Malices et Maléfices (Feat Sarevok et Ann) [CLOS]

**Dany Salmon**

Malices et Maléfices

Feat Sarevok Eirwatsein and Ann O'Nyme
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RENDEZ-VOUS DANS LA SALLE DE THE APRES LES COURS

PS : vient seul.

**Sarevok Eirswatsein**

Aujourd’hui était un jour comme tous les autres, enfin presque car au réveil les élèves purent avoir le bonheur d’apercevoir le soleil. Sarevok lui en se levant avait vue également le soleil.

*Rahh le soleil et la bonne humeur comment m’exercer à mes sorts de mon invention discrètement avec temps de luminosité !*

Oui le soleil avait le don de l’exaspérer car les élèves était heureux et gambader un peu partout dans l’école, une chose qui ne convenait pas à notre Terreur qui aimait les temps orageux ou enneigé car il pouvait alors s’essayer à crée ses sortilèges sans êtres vue.
Il se dirige vers les douches des garçons après avoir prit ses affaires du jour, pour une fois il changerait son style vestimentaire. Il avait alors prit un tee-shirt sans manche orange et un jeans bleu foncé et des tennis orange elles aussi. Sa cape plier comme sa tenue du jour, il acheva son choix en prenant chaussettes et boxer.
Une fois sous la douche il mit de l’eau tiède trop chaud n’était pas forcément une bonne chose quand il faisait frais ou froid car le on avait plus vite froid par la suite. Seul il en profitait il ne dormais jamais beaucoup d’où les cernes noir qu’il avait constamment autour des yeux où l’encre de tatouage accentué l’effet. Une fois propres il sécha son corps et enfila boxer, chaussettes, jeans et chaussure. Il se brossa les dents devant le miroir examinant sa musculature, elle était encore voyante mais il faudrait qu’il se remette à faire quelques exercices physiques si il comptait la conserver. Une fois les dent propres il mit son tee-shirt sans manche et sa cape mauve preuve de son appartenance à la maison Nasteen.
Il retourna alors dans les dortoirs pour voir quel cours il aurait aujourd’hui, les autres élèves se levait à peine.

*Feignant et inutiles ! Pathétique apprenti qui ne comprenez rien à la véritable puissance de la magie !*

Voilà sont avis du moment sur les autres élèves qui éviter de s’approcher trop près de Sarevok ou même de le regarder dans les yeux. Les cours de la journée était moyennement intéressant il ne savait pas trop si il allait s’y présenter. Soudain à l’extérieur un hibou se diriger vers la fenêtre juste à côté du lit de Sarevok. Le redoublant reconnu immédiatement Diary le hiboux de son amie Danielle, enfin Dany comme tout le monde l’appelait même si lui pour la charrier il l’appelait parfois Nini. Il ouvrit donc la fenêtre et récupéra le hiboux regardant ses pattes. Il avait un message. Sarevok le prit et offrit au hibou une souris qui avait eu le malheur d’ennuyer Sarevok pendant la nuit.

RENDEZ-VOUS DANS LA SALLE DE THE APRES LES COURS

PS : viens seul.

Il eu un petit sourire mesquin au coin des lèvres se doutant bien que ce n’était pas pour de la causette. Il laissa donc le hibou repartir et referma la fenêtre derrière l’envol de l’animal.
Il prit ses affaires et alla en cour après avoir prit le soin de brûler le message. Sa éviter que les curieux essaye d’entraver les « petits jeux » de Sarevok et ses amis.
La matinée se passa plutôt bien il essayait de s’imaginer à quoi aurait pu penser Dany et certaine idée lui tiré un sourire sadique.

A l’heure du déjeuner Sarevok passa en coup de vent dans les cuisines pour prendre de quoi manger et partit directement vers la bibliothèque. Il cherchait un livre qui parlerait de la durée de vie des personnes atteinte de la lycanthropie. Ce n’est que peu avant que les cours reprennent qu’il trouva enfin le livre qu’il cherchait. Ne comptant pas laisser de trace de ce qui l’intéresser il ne jugea pas utile de signaler quel livre il empruntait. Il retourna en cour avec une grande satisfaction.

La fin de la journée de cour arriva et enfin la libération d’un ennuie des plus monotones tellement il faisait office d’habitude. Il prit le bouquin qu’il avait fait disparaître malencontreusement des rayonnages de la bibliothèque et se mit à le lire en parcourant les couloirs du château. Il s’attarder dans sa lecture quand il se souvint de la demande de son amie. Alors tout en lisant il pris la direction de la salle de thé. Surement que Dany s’impatienterai de devoir attendre mais bon, Sarevok était du genre à arriver un peu quand il le voulait il pouvait arriver à l’heure comme avant l’heure ou après l’heure qu’on lui donner et quand on lui en donner pas il lui arrivait de s’attarder. Donc il se rassura en se disant qu’au final sa petite Nini lui ferait une petite remontrance suivit d’un grand sourire à l’idée de pouvoir enfin préparer un coup fourré… Comme à Malwen, après tout le nom de l’école change mais pourquoi changé les bonne vieilles habitudes ?

Au final Sarevok arriva à la salle de thé dix minutes après Danielle. Il ouvrit la porte, son livre devant les yeux avec le titre bien visible « Durée de vie des loup-garou » et sa tenue orange/bleu. Le Nasteen ferma la porte derrière lui et referma son livre en le gardant fermé dans la main gauche. Il fit un sourire joyeux à Dany, une des rares personnes à pouvoir voir ce genre d’expression sentimental de la part de Sarevok, s’approcha d’elle.

« Salut ma petite Nini… Alors comment vas-tu en ce jour malheureusement ensoleillé ? »

Mince, il avait laissé échapper « Ma petite Nini », il espéra qu’elle ne lui en tienne pas rigueur, c’est que ce n’était pas méchant mais affectif car il aimait bien Dany c’est pour cela que c’était son amie. Pour ce qui était du soleil les amis de Sarevok savait qu’il n’était pas partisans des journées ensoleillé du fait qu’elle signifiait que tout le monde était un peu partout et qu’il ne pouvait pas agir à sa guise. Il garda tout de même son sourire joyeux, plongeant son regard ,au pupille jaune et au blanc teinté de rouge sang, ce regard habituellement terrifiant qui là exprimer de la joie tout comme son sourire. Mais quand il faisait cela avec Dany son propre avait tendance à trop se perdre dans celui de son amie. Oui que voulez-vous au final il ne peut pas non plus dire qu’il n’aime pas ce qui est féminin ce serait dire d’énorme mensonge ! Mais ce n’était pas non plus avec des arrières pensée, elle était son amie et pouvoir ce perdre ainsi dans son regard presque noir si chaleureux. Enfin sa dépendait aussi pour qui…

« Alors que nous as-tu préparer ? On endort quelqu’un pour le mettre dans le lit d’un autre ou d’un prof ? On fait disparaître le dîner de ce soir ?... Non j’imagine que tu as mieux, je suis tout à toi et je t’écoute ! »

Oui entendu par les mauvais personnes on aurait pu pensé que la dernière phrases signifier qu’ils étaient en couple mais il n’en était rien. Juste qu’il avait des élans affectifs et autres envers Dany son amie et Grey son meilleur ami.

**Ann O'Nyme**

Un trait de soleil frappant ses yeux clos. Un grognement provenant de sa gorge.

- Qu’elle est l’étourdie, la feignante, l’incapable qui n’a pas eu l’intelligence de fermer correctement ces rideaux ?

Certains l’aurait juste pensé, Ann l’avait dit très fort, et d’un ton mauvais. Et oui, là, tout de suite elle était de très mauvaise humeur. Très très mauvaise. Tellement mauvaise qu’elle avait sauté sur ses pieds, les cheveux en tout sens, la chemise de nuit laissant dépasser toute son épaule gauche, et d’un geste précis, elle éloigna l’une de l’autre les deux bandes de lourd tissus prune qui occultaient la lumière astrale. Après le noir des rêves, la douce lumière parut violente, agressive. Les pauvres camarades de chambrée d’Ann s’éveillèrent en sursaut, portant leurs paumes de mains devant leurs yeux encore tout engourdis de sommeil. Un concert d’insultes à demi mâchées, de grommellements, de râles et autres sons tous autant dérangeant pour les oreilles ; et au milieu de ce récital d’intonations, une voix s’éleva avec la finesse d’une première parole matinale.

- Grognasse, c’est toi qui étais chargée de fermer les rideaux hier soir.

Ann prit cette remarque plutôt bien finalement, un sourire s’étala sur ses lèvres et elle ouvrit joyeusement la fenêtre en grand, laissant entrer l’air froid du dehors. Un petit rituel de tout les matins enseigné par son père. C’était un bon moment que celui de se sentir entourée d’air pur, après le cloisonnement de la couette sur son corps pendant la nuit. Heureuse, elle démêla ses cheveux et les tressa de façon à se faire une couronne de tresses, froissant le tout avec désinvolture pour ne pas faire petite fille modèle.

* Voilà, la journée peut commencer. *

La jeune fille referma la fenêtre et se tourna vers ses camarades, énervées, re-enroulées dans leur couette pour ne pas subir de si bon matin la morsure du froid sur leur membres découverts. Dormir dans la même pièce que la Nasteen n’était vraiment pas une partie de plaisir. Et ça n’étonnerais point celle-ci qu’un jour, les autres élèves partageant son dortoir la tuerait dans son sommeil.

- Allez, ce n’est pas grave. Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt comme dit le proverbe !

Voyant l’air, désespéré pour certaines, haineux pour d’autres, Ann soupira et prit ses affaires pour se diriger vers les douches.
Quelques longues dizaines de minutes plus tard, dans un dortoir vidé de ces occupantes, Ann récupérait ses affaires de cours. Elle volait pour ainsi dire dans les couloirs, au dessus des marches et se posa devant un bol de café et des tartines recouvertes de confiture à la fraise.

* Ça promet d’être une bonne journée. Si l’on oublie les cours évidemment. *

Malheureusement, tout les profs assurèrent leurs leçons, et la matinée, suivie de l’après midi furent emplies de sermons pour devoirs non fait, pour non présence en cours et autres sujets aussi peu intéressant. Bref, Ann passa sa journée dans un état second, avec un arrière fond de brouhaha. Paroles de ceux chargés de l’éducation des élèves, propos de ceux-ci. Ann remercia le chargé des emplois du temps … Ce n’était qu’une journée « light », son temps de torture finissait à 16h, elle eu donc tout loisir de se rendre au dortoir récupérer un roman qu’elle n’avait pas fini la nuit dernière pour cause de fatigue, et aussi car elle voulait savourer la fin, une bonne tasse de thé à la main, et des pâtisseries pas plus loin que la longueur de son bras. Voilà ce qui pouvait clore de manière agréable cette journée banale. C’est donc tout naturellement que la Nasteen rentra dans la salle de thé. Choisissant au hasard l’une des boîtes, enfermant dans une boule de fer une bonne pincée de filaments rouges, jaunes, verts et noirs bien évidemment, elle put observer de plus près le décor de la pièce.

* Pas mal, j’aime mieux qu’avant hier. *

Elle laissa tomber la boule dans une énorme tasse à thé blanche, ornée d’une suite de motif coloré de ton rouge, de l’autre coté de la porcelaine pendouillait une chaînette de métal finissant sur une représentation d’aigle, les ailes étendues.

* Que je tombe sur un renard eus été amusant … *

Sur la table, trônait un pichet d’eau chaude, dont Ann versa le liquide dans sa tasse, l’eau se colora doucement en jaune, passa au brun clair pour finir en un brun soutenu avec une délicieuse odeur de fleurs. Comme la nourriture du plateau était particulièrement appétissante, la jeune fille posa sur un assiette trois petits gâteaux dont l’un semblait être à la pomme. La sacoche à l’épaule, la main gauche sous la soucoupe de la tasse, la droite supportant le poids de la gourmandise, le corps se tourna vers les fauteuils et les pas emportèrent le tout vers un fauteuil un peu éloigné, dos à la porte, mais les yeux ayant une vision de la table devant laquelle se trouvait Ann quelques instant auparavant.

- Perfect food, perfect weather, perfect place. Joie.

**Dany Salmon**

Cela faisait une dizaine de minutes qu’elle était arrivée, sirotant son thé doucement, car il était assez chaud pour le moment. Les pâtisseries n’étaient pas vraiment pour elle, elle préférait de loin les glaces ou les biscuits croquant. Les moelleux, cakes ou petits pains au chocolat, croissant, etc. Tout cela la dégoutait et elle n’avait jamais aimé. Prenant l’un des biscuits entre son index et son majeur elle croqua dedans tout en se rendant compte que cela était du spéculos. Elle sourit en observant la pièce, se rappelant la fois où elle était restée dans une pièce comme celle-ci à Malwen pendant la nuit, attendant l’heure où le décor changeait. Elle n’avait pas tenu la nuit et c’était endormi malgré les tasses de café et ses sorts contre le sommeil. Quelques chose lui avait dit que c’était magique et que ne pas respecté cela gâcherait peut-être la beauté de l’événement. Au final, elle n’avait jamais retenté l’expérience, mais la curiosité la rongeait encore.

Alors qu’elle pensait à cela, son ami entra dans la pièce tout en refermant un livre et en lui souriant. Elle se releva rapidement en déposant sa tasse de thé, dans l’élan, une bonne partie de celle-ci se renversa sur la table. Elle n’avait pas croisé son ami de toute la journée, pas même à midi et, comme à chaque fois qu’elle traînait avec ses amis, elle avait tendance à montrer clairement ses sentiments, sautant sur place, prenant les gens dans ses bras et riant chaleureusement. Elle ne pensait pas devoir s’en priver, elle ne voulait pas, il lui fallait sa dose chaque jour, surtout après cet été passé seule sans voir aucun de ses amis !

« Salut ma petite Nini… Alors comment vas-tu en ce jour malheureusement ensoleillé ? »

Elle sourit tout en plaquant un baiser sur sa joue, puis, dans le même mouvement, elle le pinça à l’épaule. La surprise se lisant sur le visage de Sarevok la fit rire. Pourquoi l’avoir pincé ? Tout simplement pour le NINI, dire qu’elle espérait qu’il ait oublié ce surnom durant le moment où elle ne l’avait plus vu. Et non, ce surnom était resté. Peut-être l’aurait-il oublié si cela ne l’avait pas autant énervé, à Malwen, elle n’arrêtait pas de le taper ou autre lorsqu’il l’appelait ainsi, l’encourageant par la même occasion de continuer. Si elle n’avait pas été si choquée par cela, peut-être n’aurait-il pas fait une manie, cela ne l’aurait pas marqué et il aurait trouvé quelques choses d’autres. Maintenant, Danielle était habituée, c’était leur truc à eux si on veut et quand quelqu’un d’autre l’appelait de cette façon, ça la rendait légèrement froide et las.

«Je vais bien mon petit vampire, Pourquoi cette haine envers le soleil !? Pour une fois qu’il daigne montrer son nez ! »

Elle émit une grimace en se souvenant de ses vêtements trempés par la pluie, du vent soufflant, du froid l’emprisonnant et des frissons incontrôlables qu’elle attrapait lorsque le temps n’était pas au beau fixe. Non vraiment, le soleil la motivait et elle sentait pouvoir tout faire.

«Tu dois te douter pour quelle raison je t’ai appelé ?! »

Elle plongea sa main dans sa poche et en sortit une fiole d’un centimètre de diamètre et de cinq centimètres. Un liquide bleu ciel y régnait. L’une des fameuses potions de son père, elle ne servait pas à grand chose et se vendait dans certaines boutiques de farces et attrapes. Bien qu’elle soit encore rare pour le moment.

«Ceci est un liquide de rictus, pour le rire. En gros, les effets dépendent en fonction des personnes, mon frère, Liam, à gonfler comme une framboise en virant au violet et mon autre frère a fondu et se déplaçait tel une limace. C’est permanent et inoffensif en tout cas. Les effets s’annulent après une demi heure pour trois gouttes. T’es partant ? La première personne qui rentre dans cette pièce aura une belle surprise ! Tu fais la diversion pendant que je mettrais ça dans son thé ? ça promet d’être marrant ! »

à l’instant une fille entra dans la pièce, Danielle fit les gros yeux à Sarevok afin qu’il ne lui réponde pas puis elle fit un clin d’œil et regarda la fille qui alla se préparer un thé en ne se doutant de rien. La jubilation de la Nissena augmenta lorsqu’elle reconnu la fille qui avait réveillé tout le monde le matin même. Un sourire resplendissant s’afficha sur son visage et elle fit un signe de la tête à son ami afin qu’il entre en action, le plan était fait, il ne restait qu’à le réaliser !

**Sarevok Eirswatsein**

Quand il arriva Dany se leva assez rapidement tout en posant sa tasse de thé, qui d’ailleurs en eu bien la moitié qui se renversa sur la table. Elle vint donc lui faire un baiser sur la joue tout en le pinçant à l’épaule. Surprit et ne comprenant pas trop la raison du second geste il l’observa rire. Il réfléchit un instant au pourquoi du comment.

*Pourquoi m’avoir pincer l’épaule ?...*

Puis il s’en souvint, Nini au début de leur relation ce surnom l’énervé un peu et elle lui faisait savoir, mais plus elle s’en offusquait plus Sarevok l’utilisé à tel point que pour lui c’était tout naturel de l’appelait comme sa. C’était son petit privilège même si il savait qu’elle aurait sûrement préféré qu’il oublie se surnom. Mais non c’était sa petite trouvaille et il ne comptais pas l’oublier.

«Je vais bien mon petit vampire, Pourquoi cette haine envers le soleil !? Pour une fois qu’il daigne montrer son nez ! »

Sarevok se doutais bien qu’avec l’été passé sans le voir elle aurait pu oublier pourquoi il n’aimait pas le soleil au sein de Malwen comme pour Swetly maintenant.

« Pourquoi je n’aime pas le soleil… Pour la bonne raison que les élèves gambade partout et que je ne suis plus tranquille ! Et donc si je n’es plus d’endroit où être en paix je ne peux pas faire ce que je veux. »

Court instant de réflexion.

« Mais je sais que tu aime le soleil et que sa te donne la pêche, donc je suis content pour toi qu’il se soit montrer, sa donne au moins une bonne raison que je m’en accommode »

Il lui fit un sourire limite charmeur. Bien que la majeure partie des gens aurait eu peur. Ses quatre cicatrices de griffes, moyennement profonde et assez large, n’aidant pas ainsi que ses yeux jaunes dont le blanc était teinté de sang, en ajoutant ses cernes tatoués, enfin tout un ensemble donnant à se sourire charmeur un ton de faux ! Alors que c’était réellement charmeur.

«Tu dois te douter pour quelle raison je t’ai appelé ?! »

Oui sa il se doutait bien de pourquoi elle voulait le voir. C’était assez fréquent d’ailleurs qu’elle lui demande de la rejoindre pour faire des petits coups fourrés. Même si parfois la Terreur aurait aimé se contenter d’une discussion mais bon, il aimait lui faire plaisir donc il ne contredisait pas trop et la suivait, après tout sa lui arrivait de lui demander de venir pour qu’elle l’aide.

«Ceci est un liquide de rictus, pour le rire. En gros, les effets dépendent en fonction des personnes, mon frère, Liam, à gonfler comme une framboise en virant au violet et mon autre frère a fondu et se déplaçait tel une limace. C’est permanent et inoffensif en tout cas. Les effets s’annulent après une demi heure pour trois gouttes. T’es partant ? La première personne qui rentre dans cette pièce aura une belle surprise ! Tu fais la diversion pendant que je mettrais ça dans son thé ? ça promet d’être marrant ! »

C’était une très bonne idée et suivant l’effet que la potion aurait il y ajouterai deux trois petit sort. Oui l’idée était très bonne, bon à part le fait qu’il doive faire diversion. C’est que ce n’était pas son truc de s’approcher des gens qui n’était pas un de ses proches. A peine Dany eu finit son explication qu’une fille entra dans la pièce.La fille se prépara un thé et une petite assiette de gourmandise, par la suite elle alla se poser à une place près de la porte d'entré tout en aillant une vue sur la table où elle c'était servit son thé. Elle était de Malwen, Sarevok l’y avait déjà vue. Le petit clin d’œil lui indiqua que il devait allait faire la causette avec la fille.
Il s’avançat vers elle et lui bloqua la vue à la table en fasse d’elle.

« Bonjour ! Nouvelle élève ? »

Sarevok fit mine de réfléchir en observant le visage de Ann.

« Ah non il me semble t’avoir déjà vue à Malwen ! Tu es de Nasteen c’est bien sa ? »

Quel piètre orateur il faisait.

*Dany dépêche toi je t’en supplie tu sais que je n’aime pas causer au gens en général et que je fais sa parce que tu me la demander en prime !*

Quand il pensa cela, il aurait tellement voulu qu’elle puisse lire ses pensées mais bon il devait faire au mieux pour laisser le temps à Dany de verser la potion.

« Dis moi, je me demandais, comment tu trouve la nouvelle école ? »

A ce moment il avait affiché un petit sourire avec dans son regard un air sérieux et interrogateur pour donner l’illusion d’une réel envie de discuter tout en continuant d’obstruer la vue de Ann sur la table ou elle avait pris son thé.

**Ann O'Nyme**

Le soleil continuait d’éclaircir les feuilles accrochées, tombantes, tombées, toutes sur le sol ou encore perchées. C’était bientôt la fin de l’automne et le feuillage était surtout brun, quelques reflets rougeâtres ou auburn, seules quelques feuilles or subsistaient. Il était possible de rester des heures à regarder ce spectacle, avec le vent qui agitaient les branches, le soleil qui apportait un éclat particulier, un nuage qui créait une zone d’ombre, un tableau vivant et jamais vraiment le même. Ann ne semblait pas voir le divertissement qui se déroulait derrière les hautes vitres de la salle de thé, tellement plongée dans son livre. Arrivée au fauteuil, elle s’était délestée de la tasse sur la table lui faisant front, posant à coté de celle-ci l’assiette de pâtisserie, enlevant d’un coup d’épaule sa sacoche et la posant un peu brutalement au sol. La jeune fille s’assit et attrapa par la tranche un livre de couverture noire qui dépassait de l’ouverture de son sac, provoquée par l’atterrissage brusque. Pendant que ses jambes se ramassaient sous son corps, ses mains séparèrent les uns des autres les pages jaunies par le temps et retirèrent un marque page, ou plutôt une photo servant de marque page, pour aller le poser sur la table. Les mots commençaient à délivrer les secrets de l’Histoire quand une forme humaine se plaça devant la table et empêcha la lumière d’atteindre les feuillets du livre. Perturbée, Ann releva les yeux, pas vraiment heureuse de cette action qui l’inpportunait.

« Bonjour ! Nouvelle élève ? »

* Me déranger juste pour ça ? Il veut que je lui jette un sort ou quoi ? *

« Ah non il me semble t’avoir déjà vue à Malwen ! Tu es de Nasteen c’est bien ça ? »

Ann fut surprise de l’affirmation mais ne le laissa pas paraître. Ah oui, maintenant, elle se souvenait. Une fantaisie de son père il y a quelques années ; celui ci avait décider de faire déménager toute la petite famille dans une grande ville des USA, New York. Cela lui avait pris un matin, il avait trouvé un appartement en un rien de temps par l’aide d’un de ses nombreux amis ; et ils s’étaient retrouvés là, un beau et chaud matin de fin août, coincés entre 4 murs. L’enfant de 10 ans avait été inscrite à Malwen. Mais il n’avait fallu que de deux semaines pour que sa mère fasse une crise et transplane avec toutes ses affaires dans leur maison irlandaise au milieu de nulle part, Ann avait été retirée de Malwen et l’aventure américaine c’était terminée là.

Tu as bonne mémoire. Je n’y suis restée qu’une semaine, et c’était il y a 5 ans.

Quant à la question, elle n’était que pure frivolité vu que pour une fois, la Nasteen portait une cravate violette, montrant par ce fait son appartenance à la meilleure des maison : Nasteen.

« Dis moi, je me demandais, comment tu trouve la nouvelle école ? »

Originale vu que la décoration change régulièrement.

Les réponses pas vraiment faites pour faire durer la durée la conversation, Ann détestait par principe tout individu dérangeant sa lecture. Ce grand élève aux cheveux oranges avait pourtant presque l’air de vouloir échanger de paroles avec elle, plus clairement de discuter.

D’autres questions ? En plus, j’aimerais bien là tout de suite pouvoir tendre le bras et refermer mes doigts sur la tasse de thé qui se trouve derrière toi. Donc. Pousse toi. S’il te plaît.

La formule de politesse était là. Ok, pas vraiment le ton n'était pas vraiment poli par contre. Mais Ann s’impatientait vraiment. La lectrice contrariée voulait lire, boire son thé, manger des pâtisserie dans le calme; tout simplement.

**Dany Salmon**

« Pourquoi je n’aime pas le soleil… Pour la bonne raison que les élèves gambade partout et que je ne suis plus tranquille ! Et donc si je n’es plus d’endroit où être en paix je ne peux pas faire ce que je veux. »

« Bonjour ! Nouvelle élève ? »

« D’autres questions ? En plus, j’aimerais bien là tout de suite pouvoir tendre le bras et refermer mes doigts sur la tasse de thé qui se trouve derrière toi. Donc. Pousse toi. S’il te plaît. »

« Tu as manger l’un des gâteau !? Oh non ! »

« Elle a mangé l’un des gâteau ! » Regard vers la Nasteen « Tu ne sais pas que quelqu’un les as empoissonné tout à l’heure ? Il y avait un mot dessus, tiens il n’y est plus, Oh j’espère que tu n’auras pas d’ennuis, boit peut-être ta tasse, si ça se dilue ça devrais s’arranger, boit la d’une traite c’est préférable ! »

**Sarevok Eirswatsein**

Au regard que la fille lui lança quand il vint l’interrompre dans son début de lecture, Sarevok comprit qu’il la déranger vraiment. Elle serait donc sûrement très impatiente de couper court à la discussion. Alors qu’il lui parlait il examiner son visage et les expressions de celui-ci afin de la cerner. Mais rien ne transparaissait. Elle savait se fermer comme Sarevok le faisait constamment.

- Tu as bonne mémoire. Je n’y suis restée qu’une semaine, et c’était il y a 5 ans.

« Oui, j’ai une très bonne mémoire ! »

Oui il avait toujours eu cette capacité à retenir, surtout quand il y avait un intérêt à retenir un visage par exemple… Comme retenir le visage d’une futur victime qui avait disparue des couloirs sans raison apparente et n’avait pas subit les petits jeux de Sarevok, chose qui l’énervé quelque peut soit dit en passant.
Mais il devait continué la conversation donc il avait enchaîner et il eu une réponse assez rapidement.

- Originale vu que la décoration change régulièrement.

Une réponse rapide, pas faite pour éterniser une conversation. Elle ne voulait vraiment pas parler. L’impatience d’une victime des petits tours de Dany et Sarevok était toujours une très bonne chose pour eux. Plus simple à manipuler et à amené la personne à faire ce qu’il voulait.
Dany finit assez rapidement d’ailleurs par le rejoindre ce qui, dans son fort intérieur, le rassura. Enfin il n’aurait plus à parler pour ne rien dire et surtout avec un personne qu’il ne juger pas digne de recevoir une réel conversation de sa part.

- D’autres questions ? En plus, j’aimerais bien là tout de suite pouvoir tendre le bras et refermer mes doigts sur la tasse de thé qui se trouve derrière toi. Donc. Pousse toi. S’il te plaît.

Elle était vraiment presser, il chercher quoi lui dire pour la retenir mais Dany prit la parole.

« Tu as manger l’un des gâteau !? Oh non ! » Regard vers Sarevok « Elle a mangé l’un des gâteau ! » Regard vers la Nasteen « Tu ne sais pas que quelqu’un les as empoissonné tout à l’heure ? Il y avait un mot dessus, tiens il n’y est plus, Oh j’espère que tu n’auras pas d’ennuis, boit peut-être ta tasse, si ça se dilue ça devrais s’arranger, boit la d’une traite c’est préférable ! »

Donc les jeux étaient faits. La fille si pressée d’être débarrassé des importuns qu’il devait être était prise au piège. Sarevok céda le passage en même temps que Dany, dans une coordination presque terrifiante ils eurent au même moment un sourire malsain.

Alors qu’elle buvait son thé Sarevok se demander ce qu’il aller pouvoir utilisé en plus, mettre sa petite touche personnel était importante.
Les effets de la potion que Dany avait versé se firent découvrir assez rapidement. Pour leur plus grand plaisir. Ann esquissa une grimace, tel une personne souffrant d’un mal de ventre digne de ce nom. Elle finit par se décontracté mais ne sembla pas remarquer ce qui lui arriver. Devenant plus petite, centimètre par centimètre à vue d’œil. Le rapetissement s’arrêtât à environ une vingtaine de centimètre de réduction de taille mais fut très vite suivit d’une autre surprise. Effectivement, elle commença à gonfler tel un ballon dans lequel on souffle. La pauvre venait de se rendre compte qui lui arrivait des choses pas très normal et maintenant elle faisait quatre à cinq fois sa largeur. Mais ce n’était pas finit elle eu alors des sortent de pustules verdâtre qui se propager sur tout le corps, dégoulinant. Danielle se mit à rire au éclat sa blague avait fonctionnait, mais ce n’était pas assez au goût de notre Terreur.

« Hé bien ! Hé bien… Se faire avoir si facilement ! Ce n’est pas digne d’une Nasteen très chère ! »

Il se mit à rire au éclat avec Dany. Il n’en avait pas finit c’était à son tour d’agir. Bien plus partisan des sortilèges que Dany pour ce qui était de faire des blagues il rajouta alors sa petite touche personnel. Son petit truc a lui. Dans un mouvement souple du bras droit, sa baguette en main. Il entreprit alors un sortilège qui lui semblait adapter.

« Tarantallegra ! »

Le sortilège qui obliger les jambes de la victime à s’agiter en suivant une danse folle. Sarevok commencer à se plier de rire mais être le seul avec Dany a rire de ce spectacle digne des clown dans les cirques moldus ce n’était pas suffisant.

« Allez rigole avec nous ! » Il lança alors un nouveau sortilège. « Rictusempra ! »

Le sortilège des chatouilles, faisant rires celui qui le subissait de manière incontrôlable.
La scène était vraiment des plus tordantes, fendard, à mourir de rire tout simplement.
La Nasteen était plus petite de vingt centimètres et faisait un peu ballon vivant plein de bouton ragoûtant et dégoulinant, dansant et riant au éclat. Sarevok ne pue se retenir il eu des larmes de joie tellement il s’esclaffait de rire.
Vraiment ses deux sortilèges combiner aux effets de la potion du père à Dany, c’était digne d’entrée dans les mémoires des meilleurs coup fourré qu’il avait fait à tout les deux.

**Ann O'Nyme**

Le jeune homme devant Ann ne semblait vraiment pas décidé à partir, elle ne demandait pourtant pas grand chose, juste qu’il se déplace de façon à ce la tasse de thé, les pâtisseries soient à la portée de ses doigts, et les paroles qu’il aurait pu prononcer, loin de ses oreilles. Il n’aurait pas à quitter la salle.

« Oui, j’ai une très bonne mémoire ! »

* Je m’en fiche totalement. *

Et voilà, qu’un autre personne entra dans son champ de vision. Les élèves s’étaient passés le mot pour l’empêcher de lire, de lui pourrir sa soirée. Rapidement, elle jeta un coup d’oeil à l’autre jeune fille qui c’était approché des parleurs. Les cheveux bruns, les yeux sombres, et un signe permettant de la situer chez les Nissena. Les deux semblaient se connaître, et s’apprécier, ce qui pouvait sembler plutôt étrange vu leur maison, mais Ann, même si elle avait quelques appréhensions vis à vis des élèves dans les deux autres maisons. Enfin bon, libre à eux de choisir quel relation ils entretenaient ensemble, Ann s’en fichait comme de sa première paire de chaussette - noire avec des arabesques argentées, sa mère les conservaient précieusement pour une raison inconnue de la jeune fille - ou comme le nombre de chandelles dans l’école. La Nissena parla, assez rapidement, peut être d’un ton un peu trop enthousiaste, mais Ann ne souligna pas tant elle fut soulagée de voir les deux personnes se décaler. Elle ne prêtas ainsi qu’une attention très réduite au sens des phrases que ses oreilles perçurent.

« Tu as mangé l’un des gâteau !? Oh non ! Tu ne sais pas que quelqu’un les a empoisonnés tout à l’heure ? Il y avait un mot
dessus, tiens il n’y est plus, Oh j’espère que tu n’auras pas d’ennuis, boit peut-être ta tasse, si ça se dilue ça devrais s’arranger,
boit la d’une traite c’est préférable ! »

Le conseil était inattendu, plutôt étrange à y bien penser. Mais la délectation que ressentirait Ann, lorsqu’elle pourrait terminer l’ouvrage qui attendait patiemment sur ses genoux, était tellement espérée que la Nasteen, pourtant éduquée à ce méfier de toute parole gentille et prévenante, attrapa sa tasse et la porta à ses lèvres. Le liquide brun et chaud coula dans sa bouche, son oesophage, et finit sa course effrénée dans son estomac.

* Il est vraiment bon, une petite touche de fleurs d’été … Mais qu’est ce qui m’arrive ! ? *

D’habitude peu expressive, là, clairement, ses traits formèrent un visage d’effroi, Ann se sentait mal, mal, terriblement mal. On aurait dit qu’une main de fer s’appliquait à lui broyer consciencieusement chaque os, chaque liaison cellulaire dans ses muscles . La douleur était telle que la tasse roula par terre, les dernières gouttes du liquide teinté éclaboussant le sol et le bas du fauteuil. Baissant son regard, Ann pu constater par elle même le rétrécissement de ses membres, ses pieds ne touchaient plus le sol.

* Comment ai-je pu m’y laisser prendre ? *

Les réponses viendrait plus tard, pour l’instant, la seule préoccupation de la jeune fille, très petite jeune fille était de retrouver le sol sous ses pieds, elle serait sûre de faire la taille idéale. Son corps s’expulsa donc du moelleux du fauteuil pour sentir la dureté sous les plantes de pied, à travers les semelles de ses - maintenant trop grandes - chaussures. Et voilà qu’elle se sentait de plus en plus lourde, telle ne fut pas sa surprise de voir ses doigts fins devenir de gros boudins rosâtres, s’agitant en cadence.

« Hé bien ! Hé bien… Se faire avoir si facilement ! Ce n’est pas digne d’une Nasteen très chère ! »

Ann reconnaissait bien qu’elle c’était faite avoir comme une ignorante et naïve fille d’une dizaine d’année. Mais elle pensait que ça allait s’arrêter là. L’espoir s’évanouie dans un recoin sombre de la pièce quand elle entendit un mot, drôle de mot, pas très joli mais tellement efficace vu que c’était l’incantation d’un sort.

« Tarantallegra ! »

Voilà l’être aux cheveux orangé qui s’y mettait. Les jambonneaux servant à Ann de jambes se mirent à s’agiter, la trimballer comme une poupée mécanique, indépendamment de sa volonté. Et cette fois, celle qui servait à présent de divertissement savait pertinemment que ce n’était pas fini.

« Allez rigole avec nous ! Rictusempra ! »

Un rire qui n’était pas le sien, sorti de sa bouche, un rire grotesque qui collait parfaitement à l’image que la jeune fille pouvait donner à l’instant même. Si seulement elle avait pu jeter un sort, juste un tout petit. Mais ses doigts était si empotés qu’ils ne pourraient pas saisir la baguette dans son jean. La voilà qui se trouvait sans défense, petite chose à la merci des deux autres, qui riaient à s’en faire pleurer. Enfin, elle pouvait toujours essayer de toucher sa baguette, tenter de faire ce que son père avait passer l’été à lui apprendre. Jeter un sort sans parler, avec un minimum de gestes.

* Tentons le tout pour le tout. *

Mais que faire ? Qu’est ce qui serait le plus urgent à faire ? Les idées s’embrouillaient dans sa tête.

**Dany Salmon**

« Merci pour tout, je pense que nous nous reverrons, mais sache que l’on t’attendra au tournant »

« Ciao ciaooo, il te reste environ trente minutes, peut-être plus, j’ai exagéré sur la dose, mais un peu plus un peu moins… »

**Sarevok Eirswatsein**

Imaginer un peu cette scène ! Une fille devenue plus petite et dont les vêtement son devenu trop grand pour elle, mais ayant prit en volume les même vêtement devenue trop grand était à la limite de craquer sous la pression. Dansant et riant contre son grès. C’était pour ainsi dire un de ses moment où Sarevok était heureux d’avoir retrouver sa petite Nini. Qu’il n’y est plus la guerre civile. Habituellement il faisait ses coups fourrés avec Grey mais ce n’était pas comme avec Dany.
La guerre, sombre période où Sarevok avait était dans son élément. Le trouble, le chaos, la mort… Mais malgré cela il avait réussit à rester présent pour ses amis. Pour Dany aussi il avait été là. Pendant les vacances il n’avait invité aucun de ses amis de Malwen à venir chez lui comme il l’avait fait les années précédente. Il avait notamment rencontré Jana qui était devenue sa meilleure amie. Le courant était vite passé. Mais il avait un peu mit de côté Grey et Dany, ne leur envoyant pas même un courrier et pensant que c’était mieux ainsi car si pour lui la guerre avait était une chose merveilleuse dans sa grande partie sauf quand il avait bien faillit tué Grey après s’être transformé, il pensait que ses amis eux aurait besoin de faire le point et de se remettre de ce « choc » .

A la rentrée il fut heureux de retrouver son petit cercle d’amis en y incluant Jana. Il avait également eu ce sentiment amer… Celui d’être enfermé et surveiller, il n’aurait plus les même libertés mais au final ils étaient là eux, avec eux il pouvait oublier ce sentiment, avec eux il pouvait vivre, avec eux il était bienveillant, à l’écoute, ses amis, ceux qu’il ne fallait pas toucher sous peine de représailles. Pas les celle qu’il ferait à quelqu’un s’en prenant directement à lui, non plutôt à vous faire avoir un aller simple pour l’infirmerie et vous y cloué dans un lit pour un bon moment.

Là, à ce moment précis seul comptais que Dany oublie un peu la guerre civile, qu’elle s’amuse et c’était le cas. Le duo riait aux éclats, se tenant les côtes. Cette fille avait reçue l’occasion de goûter à une de ses farces préparer rapidement, où les deux s’accorder une entente parfaite, leur spécialité, leur passe temps, leur moment à eux. Mais il fallait qu’ils partent. Premièrement pour ne pas être vue dans la même pièce que leur pauvre victime et deuxièmement pour ne pas se lasser de se spectacle si drôle et en garder un bon souvenir dont ils continueraient à rires pendant longtemps.

« Merci pour tout, je pense que nous nous reverrons, mais sache que l’on t’attendra au tournant »

Avec ses paroles Sarevok comprit que Dany lui disait de façon sous-entendue qu’il leur fallait partir. Elle avait du mal à garder son sérieux face à cette scène mais elle y arrivait.

« Oui et si tu comptes te venger sache que c’était mon idée ! »

Il affirma sa avec un aplomb et un sérieux très convainquant. Son regard plein de fierté pendant ses paroles. Tout pour bien faire croire qu’il avait eu cette idée. Pourquoi ce mensonge ? Pour la simple raison qu’il préférait que la Nasteen se venge sur lui plutôt que sur Danielle.

« Ciao ciaooo, il te reste environ trente minutes, peut-être plus, j’ai exagéré sur la dose, mais un peu plus un peu moins… »

« Quand au sortilège que je t’ai lancé… Et bien tu te débrouillera comme une grande n’est-ce pas ? »

Il eu un rire mesquin et il suivit Dany, s’enfuyant avec elle et bousculant un groupe d’élèves allant à la salle de thé. Danny leur avait lancé un : « attention ça fait peur » et Sarevok avait rajouté « C’est peu de le dire ! ». Ils c’était bien amusé…comme toujours… comme bien souvent quand ils étaient ensemble, lui souhaitant une bonne soirée et lui faisant la bise il la laissa et partit de son côté, direction l’extérieur du château.

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» Puisqu'on y songe (Feat Sarevok)
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Malices et Maléfices (Feat Sarevok et Ann) [CLOS]

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