Sujet: Puisqu'on y songe (Feat Sarevok) Jeu 16 Déc - 6:53
Puisqu'on y songe
Sarevok & Danielle
Elle avait envoyé un message à Sarevok usant d’un sort qu’il lui avait lui même apprit, un sort transmettant directement le message à son destinataire, dans la main, le visage, là où il en aurait directe accès. Elle attendit un moment d’avoir une réponse tout en prenant l’une de ses mèches de cheveux et en commençant à la tresser doucement, perdue dans ses pensées, elle sursauta lorsqu’une réponse arriva. Elle prit le papier et le parcourra sans réellement lire, le papier était froid, l’écriture rapide et désordonnée, de mauvaise humeur peut-être ?
« Désolé, mais je préfère rester seul à l’heure actuel, il me faut réfléchir à certaines choses, quand j’aurais mes réponses je reviendrais vers toi et les autres ! Ps: Ne m'en veut pas. Amicalement Sarevok.»
Soupir, elle était assise dans l’un des canapés de la grande salle commune, en boule devant un feu éblouissant qui réchauffait toute la pièce. Elle regarda un instant le feu, se perdant dans le bleu et le rouge, sans vraiment savoir qui dominait cette bataille acharnée. C’était endormant, peu de personnes autour d’elle, la neige dehors faisaient régner un silence apaisant. Doucement elle referma les yeux et repensa au week-end dernier lorsqu’elle avait pris une douche avec ses amis. Moment assez embarrassant, mais elle s’y était fait et avait chasser cet embarras. Une phrase lui trottait pourtant constamment dans la tête.
Sarevok : « Heu… Dany, quand tu auras le temps je… j’aimerai te parler en tête à tête… C’est important ! »
Quesque cela voulait dire ? Elle savait que Sarevok était mystérieux, mais elle ne le connaissait pas lunatique. Un jour il voulait la voir en privé et depuis plus de nouvelle. Cela devait cesser. Quand à fouiller l’école à sa recherche, même Diary, son hibou, n’était pas parvenu pas à le trouver. Elle se leva en fronçant les sourcils par habitude. Elle n’avait pas encore répondu à la lettre. D’abord énervé, car Sarevok avait écrit ce message comme s’il était adressé à quelqu’un d’autre. Croyait-il réellement qu’elle le laisserait seul pour réfléchir ??? Cela faisait déjà quartes jours, qu’avait-il de si important à faire ? Et cela ne la concernait pas puisque Grey lui même ne recevait aucune nouvelle.
Elle s’approcha de la fenêtre, elle y voyait son reflet, dehors il faisait sombre malgré que l’on fût en pleine après-midi et le feu éclairait la pièce avec ardeur. Ses doigts parcoururent les tracés des losanges sur la vitre alors qu’elle plissait les yeux pour voir dehors. De la neige, encore et encore. Depuis hier elle avait commencé et pas un seul instant elle n’avait cessé de tomber. C’est vrai que c’était beau, là bien au chaud dans la salle commune, le spectacle était magique. Mais dehors, lorsque le froid arrache vos orteils, que la neige s’infiltre dans votre cou, que vous tremblez même à l’intérieur. Non, Dany détestait la neige et celle-ci avait beau être « belle », savoir ces méfaits lui retirait cette beauté. D’autant que le blanc, tout blanc. C’était trop triste, le ciel blanc à cause du brouillard, les arbres, le sol, les bâtiments, animaux, élèves. Tout. Cela manquait de couleurs, de vie, décidemment la neige c’était beau l’instant d’une journée, autant dire que cela durait depuis plus d’un jour et qu’elle en avait déjà marre.
Quelqu'un : « Hey Salmon, quesque tu fais !? Viens avec nous on va faire une bataille générale de boulles de neige ! Nissena conte Cohary contre Nasteen, ça va être drôle on pourras rendre nos comptes comme ça ! »
Elle se retourna à moitié, hmm botter le cul à certain Nasteen, c’était tentant, mais non. Tout d’abord à cause de la neige et de Sarevok. Elle sourit au garçon qui l’avait invité tout en refusant poliment son invitation. « J’ai quelque chose à faire et ça ne peut attendre… » Il haussa les épaules et partit en courant tout en criant dans les couloirs : « BATAILLE GENERALE ! » Elle sourit pour elle même et réfléchit à l’endroit où elle pourrait trouver Sarevok, elle n’en avait décidemment aucune idée. En soupirant elle écrit un message qui disait :
Dany : « Viens dans le jardin aussi vite que tu le pourras »
Et elle signa avec un simple D. Aucune explication, un ordre, peut-être croirait-il qu’elle a un problème et que cela l’obligerait à bouger ? Elle déposa sa baguette sur le mot qui s’évapora puis elle se rendit rapidement dans le vestiaire pour mettre des vêtements chauds. Elle mit un gilet violet, un peu étonnant vu sa maison mais le mauve et violet était dans ses couleurs préférées et elle refusait de ne pas mettre cette couleur juste à cause de disputes entre maison. Elle enfila une veste grise par dessus et mit une écharpe de la même couleur. Après un regard passager dans un miroir, elle sortit et traversa les couloirs, jurant contre le froid qui commençait à lui piquer les joues et le bout de ses doigts. Rapidement elle dévala les escaliers et descendit jusque dans la cours qu’elle traversa pour arriver dans le jardin. Pas de Sarevok. Elle s’appuya sur le pan d’un mur et regarda les alentours, espérant qu’il daigne venir.
Dernière édition par Dany Salmon le Mer 12 Jan - 9:16, édité 1 fois
Sarevok Eirswatsein
Sujet: Re: Puisqu'on y songe (Feat Sarevok) Ven 17 Déc - 2:35
Dany : « Viens dans le jardin aussi vite que tu le pourras »
Voilà comment commença sa journée. Pour une fois il avait eu le sommeil lourd. Rêvant, cauchemardant, mais au final il dormait, une nuit complète, même une grâce matinée ! Quel miracle. Le message atterrit dans sa bouche qui était ouverte pour on ne sait trop quel raison. Sarevok ne réagit pas immédiatement, c’est quand dans son beau rêve de l’instant il s’étouffa sans raison qu’il se réveilla crachant le papier dans sa bouche. Il examina les alentours il n’y avait personne. Qui lui avait mit ce maudit papier dans la bouche… Quand il y prêta plus ample attention il vit une écriture qu’il pue facilement reconnaître. Dany ! Cette façon de présenter les choses… Le garçon qu’il avait vu très très proches d’elle lui aurait fait peut-être du mal ? Si c’était ça tant mieux, une bonne raison de lui refaire le portrait. Il se leva donc de son lit. Prépara des affaires à tout hasard et courut nue vers les douches, bousculant les élèves au passage. De bonne humeur à l’idée de pouvoir casser la figure de ce type qui était avec Dany à la bibliothèque, il esquiva les jolies filles dans le couloir, les esquivant, tout sourire, petit clin d’œil et un « Bonjour ! Excusez moi je suis pressez ». Arrivé aux douches, il fit le plus vite se douchant à l’eau froide, puis une fois sec, il enfila boxer, chaussette, chaussure, enfila son pantalon dans le couloirs.
Il courrait à toute allure en direction de l’extérieur, se revoyant cette scène si énervante… Certes il faisait stupide courant les bras en l’air en train de s’enfiler un tee-shirt manche longue, le torse nu, la tête dans le tee-shirt… Un garçon de cinquième année vit là l’occasion de faire mal à Sarevok et lui lança un grand coup de poing dans les abdos. Au vue des phalange, Sarevok devina de quel côté était son agresseur du moment, il sauta et lui flanqua un grand coup de pied dans le visage tout en enfilant complètement son tee-shirt.
« Quelle prouesse! Mesdemoiselles veuillez excuser mon agressivité sur votre camarade mais je suis pressé et il m’as retardé ! Sur ce la bonne journée ! »
Continuant donc sa course il enfila un sweet-shirt, mais alors qu’il finissait de l’enfiler et qu’il arriver devant les grandes portes pour sortir. La chose la plus stupide lui arriva ! Il chuta comme un idiot… de tout son long, s’étalant au sol, presque au ralentit. Un coup d’œil à ses pieds pendant cette chute afin de comprendre ce que ses pieds lui jouer comme tour. Un lacet défaits, un petit rebelle qui voulait le ralentir dans son empressement à allé retrouver sa petite Nini… Il lui règlerai son compte !!!
« Espèce de lacet ingrat ! »
Ce fut plus fort que lui, bon il serait officiellement déclaré mentalement instable après avoir parlé à un lacet mais bon… Il refit en vitesse se fichu lacet et repartit vers l’extérieur, cape de Nasteen enfin mise, il y avait beaucoup de neige, pas mal de neige, il en tomber aussi. Tout ce blanc, c’était écoeurant… Il reçue un boule de neige sur la face, ce qui lui valu de ne pas trop voir où il courait pendant un certain temps. Quand il pu a nouveau y voir plus clair il se diriger vers le mur, il dévia sa trajectoire pour la direction des jardins. Toujours plus vite, encore et toujours il arriverait aussi vite qu’il le pourrait, au final quand il arriva il voulut s’arrêter mais son pieds glissa sur quelque chose sous la neige, il tomba, roula au sol et s’aplatie face dans la neige juste à côté de Dany. Il sentit comme une présence l’observant. Il sortit son visage de la neige et tourna la tête… Dany… Il jeta un œil alentours. Personne sauf Dany… Ils étaient seuls, juste à tout les deux et pas d’abrutit se collant à Dany dans les parages… Il lui fit un sourire désolé.
« Heu… Bonjour Dany ! Comment vas-tu ? »
Il décida de se relever plutôt que de restait étaler de la sorte dans la neige. En se relevant il faillit à nouveau retombé, commença dangereusement à se rapprocher du sol, il reprit finalement de justesse son équilibre. Position idiote dans la quelle il était. Un bras en l’air, l’autre devant son ventre en arc de cercle. Une jambe partant derrière lui, l’autre légèrement arqué, on aurait presque dit une ballerine répétant ses mouvements pour le spectacle à faire. Il garda cette pose quelques instants, le temps de s’assurer qu’il avait bien son équilibre… Une fois assurer de ça il se remit droit, puis il observa cette immonde blancheur et Dany, elle rendais le paysage si merveilleux. Il lui fit un sourire joyeux, content de la revoir. Il avait les cheveux en bataille, de la neige partout mais il s’en fichait il était seul avec Dany. Même si il appréhender comment elle aller prendre le fait qu’il ne soit pas aller la voire pendant une semaine.
Dany Salmon
Sujet: Re: Puisqu'on y songe (Feat Sarevok) Ven 17 Déc - 6:07
La neige tombait encore, de fins flocons s’écoulait lentement, donnant l’étrange sensation à Danielle d’un sablier qui s’écoulait et que l’on comptait les minutes grâce à cela. L’air de rien, ses mêmes flocons arrivait à s’accrocher aux vêtements, aux cheveux et nous mouillait tout en nous glaçant les os. Peut-être aurait-elle dut choisir un autre endroit ? Tant pis, le message avait été envoyé alors autant attendre et de toute manière, l’appuie d’une fenêtre au dessus de sa tête la protégeait de la neige, ou du moins elle protégeait la partie supérieur de son corps, à partir de la taille elle recevait toujours des flocons, sans parler de ses chaussures qui étaient déjà foncée à cause de l’humidité qui s’infiltrait, elle jura en s’imaginant retirée des chaussettes trempées, ce qu’elle pouvait haïr la neige !
Finalement, Sarevok arriva, dans les temps, elle n’avait du attendre que trois minutes. Il arriva du côté cour, comme elle, et entra par le portail qu’elle avait empruntée avant de s’appuyer sur le mur adjacent. Elle le vit arriver, il avait une allure rapide et quand il stoppa, il glissa sur la plaque de verglas qui s’était formée. S’en suivit un roulé-boulé dans la neige et il s’étala de tout son long. Elle sursauta et quand elle le reconnu, elle serra les dents et s’obligea à ne pas éclater de rire. Sur que si cela était arrivé un autre jour, elle n’aurait pas hésiter à s’esclaffer, mais quand on a des comptes à régler, perdre son sérieux gâche le sermon et se laisser aller et rire avec lui pour ensuite l’engueuler perdait toute crédibilité.
Elle réussi à reprendre son sérieux. Comment elle allait hein ? Après une semaine de j’te cherche tu me fuis, désolé pas envie de te voir aujourd’hui, c’était bonjour comment tu vas, comme s’il s’était vu naturellement ? L’envie de le pousser pour qu’il retombe dans la neige lui passa par la tête. Elle le regarda avec un sérieux qu’il ne devait pas encore lui connaître tandis qu’il tentait de remonter. Ne pas rire, ne pas rire, tentant de remonter à sa hauteur, patinant pour ne pas retomber au sol, s’accrochant au mur alors que ses jambes glissaient vers la pelouse du jardin, pelouse où il aurait peut-être meilleur appui ? Bref, il réussi à remonter et Danielle, qui avait détourner son regard afin de ne pas succomber à l’envie de s’esclaffer, put reporter son attention sur lui. Elle le regarda avec étonnement, il avait un grand sourire heureux peint sur le visage.
Dany : « Comment je vais ? Tu te le demandes vraiment ? »
Regard mauvais ou plutôt rageur et déçu. Elle fouilla longtemps dans les grandes poches de sa veste grise. Fouillant rageusement, elle sortit une boîte de chocogrenouille vide qu’elle déposa directement dans une corbeille à leur côté, celle-ci s’enflamma pour brûler les déchets qui venaient d’être déposé. Elle sortit ensuite un une boite en carton contenant deux ballons bouzeux dont elle se servait en retenue pour sortir sans être vu, ensuite un chiffon doré (très bon démaquillant), elle évita une autre boîte plus grande qui contenait quelques fioles de potions et attrapa un bout de papier qu’elle sortit rapidement en rangeant toutes ses affaires. Puis elle lui tandis le mot.
Dany : « C’est plutôt à toi de me dire ce qui ne va pas. Et ce que ce mot signifie. »
Elle le regarda un instant, oubliant entièrement la splendide arrivée qu’il avait fait en arrivant près d’elle. Elle ne se doutait pas des sentiments qu’il pouvait éprouver pour elle et cela l’énervait qu’il se renferme sur lui même lorsqu’il ne se sentait pas bien ou qu’il se défoule sur les autres tels que des élèves de troisième qui ne lui avait rien fait. C’était brutal et cela ne servait strictement à rien. Toujours, elle lui avait toujours dit qu’il pouvait compter sur elle, c’était un bon remonte moral de faire des farces aux autres élèves, pourquoi s’isoler ? Pour réfléchir ? Réfléchir pouvait être mauvais lorsqu’on était seul et triste.
Dany :« Dit moi ce qu’il se passe et, elle le regarda dans le fond des yeux, tu voulais me dire quelques chose la dernière fois dans les douches, tu n’en a toujours pas eu l’occasion… »
Sarevok Eirswatsein
Sujet: Re: Puisqu'on y songe (Feat Sarevok) Ven 17 Déc - 8:05
Après sa chute il lui sembla que Dany voulut rire mais qu’elle se retenait… Pourquoi ? Il ne comprit pas vraiment, pourtant il ne la connaissait pas, enfin pas pour ce qui était de se retenir de rire devant pareil spectacle même si c’était lui qui passer pour idiot dans l’histoire. Une fois qu’il eu réussit à se relever et faire face à Dany, son grand sourire aux lèvres, elle sembla contrariée.
Dany : « Comment je vais ? Tu te le demandes vraiment ? »
Oh ! Il y avait sans aucun doute un problème… Pourquoi était-elle comme sa ? Elle semblait sérieuse, limite furieuse. Sarevok n’aimait la voir ainsi, cela l’attristait beaucoup. Elle sembla chercher quelque chose dans ses poches. Sarevok baissa les yeux afin de voir ce qu’elle chercher avec tant de vivacité. Une boîte vide chocogrenouille ? Apparemment vide vue qu’elle la jeta dans la corbeille…qui s’enflamma ! Bon passons la neige et l’humidité arrêtera assez vite le feu. En y regardant de plus près Sarevok fut très surpris, la base du feu semblait rond, trop rond, rappelant la lune, une lune en feu. Sarevok prit rageusement de la neige et mit fin à ce feu. Pas question d’être distrait dans un moment pareil. Elle fini par lui tendre un mot.
Dany : « C’est plutôt à toi de me dire ce qui ne va pas. Et ce que ce mot signifie. »
Sarevok le prit entre ses mains… Alors là il fut surpris ! C’était le petit mot qu’il avait envoyé à ses amis pour leur expliquer qu’il avait préféré rester seul la semaine précédente. Et les causes de ses désirs. Elle lui en voulait pour sa ? C’était impensable. Il réfléchit un moment… Cherchant une raison concrète à l’énervement de Dany. Ah oui, il avait trouver, un jour elle lui avait dit que si il avait un problème il pourrait compter sur elle. Oui mais pas dans ce cas là, pas la semaine dernière. Non c’était des choses trop sombre, secrète, des questionnements dont il ne pouvait lui faire par, des recherches sur un sujet dont elle n’était pas au courant contrairement à Grey et Jana.
Dany :« Dit moi ce qu’il se passe et, elle le regarda dans le fond des yeux, tu voulais me dire quelques chose la dernière fois dans les douches, tu n’en a toujours pas eu l’occasion… »
Des réponses ? Sarevok aurait voulut prendre les jambes à son cou et fuir loin. Tout mais pas sa. Il n’était pas près, ne savait pas comment lui dire, comment présenter les choses. Tant de choses à dire et si peu de moyen réel d’être direct. Trop direct Dany ne supportera pas le choc des deux choses qu’il avait à lui dire. Comment lui dire ? Bon il fallait se lancer.
« Heu… Je suis vraiment désolé, crois moi ! Ce n’était pas mon intention que tu t’inquiètes…Je n’aurais pas du faire ce mot, tout aurais était si simple…Mais là… »
Il baissa les yeux, regardant le sol, la neige, leurs pieds. Son regard se voulait fuyant. Comment annoncé ce genre de chose droit dans les yeux.
« Je…Je devais réfléchir à…à certaines chose, faire une mise au point et puis… j’avais des recherches à faire… des solutions à trouver… mais c’est compliqué, je ne pouvais pas t’en parlé… Pas que je ne voulais pas mais je ne pouvais pas ! »
Ah il se perdait dans ses tentatives veines d’explication. Il cherchait comment lui dire, de plus il ne savait pas par où commencer.
« Bon comment dire… Pour ce que je voulais te dire… quand on était aux douches… en fait c’est comment dire, très particulier, je ne sais pas si je pourrais te le décrire. »
Plus il parlait plus il avait la voix tremblante, les yeux tel ceux d’une personne vraiment triste, perdu. Il se tritura les mains, signe de son stress sur le moment.
« Bon en fait tu voies, on se connaît depuis longtemps… et puis on a pas eu des début facile toi et moi… puis on ne s’aimait pas vraiment… enfin voilà on se faisait une guerre ! »
*Ecourte bon dieu !*
« Mais on à apprit à s’apprécier et tout sa… hum tu vois on est amis et je ne sais pas trop comment te dire mais…enfin il y a des choses que j’ai du mal à te dire tu vois ? Je ne sais pas comment te les dire… Mais c’est important pour moi, il me faut te le dire je peux pas continuer comme sa ! Mais la dernière fois quand je t’ai vue avec lui ! Et puis bon je ne sais pas trop ce que je dois en penser… Mais bon si tu l’aimes tant mieux ! Hein ! Je suis content pour toi et tout ça… Voilà… »
Non décidément les déclarations d’amours ce n’était vraiment pas son truc, il voulait lui dire combien il l’aimait mais pas moyen de l’annoncé.
« Et puis la dernière à eu un accident, à croire que j’apporte le malheur à ceux que j’aime, je ne veux pas qui t’arrive malheur, mais si je ne te le dis pas je ne sais pas si je pourrais tenir… »
Ah c’était si compliqué, dire « Je t’aime ! », apparemment oui et il s’y prenait très mal. Il releva les yeux, les larmes se montrai et venez voir si elles devaient parcourir son visage ou non. Il se mordait les lèvres inférieures, continuant à jouer avec ses mains, ses yeux se plongeant dans ceux de Dany, plein de tristesse, plein d’amour. Son cœur battait à la chamade, ils étaient là tout les deux, rien qu’eux deux et elle attendait. Sentimental comme il est, quel ironie, non il ne l’était pas du tout donc quand il avait de fort sentiment Sarevok n’arrivait jamais à les expliquer.
« Je… je ne sais pas si c’est pareil pour toi… et puis moi je suis moi, je suis pas quelqu’un de bien… je… »
Non là s’en était trop il n’arrivait pas à le dire, il ne pourrait pas lui dire. Se torturant l’esprit et le cœur, il finit par laisser les larmes coulaient sur son visage. Baissant la tête pour pas que Dany puisse voire se pitoyable spectacle. Et en plus après les sentiments qu’il éprouve pour elle il devrait lui dire qu’il est un loup-garou, non vraiment il aurait préférer mourir.
Dany Salmon
Sujet: Re: Puisqu'on y songe (Feat Sarevok) Jeu 23 Déc - 23:47
Sarevok sembla très surpris quand il lui tendit le mot. Dany l’examina minutieusement afin de trouver des réponses ou de comprendre ce qu’il pouvait bien se passer dans sa tête, à quoi est-ce qu’il pensait, pourquoi devait-il s’écarter de tous ses amis, qu’est-ce qui était grave au point de ne plus vouloir la voir ? C’est vrai, pourquoi est-ce qu’il l’évitait, il devait en avoir marre d’elle ? De sa bonne humeur, des réflexion qu’elle pouvait lui faire sur son manque de courtoisie ou de ses manières à vouloir toujours se faire respecter par de mioches indiscipliné à qui il est vain de tenter d’avoir un pardon, bien sûr la force triomphait, mais à quoi cela servait-il ? Danielle faisait mine d’être en colère, mais elle n’arrivait même pas à se convaincre elle même. En réalité, cela la rendait plus triste et mélancolique qu’autre chose. A la rentrée, elle s’était accrochée à ses amis encore plus fort que quand elle était à Malwen, ils étaient tout pour elle.Un tremplin pour rebondir, un appui sur lequel s’accrocher pour ne pas tomber, une main des bras qui étaient là pour la tenir. Sa faiblesse s’était accrût, elle était dans l’une de ses périodes ou on ne s’imagine pas tout seul ou la solitude nous détruirait et nous entraînerait dans une tristesse et un désarroi intense.
Elle n’avait pourtant pas à s’inquiéter, entre ses frères, Ellios, Sid, Grey, Cerise, Abby, Dawn, Matthew et les autres, il y avait peu de chance qu’elle tombe. Mais Sarevok lui semblait important, c’était son meilleur ami après tout et les moments qu’ils passaient ensemble l’aidait à tenir bon, à ne pas montrer sa faiblesse et sa peine, à sourire encore et toujours. Et là, lui il l’abandonnait sans remords, avec un mot stupide qui ne disait rien de concret.
Les mimiques de Sarevok eurent pourtant sur elle un effet consolateur. Il était heureux de la voir ! Il parlait, les phrases se suivaient les unes après les autres sans qu’elles aient réellement de sens entre elles. Danielle fronça les sourcils et avala sa salive. Plus il parlait et moins elle comprenait. Elle eu envie de l’arrêter mais se retint. De qui parlait-il ? La dernière ? Il releva la tête, leurs regards se croisèrent. Il avait les larmes aux yeux et semblait avoir du mal à se confier, quelque chose le rongeait à l’intérieur et Dany l’imaginait en train de se demander si oui ou non il fallait lui révéler la chose. Elle voulu lui prendre la main, lui dire qu’elle était là, sa meilleure amie, qu’il pouvait tout lui dire, qu’elle ne le laisserait pas tomber.
Etrangement, la situation s’était renversée, elle avait d’abord cru que c’était lui qui ne voulait plus d’elle, au cours de la semaine elle avait tenté de se rassurer en se disant qu’il n’avait plus non plus parlé à Grey, mais l’inquiétude l’avait convint que le problème venait d’elle. Et maintenant, tel qu’elle le voyait, elle commençait à redouter sa réponse, qu’y avait-il pour le mettre dans un tel état ? Etais-ce une bonne idée de s’en mêler ? Elle commença petit à petit à redouter sa réponse et l’ampleur du sujet la fit hésiter. Peut-être qu’elle n’aurait pas dû venir, elle n’aurait pas du lui poser ses questions, si elle savait peut-être que cela la mettrait dans une situation de confidence qui la mettrait en danger ? Quoi d’autre ? Qu’est ce que cela pouvait être bon sang de Merlin ?
Oui, elle redoutait les réponses que Sarevok lui donnerait. Mais comment pouvait-elle repartir et le laisser l’éviter encore sans savoir la cause du trouble de son ami ? Elle respira difficilement et se mordit la lèvre inférieure. Non, elle préférait savoir, quoi qu’il en coûte il fallait qu’elle sache, elle ne laisserait pas son ami se morfondre comme cela, ce n’était pas digne d’elle, pas digne d’une Salmon. Sa dernière phrase l’attrista d’autant plus.
Sarevok : « Je… je ne sais pas si c’est pareil pour toi… et puis moi je suis moi, je suis pas quelqu’un de bien… je… »
Non, NON ! Elle hésita un bref instant puis lui prit la main et tenta de relever son visage avec son autre main. Comment pouvait-il dire qu’il n’était pas quelqu’un de bien ? C’était des idioties, le bien et le mal grande discussion philosophique au cours des temps, sans réponse. On ne pouvait pas être méchant ou gentil. Peut-être plus conciliant, susceptible, certaines réactions peuvent être mal interprétée, mais on ne pouvait pas le qualifier de mauvais. Non, pas Sarevok, OK c’était la terreur de l’école, il imposait sa loi auprès des jeunes et ne se laissait pas faire, mais c’était un garçon gentil, marrant, Danielle se sentait bien avec lui, elle ne voulait pas le laisser parce qu’il pensait qu’il n’était pas bien pour elle. Elle essuya une larme qui lui avait échappé et lui dit avec doucement :
Dany : « Je veux juste savoir la vérité, Sarevok… »
Sarevok Eirswatsein
Sujet: Re: Puisqu'on y songe (Feat Sarevok) Ven 24 Déc - 9:38
Dany : « Je veux juste savoir la vérité, Sarevok… »
Sarevok était prit par ses sentiments, ne sachant plus trop quoi faire, comment expliquer, comment faire comprendre, s’exprimer. C’était si difficile, il tenait à Dany, non il l’aimait. Ses yeux finirent par laisser couler les larmes. Cet instant magique, une déclaration, il n’avait fait cela qu’un seule fois avec Melissa, mais ça avait était plus simple, alors que là il éprouver un sentiment d’amour plus grand pour Dany, près à lui dire de suite qu’il était un loup-garou, tout lui avouer d’un seul coup.
« Je…je… »
Sa ne voulais pas sortir, impossible de le dire. Elle lui prit la main et avec son autre main elle lui releva délicatement le visage, le contact fut merveilleux, il savait quoi faire à présent. Il la regarda, droit dans les yeux, amoureusement. Il approcha lentement son visage du sien, ne cessant de plonger son regard dans celui de Dany… encore quelque centimètre, les larmes coulait encore… c’était risqué mais il n’avait pas trouvé mieux. Sa y est ses lèvres se posèrent sur celle de Dany, il l’embrassa langoureusement, passionnément, les lèvres de Dany avait un goût rappelant un parfum de rose s’insinuant dans un décor de tropique, la chaleur de ses lèvres étaient tel un coucher de soleil vous réchauffant de ses derniers rayons. Finalement après une minute il mit fin au baiser. Reculant lentement son visage de celui de Dany. Replongeant son regard brillant dans celui de Dany.
« Je t’aime Dany ! Je veux partager mon quotidien avec toi, je veux passé tout le temps que je peux près de toi, je pourrais mourir pour toi, je tuerai pour toi, je ne peux pas supporter quand un garçon se colle à toi, que l’on te fasse souffrir ! Je c’est ce que je voulais te dire la dernière fois aux douches… Et puis le week-end dernier je t’ai vue à la bibliothèque avec ce type...»
Enfin, enfin les mots étaient sortit, il était finalement plus simple de le dire après avoir agit. Il fit un sourire gêné, un peu désolé d’avoir agit ainsi mais au moins on comprenait mieux. Sarevok observa Dany, appréhendant sa réaction, il restait convaincue qu’elle était en couple avec ce type de la bibliothèque. Mais peu importe, après cela il aurait le cœur plus léger. Il ne se torturera plus pour savoir si il devait le dire où non. Il n’y avait pas que sa, il devait lui dire qu’il était un loup-garoup. Il finit observa longuement Dany, comment lui dire cela ?
« Mais je crois que ce n’est pas la seule chose que tu voulais savoir ! »
Il baissa à nouveau les yeux. Cherchant comment faire, comment dire son terrible secret.
« Je faisait des recherches, pour un problèmes… Je ne suis pas ce qu’on croit, je ne suis pas quelqu’un avec qui on peut être et c’est à cause de… de ce terrible secret que je n’osais pas te dire ce que je ressentais pour toi… te dire que je t’aime et que je veux être avec toi ! Et c’est parce que il y a à cette chose… que je ne peux pas être avec toi ! Je m’en voudrais si je te faisais du mal sans le vouloir ! Et je cherche rune solutions pour éviter ça ! »
Il caressa la joue de Dany de sa main droite, tenant la main gauche de Dany avec sa main gauche. Ayant un sourire qui exprimer plus une tristesse profonde qu’un grande joie. Comment lui dire qu’il était un monstre au plus profond de son être, qu’il était une bête sanguinaire et primitive. Elle fuirait sûrement si il lui disait, elle ne voudrait sûrement plus le voir. Son visage prit des traits de réflexion, de peur, d’appréhension.
Dany Salmon
Sujet: Re: Puisqu'on y songe (Feat Sarevok) Lun 10 Jan - 9:40
(HS : J'ai changé la musique au début du RP )
Danielle fronça les sourcils. Le comportement de Sarevok la décontenançait, elle était prise à dépourvu et ne savait pas comment réagir. Sa relation avec lui semblait changer depuis la rentrée. Elle l’avait retrouvé avec un plaisir qu’elle n’avait pas tenté de dissimuler. Ils s’étaient rapprochés plus encore qu’à l’époque, la guerre et les pertes de certains compagnons renforçant le lien qui les unissait, elle s’était accrochée comme elle l’avait pu aux survivants qu’elle avait retrouvés il y a quelques mois. Maintenant très peu reparlait de la guerre ou des défunts, le sujet était devenu tabou, on continuait simplement de vivre, profiter de ses amis, de sa famille, continuer à apprendre la magie, sans plus se soucier du passer. Elle avait des remords de temps en temps, elle voulait leur faire honneur, les oublier était trop simple et cela ne les gratifiait pas alors que cela avait été des personnes formidables. Avec Sarevok, elle avait créer un lien plus fort qu’à l’époque, retrouvant leurs moments où ils faisaient de mauvaises blagues aux autres élèves, s’enfermant dans une bulle avec lui où ils pouvaient s’amuser comme bon leur semblaient sans qu’on ne leur fasse remarquer quoi que se soit.
Le temps passait ainsi, elle commençait à s’y faire, ses insomnies revenaient encore, mais moins régulièrement. Cette semaine, elle s’était sentie plus seule qu’à l’habitude, l’absence de Sarevok jouant un certain rôle dans son moral. Elle avait recommencé des nuits troublées et était maussade avec son entourage qui n’avait pas été préparé avec ce changement de caractère. Elle était venue clarifier les choses, savoir ce qu’il voulait exactement, mettre les points sur les « i ». Mais maintenant qu’elle se trouvait devant lui, elle n’arrivait plus à lui en vouloir et avait pris un ton doux et indulgent, elle voulait comprendre. Le « truc » c’est que lui même ne semblait pas comprendre. Il bafouillait, regardait partout autour de lui sauf elle et gigotait en se balançant d’une jambe à l’autre. Elle se dit qu’il ne savait pas par où commencer ou s’il devait lui expliquer son absence. Cela l’énervait, elle n’arrivait pas à faire preuve de patience et était triste à voir son ami si torturé et indécis. Le pire était qu’il fuyait son regard. Elle remonta son menton en plantant ses yeux dans les siens, refusant de l’entendre se discréditer en disant qu’il n’était pas quelqu’un de bien et qu’il ne fallait plus rester avec. Elle lui dit qu’elle voulait juste connaître la vérité et lui lança un regard suppliant en espérant que cela suffise et qu’il ne fuirait plus.
Il sembla accepter de lui faire face et elle ne cilla pas quand il soutint son regard. Malgré le vent et ses yeux grands ouvert, aucune larme ne monta à ses yeux. Cela n’était pas le cas de Sarevok qui ne semblait pas se rendre compte que des larmes glissaient les unes après les autres sur ses joues. Il se rapprochait, elle ne savait pas ce qu’il avait en tête et pourtant, instinctivement, elle savait exactement ce qu’il ferait. Elle le savait et l’avait espérer, jamais elle ne s’en était rendue compte jusqu’à ce moment, où leur lèvres n’était plus qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. Elle le regardait toujours, son souffle s’accélérait et devenait saccader. Il lui semblait que le temps ralentissait, que rien d’autre n’existait autour d’eux. Puis doucement elle ferma les yeux et elle sentit alors les lèvres chaudes de son ami se poser sur les siennes. Le temps s’accéléra d’un coup, comme si quelqu’un avait ralenti le magnétoscope et aurait fait play une fois qu’il s’en serait rendu compte. Elle accepta le baiser sans broncher, ayant une envie oppressante de se faufiler dans ses bras et de se serrer contre lui tout en échangeant ce baiser. Elle se contint, elle était perdue et ne savait quoi penser, il était trop tard pour le repousser, elle ne savait pas si elle aurait dû le faire ou si elle acceptait de lui offrir cet instant.
Il s’écarta avec un sourire malicieux. Elle avait eut une réponse à sa question, mais avait l’étrange sensation d’en savoir moins qu’au départ. Son cœur battait rapidement tandis qu’elle reprenait une certaine contenance. Il parla. Les mots se mêlaient pour faire des phrases qui lui semblaient toutes aussi irréelle les unes que les autres. Elle eu envie de se pincer pour voir si elle rêvait. L’idée lui vient alors que Sarevok lui faisait une blague, mais elle repoussa cette explication directement en voyant le regard qu’il lui portait. Ainsi il l’avait aperçut en compagnie de Matthew… Elle rougit légèrement en se rendant à peine compte de l’importance que cela pouvait jouer.
Sarevok : « Mais je crois que ce n’est pas la seule chose que tu voulais savoir ! »
Soupir, malheureusement elle avait l’impression d’en savoir déjà trop, elle ne se sentait pas courageuse pour en savoir plus, ou peut-être était-elle trop déboussolée. Elle connaissait enfin les sentiments de Sarevok. Il l’aimait, réellement. Il l’aimait. Elle se le répéta encore plusieurs fois dans sa tête avant d’en prendre enfin conscience. Elle déglutit, releva la tête vers le ciel en espérant récupérer un peu d’air ou avoir moins chaud. Elle suffoquait et les questions s’entrechoquaient dans sa tête. Qu’avait-il exactement vu à la bibliothèque ? Est-ce qu’elle l’aimait ? Si ce n’était pas le cas, pourquoi avait-elle temps envie de l’embrasser à son tour ?! Qu’avait-il de plus à lui révéler ? Elle tentait d’avoir des réponses rapidement, craignant l’instant où il s’arrêterait de parler pour voir qu’elle serait sa réaction. Elle avait peur de se tromper et d’agir sur un coup de tête, tant de choix à faire, non un choix à faire, en avait-elle envie ? Elle le regarda et se concentra sur ses paroles, captant quelques phrases elle fronça les sourcils et lui répondit le plus calmement qu’elle put :
Dany : « De quelle chose parles-tu Sarevok ? Qu’est ce qui pourrait me faire autant de mal ? »
Il lui caressa la joue. Elle eut l’horrible envie de le repousser en même temps que celle de se coller a lui. Cela la fit sursauter et elle rougit violemment, chose qu’il ne manquerait pas d’apercevoir vu la blancheur de la neige qui les entourait de toutes parts. Ce fut à son tour de détourner le regard, pestant contre elle même d’avoir réagi aussi stupidement.
Sarevok Eirswatsein
Sujet: Re: Puisqu'on y songe (Feat Sarevok) Sam 15 Jan - 9:05
La joie s’installa en lui, Dany n’avait pas refusé son baiser, elle semblait même l’accepter. Un bonheur momentané dans une déclaration plutôt sombres, enfin pour ce qui arriver. Mais alors qu’il lui avoua qu’il avait quelque chose de plus terrible à dire elle eu un soupir, tel de la fatigue, comme si elle n’en supportera pas plus. Sarevok s’en voulait autant en si peu de temps, c’était dur, c’était beaucoup, tant de révélation…Pauvre Dany, quel supplice il lui faisait subir là ? Puis elle sembla se poser beaucoup de question, tout juste réaliser la déclaration de Sarevok, oui il était amoureux d’elle. Cela en aurait bien surprit, Sarevok être amoureux…
Dany : « De quelle chose parles-tu Sarevok ? Qu’est ce qui pourrait me faire autant de mal ? »
Alors qu’il lui avait caresser délicatement la joue elle rougit après un sursaut du à la surprise. Sarevok s’éloigna alors de Dany, regardant l’horizon, tournant le dos à celle à qui il venait d’avouer son amour. Comment lui dire ce qu’il était réellement ? Ce n’était pas chose aisé que d’avouer de tel secret, sombre secret, secret à perdre les gens que l’on aime. Certes Jana et Grey était au courant mais Dany était plus sensible, elle avait connue beaucoup de difficulté et la question qui se poser était simple, pourrait-elle encaisser que Sarevok soit un loup-garou ?
« Ne…Ne m’en veux pas mais je dois te dire que Grey et Jana sont déjà au courant, Grey depuis bien longtemps, tu sais se sont mes meilleurs amis et puis Grey à déjà subit se terrible secret, il à faillit mourir une fois ! Mais malgré cela il a toujours protégé mon secret, ce que je suis, cette chose terrible…Jana elle je lui est dit tout naturellement, elle n’avait jamais vraiment vécue de chose horrible et j’était persuadé qu’elle pourrait encaisser moi noir secret. »
Sarevok finit par abaisser la tête en regardant ses pieds, soufflant dans ses main lié afin de les réchauffé. Puis il les frotta l’une à l’autre, les ramenant dans ses poches, regardant ensuite le ciel et la neige tombant. Il ferma un instant les yeux, affichant un sourire au contact pure de la neige sur son visage, il ouvrit à nouveau ses paupières, et il eu une petite absence.
~~~~~~~~~~~~Petit Flash-back~~~~~~~~~~~~
Il était en train de courir à une vitesse incroyable dans les couloirs de Malwen, il y eu un sorcier qui tenta de lui jetter un sort, il l’esquiva et bondit sur son ennemie, l’homme était terrifier, Sarevok tenait l’homme d’une main et le soulever, il était désarmer, sans défense… Sa main, il avait sa main poilue, grande et dont les doigt finissait en griffes, de son autre main il lacéra le visage de sa victime, un bref instant dans les yeux de l’homme il vue le reflet de son visage, il avait un gueule, des crocs, des oreilles en pointe légèrement au-dessus et en arrière du crâne, des poils sombre, des babines retroussé, c’était lui le loup-garou. Alors il…
~~~~~~~~~~~~Fin du Petit Flash-back~~~~~~~~~~~~
Sarevok s’extirpa de se souvenir qui lui venait pour la tout première fois à l’esprit, il avait chaud, il était terrifier. Si jamais sa arrivait à Dany, si à la place de l’homme c’était Dany ! Non il devait lui dire, il fallait qu’elle sache pour se méfie, quitte à ne plus lui parler, plus le voir au moins elle serait en sécurité. Ainsi en sachant elle pourrait également décider si, enfin dans l’éventualité où elle serait également amoureuse de Sarevok, si elle voulait vraiment être en couple avec lui.
« Je vais être direct ! Sinon je n’y arriverai pas… Je…Dany je… Je suis un …un loup-garou ! »
Sa y était, enfin dit, enfin avouer, Sarevok continuer à éviter de faire face à Dany, même en lui disant il était restait comme il était, Dany ne pouvant voir que son dos, pourtant il était emplie d’une grande peine mais il ne voulait pas voire, ne pas lire de la terreur ou de l’horreur dans les yeux ou sur le visage de Dany. Non il ne le supporterai pas, il s’en voulait déjà de lui avoir avouer son amour et maintenant ça, c’était comme offrir le meilleur avant de planter le pire pour achever la personne dans un étonnement joyeux. Dans un instant inattendu. Tête baisser, les yeux fermer, il s’en voulait, se disant qu’elle aller souffrir en se rendant compte qu’elle avait était l’amie d’une créature comme lui. Qu’il n’avait pas était franc avec elle dès le début, qu’elle avait était en danger toutes ses années en sa compagnie. Sarevok avait toujours était un danger pour ses proches mais là pour Dany il avait était un danger dont elle ignorait l’existence et là d’un seul coup elle découvrait tout. Il s’imaginer ou des larmes ou de la colère, mêlé à de la peur, non de la terreur.