixement, avec de grands yeux emplis de tristesse. Son adoré ne regardait pas, il n’osait pas, il ne voulait sans doute qu’une chose, se débarrasser de ce fardeau.

Avoir peur de lui, le professeur de potions en aurait presque ri de nervosité. C’était si évident, si naturel. Il comprenait, il s’en voulait. Il se blâmait davantage d’avoir heurté son collègue (il n’aurait jamais plus autre qualificatif), de l’avoir ainsi entraîner de chute, dans cette démence.

La boule dans gorge, il déglutît. C’était soit ça, soit les larmes. Il ne pouvait plus pleurer. Il l’avait déjà fait, comme une vaine tentative pour lui prouver son amour ; finalement ça n’avait pas marché. Seth était bien plus humain que lui, le laisser se perdre de cette façon, il ne le pouvait pas. Non, il n’y avait rien à faire, c’était fini. Ou du moins, ne pourrait-il qu’acquiescer.

« Tu… tu as sans doute raison. Tout est ma faute Seth, je… c’est mieux si on s’arrête là, oui. »

Ça voix avait eu l’air d’un murmure, à peine audible, tremblotante, chargée de peine. Il ne parvenait même pas à retrouver un peu de son habituelle distance. Peut-être jamais ne redeviendrait-il comme avant et il se voyait déjà telle une épave. Aurait-il encore le courage de faire quoique ce soit, de prétendre que rien ne s’était passé. Il n’en avait pas le choix, il le faudrait. C’était ça ou… finir comme sa mère. Les larmes lui montèrent aux yeux, la douleur dans sa gorge la lui brûla. S’en était définitivement fini de lui. Et puis un baiser, qui sonnait comme le dernier. Il n’aurait pas dû faire ça, ce serait bien trop dur maintenant. Il lui prît la main qu’il posa sur son cœur. Non, non, non, pourquoi faisait-il ça ? Pourquoi l’achevait-il une dernière fois, de cette manière, si douce et belle ? Pourquoi ne lle laissait-il pas mourir ? Pourquoi ne le laissait-il pas en paix, sombrant dans sa douce rêverie. Il en était fini de lui. Ses larmes recommencèrent à couler tandis que dans un éclair, ils disparaissaient.


[FIN DU TOPIC]
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