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 Hope Nymh »

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Hope Nymh
Hope Nymh
Hope Nymh » Vide
MessageSujet: Hope Nymh » Hope Nymh » Icon_minitimeLun 25 Oct - 22:30

« Identité »


    Nom: Nymh
    Prnom:Hope
    Age: 18 ans
    Date de naissance: 29 aout 1992


« Swelty »


    Année: 7ème année.
    Maison: Cohary
    Baguette magique: 27, 3 cm, bois de vignes, plume de phénix, rigide.
    Matière préférée / détestéHope adore la métamorphose, elle est très douée. elle n'aime pas l'histoire de la magie, préférent de lions la pratique à la théorie.
    Annimal de compagnie: L'été de ses 13 ans, un loir est tombé d'un arbre dans son jardin, elle l'a récupéré et il ne l'a plus jamais quitté. Enfin, il n'a plus jamais quitté son lit. Il passe son temps au fond, sous les couvertures à ronfler et ne sort le bout de son nez que pour manger. Elle l'emmène quand même avec elle à l'école de peur que son père le laisse mourir de faim. Son petit nom c'est Ned, facil à retenir.
    Patronus:Le patronus de Hope apparait sous la forme d'une hirondelle. Elle n'a jamais trouvé de véritable explication à cet aspect. Mais elle l'aime bien son hirondelle.




« This is the story of a girl. »


Me demander de vous raconter mon histoire n’a rien d’exceptionnel. Ca arrive souvent ses dernier temps. Pourquoi ? Parce que je suis un miracle vivent... Oui c’est ca, je suis une miraculé… J’ai survécue à cette guerre. J’ai survécue à tout ca, à tant de haine et de souffrance. J’ai survécue à un tel carnage. N’est-il pas étrange que moi qui suis atteinte d’une maladie héréditaire insoignable qui a tué ma mère alors que je n’étais qu’une petite fille, j’ai pue survivre a un tel désastre ? N’est ce pas étrange que moi j’y ai survécue alors que des millions de sorcier et sorcière en bonne santé sont mort ? Moi je n’ai jamais voulu survivre a tout ca, si ma vie avait pue sauver celle de n’importe qui, je l’aurais donné sans la moindre hésitation. Certes vous allez vous dire que je tiens là un discourt peut plausible parce que peut de gens de mon âge seraient près a donner leur vie pour un inconnu et vous avez bien raison. Vous n’êtes pas obligé de me croire après tout

Je ne me souviens même plus de ce qu’étais ma vie avant cette guerre. Enfin, si je m’en souviens. Mais, elle me parait si invraisemblable. Tout a tellement changé, aujourd’hui. Je me souviens, avec mon père, nous habitions dans une petite ville vers Seattle. Il buvait. Il buvait beaucoup depuis la mort de ma mère. Ma mère est morte alors que j’allais la voir à l’hôpital. Je lui avais apporté des fleures quelques jours avant. Je me souviens, je lui répétais avec conviction qu’il fallait bien qu’elle les arrose tous les jours et que c’était très importe que l’infermière ne les déplacent pas de devant la fenêtre car si elles ne voyaient pas assez le soleil, elles allaient mourir. Peut de temps après, les fleures sont mortes, maman avec elle. Moi je m’étais endormie dans ses bras et à mon réveil, j’ai regardé son visage et j’ai sentie qu’elle n’était plus là. Je savais pourquoi elle était partie. Je savais que je pouvais partir tout comme elle. Je crois que je fais partie de ses enfants qui ont grandis trop vite. J’ai toujours due me débrouiller seule. Je n’ai pas eu le temps de jouer à la poupée, de faire de la balançoire au parc avec mes amis, je n’ai pas eu le temps de croire au père noël et à la petite souris. J’avais un stock phénoménal de médicaments à prendre chaque jour et l’interdiction formel de mon père de sortir jouer. Il se fâchait souvent mon père, il criait beaucoup. Mais je crois qu’il m’aimait quand même, il faisait surement ca en se disant que c’était pour mon bien.

J’avais 9 ans le jour où la magie est arrivée dans ma vie, maman était morte depuis 4 ans. Je savais qu’elle était sorcière ; dans le grenier, il y avait des tas de livre entassés les uns sur les autres qui parlaient de potions et de sortilèges. Il y avait des bocaux qui contenaient des choses dont j’ignorais à l’époque la nature. En cherchant, j’avais trouvé un collier que maman portait souvent de son vivent. J’étais persuadé qu’il avait quelque chose de magique. Il n’a jamais rien manifesté d’incroyable, à la grande tristesse de la petite fille que j’étais. Excepté se jour là. Enfin, c’est ce que je pensais. Je l’avais toujours porté. Je me souviens quand il l’avait remarqué mon père était entré dans une rage folle. Comme si tout ce qui touchait a ma mère était devenue tabou. Je n’osais même pas prononcer le mot « maman ». J’avais les cheveux très longs à l’époque. C’était maman qui n’avait jamais voulu me les coupés et après sa mort, je ne voulais plus les coupés non plus. Mon père avait attrapé les ciseaux, et il m’avait coupé les cheveux après m’avoir arraché le collier. J’avais attendu qu’il dorme et j’étais allé le récupéré. J’avais pleuré le soir dans mon lit en serrent le collier de maman contre moi. Au matin, mes cheveux avaient repoussés, ils faisaient la même taille qu’avant qu’ils ne soit coupés. Dans mon esprit de petite fille, c’était le collier qui m’avait rendu mes cheveux long. Maintenant évidement, je sais que ce n’était pas le cas. Quand il m’avait vu, mon père n’avait rien dit, lui aussi savait ce qui avait fait repousser mes cheveux. On n’en reparla jamais.

Depuis lors, j’attendis avec impatience de nouveaux phénomènes magique « crées par le collier ». Je pensais que c’était ma mère qui m’envoyait des messages par la pierre accroché en pendentif. La vérité c’est que j’étais une petite fille très seule. J’avais pris l’habitude de cacher les bouteilles d’alcool que je trouvais un peut partout dans la maison. Bientôt mon père resta scotché au fauteuil devant la télé. J’allais à l’école et je rentrais de l’école, rien de plus. Je n’avais pas vraiment d’amis, tout le monde me trouvait bizarre. La femme de ménage passait tous les jours, elle faisait un peut à manger pour notre repas du soir. C’était très gentil de sa par parce que ca ne faisait pas partie de son travail. A chaque fois elle me regardait avec tristesse. Moi je n’étais pas triste. J’avais une joie de vivre surréaliste. Certes mon père devenait un cas de plus en plus désespéré. Mais moi, je savais que c’était parce qu’il était très triste et je ne lui en voulais pas du tout. Avec le collier, j’avais l’impression que maman était avec moi tout le temps. Quand j’y pense maintenant c’était vraiment ridicule comme idée. Mais ce qui me rendait le plus heureuse c’était de savoir que j’étais une sorcière. A mes yeux se détail changeait tout. Je n’en parlais à personne c’était mon secret. Un jour je deviendrais une sorcière très doué et je contrôlerais mes pouvoirs à volonté. Je n’avais pas vraiment tord, je pense que je suis devenue une sorcière plutôt douée. Ca c’est grasse à Malwen. Mais Malwen n’existe plus. Enfin, plus vraiment.

Le jour ou j’ai ressues là lettre j’ai mis un moment à réaliser ce qu’il se passait. Non seulement j’étais véritable une sorcière mais en plus j’allais pouvoir intégrer une école qui allait m’apprendre tout ce que j’avais à savoir sur la magie. C’était une petite chouette grise qui m’avait apporté la lettre, c’était un matin, j’étais assise sous le perron et buvais un chocolat chaud. Mon père ronflait sur le fauteuil dans le salon. L’oiseau c’était pausé là sous mon nez et avait tendu la patte. J’ai eu l’image d’un hibou apportant du courrier à ma mère qui tendait la pate de la même façon. J’avais récupéré l’enveloppe en toute hâte et l’avait lu au moins cinq fois d’affilés. Je me suis précipité dans le salon pour réveiller mon père. Grosse erreur. Je crois que c’était la première fois que je lui en ai vraiment voulu. Il m’a regardé et a dit que non, que je n’irais pas dans cette école de sorcier parce que c’était ca qui avait tué maman. J’ai explosé. Du haut de mes 11 ans, je me suis mise à hurler, qu’il était minable de m’interdire de pratiquer la magie, que ca n’avait pas tué maman et que ca n’avait rien à voir parce que moi je savais ce qui l’avait tué et je brandissais la boite de comprimé qui était dans ma poche quelques secondes avant. J’ai crié que j’avais honte de lui et de ce qu’il était devenu parce qu’à cause de ca, la femme de ménage était obligé de nous faire à manger. J’ai hurlé que de toutes les façons, j’irais à Malwen parce que il n’était pas mon père ou du moins je ne voulais pas avoir un père comme ca. Il m’a regardé sans rien dire. Je crois qu’a se moment là, il s’est passé quelque chose dans la tête de papa. Il m’a dévisagé et a hoché la tête sans rien dire, avec ses yeux triste. Ces grand yeux vert émeraude, les même que les miens. J’ai murmuré un petit « merci » et je suis partie.

Malwen c’était le top du top ! Aussi bien que je l’avais rêvé. J’étais toujours là même mais en mieux. Toujours aussi souriant et de bonne humeur, toujours avec les cheveux aussi longs et les yeux aussi vert. Toujours passionné par la magie et les cours. J’adorais la métamorphose et je détesté l’histoire de la magie tout comme les trois quarts de mes camarades. Je m’y suis fait des amis, des tas d’amis. Et des ennemis aussi. Je crois que je suis trop susceptible, je m’énerve un peut pour pas grand-chose. Beaucoup n’aiment pas ca. Ils n’aiment pas ma franchise non plus. Je m’en fichais et je m’en fiche toujours d’ailleurs. Mais plus le temps passait plus la maladie s’aggravait je faisais des crises de tétanie et d’hyppoglissémie. Mes malaises étaient de plus en plus fréquents. J’étais obligé de me balader partout avec un flacon rempli de gélules. Certains de mes camarades trouvaient cela suspect et j’ai étais obligé de leur expliqué. Je n’aimais pas leur dire. Encore maintenant, je n’en parle que très peux. J’ai toujours pensé qu’il y avait des choses qui ne regardaient que moi et que les autres n’avaient pas besoins de savoir. J’étais aussi devenue une habituée du bureau psychologue et de l’infirmerie. J’avais mes petites habitudes là-bas. A Seattle, mon père continuait à boire, je détestais rentrer à la maison. Malwen était chez moi, j’y passais le plus de temps possible et ne rentrais même pas pour noël. A chaque fois que je rentrais j’avais peur de ce que j’allais retrouver dans la maison…

Et puis il y a eu la guerre. La guerre m’a pris mon père. C’était une période durant la quelle il ne fallait pas avoir un mot plus haut que l’autre. Mais la vodka embrume l’esprit et la raison. Mon père a eu un mot plus haut que l’autre. Il est partie rejoindre maman. Je ne vous raconterais pas la guerre. Vous n’avez pas besoins de connaitre des choses aussi horribles. La guerre a pris Malwen. L’école à était détruite, réduite à néant. J’ai failli tout perdre. D’autre on tout perdu. Même la vie. J’ai perdu le collier de maman. Si vous saviez comme je la déteste cette putain de guerre.

Maintenant c’est fini. Maintenant il y a Swelty. Alors, à suivre…



« On est plusieurs dans ma tête mais c'est moi le chef ! »


    Caro, Malwenienne d'origine. Franchement, le disigne je kiffe comme pas permis et le forum aussi et puis j'ai trop envie de RP ici aussi et puis... ok, maggle .__.


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Emma Rosefild
Emma Rosefild
Hope Nymh » Vide
MessageSujet: Re: Hope Nymh » Hope Nymh » Icon_minitimeMar 26 Oct - 0:19

*s'incruste en silence* Bienvenue =) *repart en silence*
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http://xianeko.skyrock.com
Darren Swelty
Darren Swelty
Fondateur du Forum / AdministrateurFondateur du Forum / Administrateur

Identifiant Joueur
Âge: 18 ans
Sexe: Masculin
Localisation: Nîmes |France|
Hope Nymh » Vide
MessageSujet: Re: Hope Nymh » Hope Nymh » Icon_minitimeMer 27 Oct - 4:55

Validée, bien sûr Very Happy
Bienvenue à Swelty !

*la cape noire posée sur Hope change de couleur : marron....*

COHARY !
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https://swelty.forumactif.com
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Hope Nymh » Vide
MessageSujet: Re: Hope Nymh » Hope Nymh » Icon_minitime

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