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 Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._]

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Amadeus Liv Sylfean
Amadeus Liv Sylfean
InfirmierInfirmier
Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Vide
MessageSujet: Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Icon_minitimeSam 6 Nov - 9:02

[Reprenant l'idée d'un certain Dawn, je précise que cette scène se déroulera dans les dortoirs.]


Lundi. Le lundi est le pire jour de la semaine. Non seulement on reprend le travail après deux jours de repos bien mérités, mais en plus, c'est toujours ce jour là où les élèves qui se disent malade affluent. Ce midi, Amadeus évaluait le nombre de ses patient à 6. Une gorge sèche, un bobo saignant, deux fausses maladies et deux règles douloureuses pour louper le cours de vol de balai. Ces petites bricolent l'occupaient et le rendaient fier de son travail. Il n'oubliait jamais de saluer les jeunes d'une façon narquoise lorsque ceux-ci quittaient l'infirmerie. Mais le lundi était réputé pour être le jour durant lequel, comme deux autres de la semaine, il voyait une patiente régulière. Une petite gamine, pas si petite que ça vu qu'elle attaquait sa dernière année, passait le voir avec toujours le même soucis. Non, toujours le même serait mentir. Disons qu'elle avait presque trois raisons différentes de venir. Toutes aussi stupide. Un petit mal par ci, un petit mal par là. Amadeus était certain qu'elle l'admirait secrètement, et qu'elle s'inventait quelque chose rien que pour pouvoir poser ses yeux sur lui un instant. Il n'aimait pas ce genre de groupie. Il choisissait ses cibles. Il ne se faisait pas prendre de cours parce qu'on l'avait décidé. Il était le maître. Et les visites quotidienne de cette demoiselle Nymh devenaient insupportables.
Ce lundi là encore, elle vint le voir. Elle était toujours aussi timide et on voyait qu'elle se fichait des soins qui lui étaient administrés par l'infirmier. Voyez, sa venue n'était pas due à une maladie, mais à une obsession pour la blouse blanche. Il lui donna cette fois-ci un calmant et la laissa allongée une petite demie-heure puis la pria de bien vouloir partir. Ce qu'elle fit en titubant. Elle semblait plus pâle que d'habitude. Il soupira lorsqu'il signa sa fiche de patients, devant par-là prouver ses relevés de travail. Sa blancheur avait sans doute été provoquée par son week-end, si elle avait fait telle ou telle activité à risque ou si elle avait attrapé froid. Peu importe. Il se posa d'ailleurs une question. Il n'avait jamais trouvé le dossier de la demoiselle, du moins, il ne l'avait jamais eu entre les mains et n'avait pas bougé un doigt pour savoir où il était. Mais cette répétition à outrance l'ennuyait. Il vouloir connaître les antécédents de la jeune fille. Il vérifia dans les piles éparpillées dans son bureau mais ne vit rien. Il haussa les épaules. Boarf, il en toucherait deux mots au directeur s'il en avait l'occasion, sinon tant pis.
La soirée se déroula comme d'habitude. Le jeune homme se perdit à rire avec Aaron à table, croisa deux ou trois jeunes filles mignonnes qu'il salua d'un gracieux signe de tête avec un sourire charmeur et s'était retiré dans sa chambre. Là, c'était son monde. Son monde imaginaire, celui qu'il avait dans la tête. Il s'approcha de la maquilleuse, observa son reflet et entreprit de se maquiller. Enfin, pas comme une fille, plutôt comme un Marquis. Les soirées et au réveil, il se prenait pour un autre. Après trois bons quart d'heure de retouche physique, il était content du résultat. Il laissa échapper un soupir de satisfaction. Il vagabonda dans sa chambre puis s'assit sur le rebord du lit afin de lire un petit moment. Lorsque cette activité commença à l'ennuyer, il sortit de sa poche sa montre à gousset et s'étonna de l'heure tardive. Déjà vingt-trois heures, il se devait d'aller se coucher. Nouveau retour à la maquilleuse, il défit petit à petit les traces artificielles qu'il avait laissé sur son joli visage et entreprit de se changer. Il enfila sa robe de nuit de soie, digne des plus prestigieuses maisons du XIXème siècle. En se plongeant sous les draps, il vérifia qu'il tenait de main ferme sa montre. Il s'endormit du sommeil des innocents, rêvant des jardins de son manoir et de ses longues marches en compagnie d'une ravissante demoiselle.

BAM BAM BAM.
On tambourinait à la porte. Jamais une porte n'avait été martelée de la sorte. Le jeune Amadeus se réveilla en sursaut. Il avait l'habitude de ce genre de réveil, mais ils n'étaient jamais dus à des coups acharnés contre son lieu de vie. Il se leva rapidement. Il fallait à tout pris faire cesser ce massacre. Ses pauvres oreilles allaient exploser. Il ouvrit sa montre qu'il regarda furtivement. Trois heures. Il tira sur la poignée de bois et tomba nez à nez avec trois demoiselles en très fines tenues. Ses yeux brillaient. Mmm, de la bonne chair. Quel est le heureux hasard qui amena ces magnifiques créatures au pied de son lit ? Bon, sauf celle de droite, elle n'était pas comestible. Les immondices pullulantes sur son visage présageaient une mort certaine.

« Et bien gentes dames, quelle joie m'apportez-vous, autre que la beauté qui émane de vos corps ? »

Il leur montra un sourire ravageur. Il se tenait dans l'embrasure de la porte, appuyé sur un de ces coudes, faisait glisser tel un yo-yo sa montre de ses doigts de pianiste. Pourtant, le visage des demoiselles semblait beaucoup moins heureux. Elles paraissaient paniquées, anxieuses. Amadeus leva un sourcil interrogatif. Les jeunes élèves cherchaient les mots qu'elles allaient prononcer mais qui ne voulaient pas sortir tant la tétanie les emportait. L'une d'entre elle eut le courage de lever un bras et de l'agiter en tout sens en laissant échapper des mots incompréhensibles.

« Et bien mademoiselle, exprimez-vos propos avec plus d'élégance. Une aussi belle femme que vous doit savoir parler avec éloquence. Mais je peux vous apprendre quelques mots de latin, si vous voulez bien entrer. »

Une petite langue farouche sortit de la bouche du Marquis, se posant docilement sur un coin de ses lèvres. Il s'écarta un peu pour laisser les gamines passer. Mais celles-ci ne bougèrent pas d'un poil. La plus dégourdi reprit la parole.

« Espèce de détraqué !! Hope ! Hope ! Elle est .. elle est.. »

Elle ne trouvait pas les mots mais Amadeus comprit tout de suite. Il fit un signe de tête et referma la porte sur les jeunes filles abasourdies. Après un dernier regard sur sa montre à gousset, un passage rapide à la maquilleuse pour retrouver sa beauté d'infirmier et sortir du corps du Marquis Sylfean, Amadeus défit sa robe de soie et l'échangea contre des vêtements bien moins somptueux : un jean et la première chemise blanche qui montrait son nez. Les coups avaient repris sur la porte. Le jeune homme attrapa la mallette qui trônait sur un coffre dans un coin, mallette qui contenait ses outils de soignant. Puis, il le vit. Là, perdu entre le mur et la grosse boîte. Un gros H se dessinait, suivi pas de minuscules o, p, e. Il l'arracha des griffes de l'oubli et le glissa sous son bras, à côté de sa mallette. Il se précipita dehors, oubliant la fermeture de sa porte et, sous le regard choqué mais reconnaissant des enfants, courut à grandes enjambées vers le dortoirs des Cohary. Les filles couraient derrière lui. Elles seules pouvaient le faire entrer dans la salle commune. Durant sa course effrontée, il feuilleta le dossier de Hope, qu'il avait maintenant très envie de connaître. Il ne put lire réellement, mais il attrapa des mots comme « bonne élève », « passé difficile », « maladie incurable ». Incurable ? Voilà la réponse. La solution à tout. Cela expliquait les visites et tout le reste. Cela devenait maintenant très urgent de retrouver cette pauvre fille qui semblait en danger.
Les compagnes de dortoirs de Hope laissèrent le passage libre à l'infirmier, dévérouillant les portes sur son chemin. Lorsqu'il franchit le seuil de la chambre des filles, sont estomac bondit de sa poitrine. Il lâcha ses affaires, tant il n'avait jamais vu un tel cas. Elle était là, devant lui, la jeune Hope Nymh, en pleine détresse.
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Hope Nymh
Hope Nymh
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MessageSujet: Re: Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Icon_minitimeDim 7 Nov - 9:04

    Tout était noir. C’était le néant. Il n’y avait rien. Elle était là, seule au milieu de se vide. Ses pied ne touchait pas vraiment de sol parce qu’il n’y en avait pas mais elle ne tombait pas non plus. C’était comme si une force invisible et impalpable la maintenait en équilibre. Elle sentit alors quelque chose au creux de sa main. Elle leva sa baguette qui venait de surgir dans sa paume sans plus de surprise. Celle-ci s’alluma instantanément. Elle regarda droit devant elle, la baguette n’éclairait rien. Des murmures se firent alors entendre. Des centaines de voix qui se mêlaient les unes aux autres. Elle se retourna vivement à plusieurs reprises, scrutant les ténèbres qui l’entouraient Il n’y avait rien. Les voix continuaient de s’entremêler, inaudibles. Elle continua à se retourner en tous sans cherchant d’où elles venaient. Soudain les mots se changèrent en cris, elle entendit des explosions sourdes, des sort qu’on jetait a la volé, des pas qui courraient, encore des cris, toujours des cris. Des hurlements de peur, de souffrance, de tristesse. Et chacun de ces hurlement lui crevaient le cœur tendit qu’elle était toujours seule dans le noir avec pour seule espoir cette lumière qui n’éclairait rien. Et puis soudain, plus rien. Plus de cris plus de murmures. Persista seulement un bruit sourd et régulier. Une sorte de battement comme étouffé par l’épaisseur du néant. Elle rabaissa sa baguette qui doucement comment ca à s’éteindre. Alors elle n’entendit plu les battements. Et dans une soudaine éclaire de lucidité, elle comprit que c’était son cœur qui venait de cesser de battre.


    -HOPE !


La dénommé Hope se réveilla en sursaut, se redressant un peut trop rapidement. Elle regarda autour d’elle. Ces camarades de dortoirs l’observaient d’un air inquiet. Il ne faisait pas noir. Elle eu envie de pousser un soupir de soulagement. Mais elle prit conscience qu’elle était incapable de respirer correctement. Son rythme respiratoire était beaucoup trop rapide même pour quelqu’un qui vient de se réveiller d’un affreux cauchemarda. Elle Essaya de dire quelque chose mais rien ne sortit. Elle ferma les yeux tentant de se calmer. Elle sentit les draps humides sous ses doigts. Une goute de sueur glissa sur ses temps, de même le long de sa nuque, de sa poitrine. Ses longs cheveux bruns collaient à son visage. Elle essaya de son concentrer sur sa respiration. Tentant de compter dans sa tête. Un deux trois quatre cinq… Elle perdait le fil de ses pensées. Elle rouvrit alors les yeux. Elle observa un instant ses camarades. Elle voyait leurs lèvres s’animer mais n’entendait rien. Un bourdonnement lui comprimait les pimpants.

Quelque chose clochait. Ca n’était pas normal. Pas tout ca d’un coup. Ca n’avait pas de sans. Ca n’était jamais arrivé.

Elle leva sa main droite et y jeta un coup d’œil, elle tremblait comme jamais. Hope croisa le regard de l’une de ses amis. Elle la regarda de ses grands yeux vert suppliant. Il fallait que quelqu’un arrête ca. Elle avait l’impression qu’on lui lasserait le cerveau a coup de lames de rasoirs, qu’on était entrain de lui compressait le cœur pour l’empêcher de battre correctement et qu’on l’empêchait de gonfler suffisamment ces poumons. Les larmes se mirent à ruisseler de ses yeux. Elle n’arrivait toujours pas à parler.

Elle aurait voulu hurler pourtant. Si seulement elle avait pue. Elle était sur que ca l’aurait énormément soulagée. Mais paradoxalement c’était justement parce qu’elle ne pouvait pas hurler qu’elle en avait autant besoins. Elle vit trois de ses amis partir en courant. A ses côté, Tiffany attrapa sa main tremblante et lui caressait les cheveux. Elle lui parlait, lui demandait de s’allonger, ca irait surement mieux. Mais Hope n’entendait rien. La nausée lui monta alors, lui retournant l’estomac. Oui c’était la solution. Ca allait marcher. D’une main tremblante elle enfonça deux doigts dans sa gorge. L’air lui manqua, la tête lui tourna et rien de vin. Elle recommença à deux reprises rien.
C’était insupportable. Sans issue. Alors c’était ca que ca faisait de mourir ? Mon dieux, si seulement ca pouvait être plus rapide !
Ses trois amies revinrent alors accompagnées d’une grande tête blonde. Hope le reconnu immédiatement. Une vague de colère l’envahi. C’était cet abruti qu’elles étaient allaient cherchées pour lui porté secours ? Cet incapable qui l’avait renvoyé d’un ton nonchalant la veille comme si de rien n’était. Bon sang il y avait bien d’autres professeurs plus compétents que lui à Malwen. La réalité s’imposa alors à elle encore une fois. Ce n’était pas Malwen.

Elle sentit alors le battement de son cœur contre ses temps, dans ses poignets, au niveau de sa jugulaire. Elle l’entendait de partout, il couvrait même le bourdonnement qui infestait ses oreilles. Sa main se resserra autour de celle de Tiffany.
Et puis soudain… Tout était noir.
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Amadeus Liv Sylfean
Amadeus Liv Sylfean
InfirmierInfirmier
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MessageSujet: Re: Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Icon_minitimeDim 7 Nov - 10:31


L'heure était grave. Il fallait agir le plus vite possible, Amadeus le sentait de son flair d'infirmier. Il n'avait jamais côtoyé la mort de si près. Il ne savait pas ce que ça faisait, de voir son patient mourir. Et il ne voulait absolument pas le savoir aujourd'hui. Pas dans cette école. Pas une patiente régulière. Pas cette fille au dossier qui avait l'air si passionnant. Alors si un drame ne devait pas arriver, c'était maintenant ou jamais. Il courut au chevet de la jeune fille, s'agenouilla et lui posa deux doigts sur le cou, pour percevoir les battements de ses veines. Aucun signe de vie. Rien ne faisait circuler le sang dans le corps de Hope. Rien n'alimentait son cœur. L'infirmier sentit le sien lâcher lui aussi. Il eut un énorme coup de stress. Il suait abondamment et des auréoles encerclaient déjà ses aisselles. Il hurla, vraiment :

« Bougez-vous de là. Allez dans mon bureau, y'a les clefs de l'infirmerie sur la maquilleuse. Première armoire, une grosse caisse noire. A deux, sinon trop lourd. Mais dépêchez, restez pas plantées là ! »

Il rampa jusqu'à la mallette qu'il avait faite tomber. A genou sur le sol, il l'ouvrit et farfouilla à l'intérieur. Il enfila des gants, faute de pouvoir se nettoyer les mains, glissa quelques instruments dans la petite poche de sa chemise et revint vers la jeune fille. Il la mit en position latérale de sécurité. (Et oui, j'ai bien suivi mes cours de de la Croix Rouge /o/) Il n'y avait que ça à faire tant qu'il n'avait pas la grosse boite. Il la toucha à plusieurs endroits, pour vérifier si certaines choses fonctionnaient correctement. Et non pas pour profiter d'elle, bande de pervers. Les secondes passaient et rien ne changeait. Hope était dans un état entre vie et mort. Il ne pouvait pas attendre les filles à qui y avait demandé de porter une boite lourde d'une dizaine de kilogrammes à travers la moitié du château. Elles mettraient trop de temps. Il n'en avait pas.
Il n'avait jamais fait ce qu'il s'apprêtait à faire, seulement sur des mannequins en plastique de l'école. Il coucha Hope sur le dos, la déplaçant dans sa position initiale Il respira un grand coup. Il passa une des ses jambes par dessus le corps inerte de la gamine et se retrouva donc à califourchon au dessus d'elle. Il prit rapidement la mesure. Il posa sa main droite à l'endroit indiqué par l'autre puis glissa cette dernière par dessus. Il entreprit de donner des pulsations à un cœur immobile. Un. Deux. Trois. Quatre. Cinq. Il retira ses mains et pinça le nez de la jeune fille, lui ouvrit la bouche et partagea son souffle avec elle. Deux fois. Et il recommença les pulsations. Et ce jusqu'à l'arrivée des demoiselles en mission.
Elles le découvrirent dans cette posture étrange, qui sortie du contexte aurait été flippante. Elles déposèrent la boite à quelques pas du lit. Entre deux pulsions, Amadeus leur demanda de suivre ses instructions, ne pouvant dire plus de trois mots d'affilé, devant continuer son bouche à bouche.

« Ouvrez. Boite verte. Ouvrez. Élixir jaune. Ouvrez. Dans sa bouche. Une gorgée. »

Les filles s'exécutèrent. Lorsqu'elles firent couler du liquide jaunâtre entre les lèvres de l'enfant, Amadeus arrêta soudain son massage. C'est bon, il avait presque finit le plus gros. Il prit des mains d'une fille le flacon, le reboucha et le rangea, les priant de quitter la pièce. Hope avait besoin de calme. Il les accompagna à la porte, et la verrouilla d'un sort qu'elles ne pourraient desceller. Il retourna examiner la patiente. Il savait qu'avec ce médicament, son cœur reprendrait doucement du service. Elle serait loin d'être guérie, mais elle avait maintenant une chance. Cependant, l'effet de l'élixir était à retardement. Il injectait dans le sang des globules à turbo, qui redonnaient une vitesse au sang et qui par là, pouvaient ramener le cœur à la vie. Pour le moment, c'était tout ce qui importait. Il remit le couvercle sur la grosse boite, vérifiant par le même geste si tout était en place à l'intérieur. Il eut un instant de répit. Et il songea quelques secondes à l'ironie du sort des fillettes. Il leur avait ordonné d'apporter une boîte si énorme, si lourde, pour un flacon de dix centimètres de haut qui devait ne peser que quelques grammes. Un vague sourire traversa son visage mais ne dura pas. La situation n'était pas amusante du tout. Il ramassa le dossier éparpillé qu'il avait laissé tomber et vint s'asseoir en tailleur sur la caisse noire. Il posa sur ses genoux les feuilles volantes et essaya de les rassembler pour pouvoir les lire. D'un main, il manipulait les pages. De l'autre, il tenait le poignet de Hope, attendant impatiemment de le sentir vibrer entre ses doigts.
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MessageSujet: Re: Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Un défaut de frabication. [_H.o.p.e._] Icon_minitime

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